Présidentialisme

République puis comment passer à une VIème République, on peut conclure que le peuple français se plaint d’un régime archaïque qui n’est plus à l’écoute et qui perd en démocratie à cause du manque de représentativité et de la montée en puissance du présidentialisme et que pour résoudre ces problèmes, il faut soit des réformes de la constitution monumentales soit un passage à une nouvelle République. La constitution française étant une constitution rigide, il est très difficile de la modifier et la solution

du pouvoir exécutif: Nous avons donc vu que les conditions de nomination du Premier Ministre ont changé, dans une situation donnée; le sort va être le même pour la cessation des fonctions de celui-ci. Lors de la disparition progressive du présidentialisme, la pratique de la double responsabilité du Premier Ministre devient obsolète. On participe de plus en plus à un partage des compétences entre chef de l’état et chef du gouvernement. Il est même possible de constater, d’après la pleine application

la Vème République. Néanmoins, il semble qu’aujourd’hui nous sommes lancés vers une politique et un régime de plus en plus présidentialiste. C’est d’ailleurs pendant la politique de Nicolas SARKOZY qu’avait été citée l’expression « d’hyper présidentialisme ». On ne peut pas le nier, d’autant plus que la Constitution de 1958 donne un nombre certain de nouvelles prérogatives au Président de la République, le rendant bien plus important, et notamment à l’égard du pouvoir législatif. Ce dernier, qui

d'une grande nation culturelle, économique connaissant quelque difficultés judiciaire appele les menbres de la cour de cassation pour connaitre l'avancement des dossiers sur lui et ses amis.. Paragraphe 1: La logique présidentialliste A) Le présidentialisme plébicitaire 1958-1962 En 1958, les institutions politique sont discréditées, le Général De Gaulle fait une constation juste mais dangeureuse comme quoi le peuple doit retrouver la politique. De 1958 a 1962, De Gaulle va multiplier le recour

dissolutions du parlement ou d'un trop fort pouvoir du chef de l’État. Ces conditions peuvent entraîner d'un coté une prédominance du pouvoir législatif sur l'exécutif amenant à un «parlementarisme absolu», de l'autre, le cas inverse qui est appelé « présidentialisme » Exemple de régime parlementaire : L’Allemagne Le Régime Germanique tel que nous le connaissons aujourd'hui est née le 12 Mai 1949 par « la loi fondamentale ». Elle instaure un régime parlementaire primo-ministériel rationalisé. En effet

cohabitation, le 1er ministre est «  indéboulonnable «, le régime devient moniste avec une seule relation de confiance Gouvernement–parlement, perte de la légitimité du Président de la République ) B. à la dérive des institutions vers le «  présidentialisme «  Creusement d’un déséquilibre sous la pratique institutionnelle au profit du pouvoir exécutif et principalement du Président de la République perspective d’un réajustement du texte constitutionnel ? 1) la V ème République : une « 

L’autorité qui exerce le pvr doit rendre des comptes. L’autorité qui est irresponsable politiquement est celui qui exerce le pvr (Vème rép) le parlement et gvnt vont se placer au service du président de la rép. A- Le choix du terme présidentialisme Cette exression est doctrinale = elle constitue une invention de la doctrine pr expliké le régime, elle n’est pas dans la c°, elle n’est pas prescriptive. La c° est interprété librement. C’est un expression assez récente car on a pdt un

la révéler en responsabilisant le PDLR et en évitant les cohabitations. D'autres clament au contraire que le quinquennat va inéluctablement modifier la nature du régime. Pour les opposants au quinquennat, il va donner naissance à un régime au présidentialisme renforcé voire à un régime présidentiel, ou, alternative inverse, à un régime à la souveraineté parlementaire retrouvée [...] C'est pour des raisons bien précises que les auteurs de la Constitution de 1958 ont entendu maintenir le septennat

puisqu’il a mis sa responsabilité personnelle en jeu. Cet accroissement de légitimité fait prendre une nouvelle place au chef de l’Etat, celle de l’Homme élu par le peuple. On peut considérer des lors que c’est à cette période que naît le « présidentialisme », avec un pouvoir fort et légitime au président, qui limite corollairement le pouvoir du parlement. En effet depuis 1962, la motion de censure que le parlement pourrait adopter face au gouvernement est en effet assez hypothétique. De plus

quinquennat comme Charles Pasqua, le quinquennat n’affaiblit pas le Président de la République au profit de l’Assemblée mais induit au contraire une prépondérance encore plus marquée que sous le septennat. Le régime français tend alors vers un présidentialisme accentué au détriment du Parlement et non vers un régime présidentiel avec séparation stricte des pouvoirs comme aux Etats-Unis. La majorité dont bénéficie le Président à l’Assemblée nationale peut transformer cette dernière en « chambre d’enregistrement