Protagoras Relativisme

subjective n’est pas une vérité. On ne peut pas dire non plus à « chacun sa vérité ». Pourtant Protagoras disait « l’homme est la mesure de toute chose » ; autrement dit ce que je crois être vrai est vrai pour moi .Mais ce relativisme et subjectivisme, conduit à détruire tout sens à la notion de vérité La relativité est relative à chaque sujet .C’est même contradictoire de dire « à chacun sa vérité ».Ce relativisme conduit au scepticisme. Donc ce qui est vrai pour l’un est faux pour l’autre ; donc une

erreur, si la vérité est un jugement, comment peut-on savoir s’il est vrai ou faux ?. On peut donc admettre que la notion de relativisme fonde la raison de l’expression. En effet, il apparaît que toute pensée, opinion, ou valeur est relative à celui qui l’énonce. Rien ne serait donc absolu, pas même la vérité. Cet argument peut être expliqué grâce à la vision de Protagoras, penseur du Vème siècle avant J-C. Il affirme que « l’Homme est la mesure de toute chose » : rien n’a de sens sans l’Homme, pas

leur ignorance. Platon dans son œuvre « Théétete » oppose Socrate et Protagoras. Ce dernier pense que « l’homme est la mesure de toute chose » (c’est la doctrine de l’homme mesure), pour lui nous n’aurions que des opinions vraies c’est-à-dire que si un jugement paraît vrai pour un individu alors il est vrai pour lui et si tel jugement vrai pour une autre personne alors il est vrai pour elle. Il montre ici la théorie du relativisme qui consiste à dire que la vérité serait relative à celui qui l’énonce

vérité. Ceci dit, Platon et Aristote font appel à un discours philosophique, car tous les deux ont une vision de la connaissance étant une réalité. Malgré cette similarité, ils ont aussi des différences. Ces derniers jouent avec le relativisme et l'universalisme. Le relativisme est objectif, c'est-à-dire que nos propres sens s'interposent entre nous et l'observé. Cependant, l'universalisme est une vérité dont les relations entre les humains par la raison humaine. Selon les théories idéalistes de Platon

vérité n'est pas évidentes ne peuvent être tenu pour des connaissances authentiques. Ce sont des opinions dont la vérité et peu ou moins probable. Le thème relativiste consiste à dire que la vérité est propre à chaque individus. Dans Le Ménon, Protagoras met l'accent sur la vérité de chacun « l'homme est la mesure de toute chose », il y explique que la vérité peut être considérée comme subjective, comme essentiellement relative chacun pouvant disposer d'une vérité qui ne serait que la sienne. Mais

la théorie du type de gouvernement. On dit, pour cette raison, qu’il est un des fondateurs de la sociologie. C’est d’ailleurs la base de son maître-ouvrage, l’Esprit des lois. Sa philosophie politique ouvre la voie à la Révolution de 1789. Notre relativisme actuel descend en ligne directe de la pensée de Montesquieu. Montesquieu débuta dans la littérature par ses Lettres persanes, dans lesquelles, à travers le voile transparent d’une fiction ingénieuse, il sut offrir aux yeux de ses compatriotes des

la mesure de toute chose. Telles les choses m’apparaissent telles elles sont, telles les choses t’apparaissent, telles elles sont», selon la formule du sophiste Protagoras. Autrement dit, "à chacun sa vérité", ce qui revient à dire que la distinction entre le vrai et le faux n'a pas de sens. Ainsi, le réalisme naïf conduit au relativisme subjectif et au scepticisme  Le réalisme critique Le réalisme critique considère au contraire que la réalité n'est pas donnée: vérité et réalité se construisent

relativité. Par opposition à l’absolu, qui désigne toute chose pouvant exister et être vraie par elle-même et qui ne dépend donc de rien d’extérieur, est relatif ce qui dépend d’autre chose que de soi-même pour exister et être vrai. En philosophie, le relativisme est une position qui considère que toute proposition est variable suivant les circonstances et les personnes. Cependant, affirmer une telle vérité absolue que tout est relatif n’est-il pas ici un paradoxe ? Finalement, affirmer que tout est relatif

Il fait parler les interlocuteurs comme les sophistes, mais non pour enrichir l’autorité du notable, mais pour ruiner l’autorité de celui-ci. • Face à Protagoras, ami de Périclès, intellectuel très en vue, et espèce de spécialiste marketing politique. L’affrontement, le débat s’engage sur « qu’est-ce que la justice, le droit » Protagoras : technique, savoir faire, habilité, accessible à tous si ils ont les moyens de se payer mes cours. Donc, le droit et une chose humaine, politique et non

Cet honnête distinction (dilemme omniprésent dans la pensée grecque de cette époque) entre ce qui est connaissable et ce qui ne l’est pas deviendra au fil des siècles l’un des fondements de l’humilité scientifique et, dans une certaine mesure, du relativisme (positif) d’un Auguste Comte.   De son coté.; Thalès de Milet se garda bien d’enfermer le divin dans un placard.: «.De tous les êtres le plus ancien c’est Dieu car il n’a pas été engendré... .» A son tour, Pythagore (6e siècle av. J.-C.), après