Protection Des Créanciers De Fonds De Commerce

n’existe que lorsque l’entreprise nécessite un montant de fonds propres que le chef d’entreprise n’est pas en mesure de réunir seul. Mais d’autres raisons peuvent justifier ce recours à la société. Pour se développer, une entreprise a souvent besoin d’argent. L’entreprise doit disposer de suffisamment de fonds propres pour que le banquier accepte de lui prêter des fonds. Si le chef d’entreprise n’est pas en mesure de réunir seul ces fonds propres, il va nécessairement devoir donner à son entreprise

PATRIMOINE Com., 19 janvier 2002 3   3   3   4   4   II.   LES LIMITES DU PRINCIPE ............................................................. 5   A. L 'INSAISISSABILITÉ DE LA RÉSIDENCE PRINCIPALE Article L. 526-1 du Code de commerce C.com. article L.526-1 alinéa 1 (nouveau) Rép. min. n°52819, 7 décembre 2004 Rép. min. n°36335, 23 mars 2004 5   5   5   6   7   B. LA FIDUCIE C. L'EIRL 9   13   Date de création du document : année universitaire 2006/07

Droit des affaires Bibliographie : Actes de commerce, commerçants, fonds de commerce. Collection Cours Dalloz. Pieddelièvre. Droit commercial, Petit. Droit commercial, Dekeuwer Memento francis Lefebvre. Guyon : Droit commercial. Dictionnaire permanent des affaires. Les LAMY. encyclopédie Dalloz, jurisclasseur. Introduction Chapitre 1 : la définition du droit commercial Comment identifier le droit des affaires par rapport aux autres disciplines juridiques ? C’est une partie du droit

  Chapitre 1 – Les actes de commerce   I / La notion d’acte de commerce   La notion d’acte de commerce n’est pas définie dans le code de commerce. Il énumère une liste qui est seulement descriptive.   A / Les Actes de commerce à titre principal   1 / Les actes de commerce par la forme   C’est acte ont une nature commerciale par leur forme qu ‘elle que soit leur objet ou la personne qui les accomplie : - La Lettre de change est un acte de commerce qui constate une créance commercial

effectue des opérations civiles). a) précision terminologique Les économistes opposent le commerce s’est à dire la distribution, à l’industrie qui est la production. Le vocabulaire juridique, lui est différent car le concept de commerce, en droit commercial a un sens plus large car il recouvre aussi bien les opérations de distribution que les activités industrielles et les services. Mais le terme de commerce a en droit commerciale un sens plus restreins que celui employé en droit civil pour désigner

d’étude les actes de commerce = conception réelle car elle s’intéressait à certaines opérations déterminées par la loi et ce qq soit la profession de celui qui accompli un acte de commerce. Cette conception dépasse la seule étude de la personne du commerçant Ces deux conceptions figuraient dans l’art 1 du Code de Commerce de 1807 qui est devenu L.121 -1 du Code de commerce de l’ordonnance du 18 septembre 2000 « Sont commerçants ceux qui exercent des actes de commerce et en font leur profession

avoir des choses incorporelles. Choses -> corporelles ou incorporelles. L’époque moderne a vu naître des multitudes de choses incorporelles, par exemple la création artistique (musique mise sur un support corporel, ou un film sur un DVD) ; un fonds de commerce, la monnaie (transfert de monnaie immatériel par exemple sur internet). Statut de la personne : il y a le sujet de droit (la personne juridique) qui est invisible, et la personnalité réelle/humaine. Le droit des biens doit-il régler le problème

sera traité par les nouveaux articles L.526-6 à L.526-21 du Code de commerce Ce nouveau statut juridique se situe à mi-chemin entre le statut d’entrepreneur individuel classique et l’EURL en ce qu’il permet à l’entrepreneur qui l’adopte d’affecter les biens nécessaires ou utiles à son activité professionnelle dans un patrimoine séparé de son patrimoine personnel, ce patrimoine d’affectation devenant seul gage des « créanciers professionnels » dont la créance est née après l’adoption de ce statut

règles de protection, un cadre juridique stable régissant la relation de travail entre un employeur et son employé, c’est le code du travail lui-même promulgué le 08 Juin 2004 ainsi que ses décrets d’application dans les plus importants sont apparûent en Janvier 2005. L’ensemble ayant un caractère impératif. TAF : Q : Le contrat du travail peut-il intégrer des dispositions plus favorables que le code du travail lui même ? Les lois impératives doivent être respectées dans un souci de protection de la

second lieu, la dénomination choisie ne doit pas être identique ou semblable à une dénomination déjà existante, sous peine d’exposer la société à une action en concurrence déloyale. C’est pourquoi, il convient de demander au registre central du commerce un certificat négatif qui atteste que la dénomination choisie est inexistante. 2- le domicile Le domicile d’une société s’appelle le siège social. C’est le lieu où se trouvent les principaux