Préconisation Sephora

Connaissance de l’entreprise dans son environnement - 3 Techniques professionnelles - 3 Anglais des affaires International studies - 2 M1 - année 4 APPROFONDISSEMENT Apprendre à élaborer un diagnostic d'entreprise pertinent et à formuler des préconisations et une stratégie Politique générale de l'entreprise Création, transmission et reprise d'entreprise Gestion des relations sociales Management européen Négociation commerciale en français et en anglais 4 options : - Publicité et Communication -

articulée en trois volets : tout d’abord la détermination de la méthodologie, le résumé des témoignages, et enfin l’analyse des données reçues suivie d’une discussion sans parti pris, étayée d’exemples concrets d’entreprises destinés à corroborer nos préconisations. Bonne lecture 15 2. REVUE DE LITTERATURE 16 L’objectif de ce volet est de collecter des informations de chercheurs de divers horizons, spécialisés en sciences humaines et sociales (sociologues psychiatres, universitaires, etc

segment, les maisons de Mode et Maroquinerie poursuivent le développement de leur réseau de distribution notamment en Asie, où le marché est le plus important devant l’Europe. - Distribution sélective  Le groupe, à travers le réseau de distribution Sephora, le magasin Bon Marché à Paris, et la distribution conçue pour une clientèle de voyageurs internationaux (DFS, Miami Cruiseline), a réalisé 27% de ses ventes essentiellement aux Etats-Unis, en Asie (hors japon) et en France. Les marques ont enregistré

A- La marque : légitimité et identité 1°/ La notion de « marque » : définition et présentation 2°/ La marque de luxe, un cas à part B- Les enjeux de la marque de luxe face à la démocratisation de son offre 1°/ Dangers 2°/ Préconisations C- Illustrations 1°/ Le cas Chanel 2°/ Le cas Dior CONCLUSION ANNEXES Introduction Depuis plus d’une décennie, le secteur du luxe connaît une véritable mutation. On peut constater, au niveau économique, une

jusqu’à évoquer des « magasins d’atmosphère » 2. Parmi les enseignes basant une partie de leur succès sur ce phénomène, on peut citer Nature et Découvertes, Victoria’s Secret (lingerie, USA), Starbucks Coffee (USA), La Maison de Ralph Lauren (Londres), Séphora, Citadinne, les boulangeries Paul, etc. 2 Les motivations altruistes des consommateurs Trois tendances lourdes se dégagent depuis une dizaine d’années : le renouveau de la solidarité, les préoccupations écologiques et la recherche d’une nouvelle

jusqu’à évoquer des « magasins d’atmosphère » 2. Parmi les enseignes basant une partie de leur succès sur ce phénomène, on peut citer Nature et Découvertes, Victoria’s Secret (lingerie, USA), Starbucks Coffee (USA), La Maison de Ralph Lauren (Londres), Séphora, Citadinne, les boulangeries Paul, etc. 2 Les motivations altruistes des consommateurs Trois tendances lourdes se dégagent depuis une dizaine d’années : le renouveau de la solidarité, les préoccupations écologiques et la recherche d’une nouvelle

conséquence que les marques non sportives devront investir d’avantage (en sponsoring mais surtout dans d’autres types de communication) et plus longtemps, pour pouvoir réduire la méfiance des publics et se trouver associées aux évènements. La préconisation d’un mix de communication en parallèle de la communication événementielle, afin d’en accroitre l’efficacité, fait référence à une théorie dite de la « variation d’encodage ». La théorie postule que l’association de plusieurs sources de communication

créativité de leurs agences dans la mise en oeuvre de leurs campagnes de recrutement. Rendez-vous pour la troisième édition qui consacrera les campagnes lancées en 2010 ! Le jury MICHEL BALSAN, DRH du Groupe Tour Eiffel PHILIPPE CANONNE, DRH de Sephora CATHERINE CARRADOT, Déléguée générale de l’ANDRH VINCENT COUBARD, DRH de Louvre Hôtels FRANÇOISE DUCRUEZET, Directrice du Développement des Compétences de Banque de France BRIGITTE DUMONT, Directrice développement et performance des RH groupe FT Orange

ressemblant pas, il est essentiel de faire preuve de curiosité et d’initiatives pour faire un peu plus que le minimum requis. Cela démontre son implication, et c’est également un gage de progression. On attend d’un bon consultant qu’il fasse des préconisations précises et efficaces. Pour ce faire, il faut apprendre à dépasser la simple lecture des chiffres pour dégager les aspects business. Défendre une opinion en l’étayant par des faits auprès de son manager en cas de désaccord constitue une excellente

d’ateliers (négociants, courtiers, propriétaires, œnologues). Ils décrypteront les enjeux respectifs de leurs métiers ainsi que les attentes du marché. Des cas pratiques illustreront les problématiques de la filière. Ce travail fera l’objet de préconisations qui seront présentées devant les managers du secteur. Comportement du consommateur appliqué au secteur des vins et spiritueux Psychologie du consommateur et stratégies spécifiques de persuasion : connaître les tendances actuelles de consommation