Préjudice Moral Contractuelle

disputer, pour chaque forme de responsabilité, leurs domaines d’intervention respectifs soumis à ces fluctuations infinies. La faute, quelles qu’en soient les vicissitudes, demeure une référence intemporelle et universelle, au plus proche de l’impératif moral et d’exigences sociales somme toutes invariables. Ce qu’exprime la plasticité même de l’article 1382 du Code civil, « tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer »6, de

décision, de contrôle et de sanction b) elles représentent l'Etat au nom duquel elles agissent c) elles sont dépendantes du pouvoir politique d) elles n'ont pas de pouvoir réglementaire 11. Il s'agit d'institutions dotées de la personnalité morale qui ont une autonomie de décision dans certains domaines et dans leur ressort territorial : ce sont ? a) les collectivités territoriales b) les collectivités institutionnelles c) les AAI (ex. CNIL, COB...) d) les commissaires de la République

ID de réunion : 943 7306 3214> Code secret : 478996TD civil séance 13fiches d’arrêts:Document 1 : Cass. ch. mixte. 6 juillet 2007La chambre mixte de la Cour de cassation a rendu un arrêt le 6 juillet 2007 portant sur un préjudice relatif à l’inexécution d’un contrat. En l’espèce, un exploitant viticole a conclu un contrat avec une société pour la vente de bouteilles de vin dont l’enlèvement devait intervenir entre le 20 mars et le 31 décembre 2004. Cependant la société acheteuse a envoyé une lettre

Art 314-1 du C pénal : « l’abus de confiance est le fait par une personne de détourner, au préjudice d’autrui, des fonds, valeurs ou un bien quelconque qui lui ont été remis et qu’elle a accepté à charge de les rendre, de les représenter ou d’en faire un usage déterminé. » Elément matériel L’abus de confiance doit donc être précédé d’une condition préalable : la remise d’une chose par voie contractuelle. La remise d’une chose • Nature de la remise : soit des fonds (argent), valeurs (support de

DROIT FRANÇAIS Introduction : Condition de fond : Age Santé/sexe (plus maintenant) Consentement Sociale/morale : monogamie, pas d’inceste Condition de forme : célébration du mariage antérieure au mariage (articles 63, 64, 75) 2 courants doctrinaux : dès qu’une condition n’est pas respectée : ANNULATION quand interdits moraux (ex : inceste) : ANNULATION Quels sont les liens entre droit/moral ? Code civil : Ø définition du mariage. Mais le mariage est un acte juridique … Mariage est marqué par la

du contrat SECTION 1 : Le principe de la liberté contractuelle C'est un principe fondamental : les parties peuvent établir librement un contrat tant en ce qui concerne sa forme que son contenu. Elles sont libres de contracter ou non, de choisir leur cocontractant et de déterminer les clauses et la forme de leur contrat. Au 19ème siècle, ce principe était même érigé au rang de condition nécessaire de la justice contractuelle : « qui dit contractuel dit juste » (M. Fouillée). Cette théorie a néanmoins

Le D des obligations est une partie, les opérations relèvent des opérations juridiques courantes ; contrats civiles (revendre un ordinateur, acheter, commerciaux, contrat de travail, contrat de consommation et faits dommageables Les obligations contractuel sont l’expression juridique les relations économiques Par définition l’obligation c’est un lien de droit d’au moins deux personnes en vertu duquel l’une que l’on appel créancier est en droit d’exiger de l’autre, le débiteur, une prestation positive

de droit interne sont rattachés exclusivement au système juridique français. Les contrats internationaux quant à eux, de par leurs éléments constituants (par ex : lieu de signature ou d’exécution des prestations, origine des personnes physiques ou morales contractantes), intéressent des systèmes juridiques différents. Cette spécificité peut être source de conflits entre les règles de droit potentiellement applicables à ces contrats. On parle alors de « conflits de loi dans l’espace ». B) Contrats

d’arrêt Cour de cassation, Chambre commerciale, 23 janvier 2007, N°05-13-189 La prise en compte de la morale par le droit a toujours été une question sensible, tant au point doctrinal que jurisprudentiel. Comme dirait Bruno Oppetit, la morale, c’est le sentiment, « et le droit moderne n’intègre pas le sentiment dans ses concepts ». Et pourtant, qui peut nier de la complémentarité de la morale et du droit ? L’arrêt du 23 janvier 2007 rendu par la Chambre commerciale de la Cour de cassation se positionne

du libre jeu des volontés individuelles qui permet d’assurer le fonctionnement de toute société démocratique. Sur le plan moral, la liberté de l’individu repose sur le postulat du libre arbitre de l’homme. Il n’y aura donc pas de meilleure règle que celle qui a été consentie et librement conclue. Dès lors toute justice est contractuelle, et qui dit contractuelle dit forcément juste. Ces considérations d’ordre économique conduisent à plusieurs conséquences. D’abord quand à la formation