Présidentialiste

stable au niveau politique. Dans le régime de Weimar, le pouvoir du président est très important, avec notamment les décrets-lois. Ce pouvoir du président augmente au fur et à mesure des années et le régime glisse petit à petit vers un régime présidentialiste. La dernière crise politique fut fatale à la République de Weimar ; le NSDAP, grâce notamment à ses forces armées (SS) arrivèrent à être le parti le plus représenté au Reichstag. Le 30 Janvier 1933 ; Hitler est nommé chancelier par le deuxième

deuxième qui commence au début des années quatre vingt dix. La première période est marquée par l’apparition, puis le déclin d’un régime présidentialiste[1]. La constitution de la première République (1961-1963), a opté pour un régime présidentialiste monocéphale. Puis, la constitution de la deuxième République (1963-1967), a mis en place un régime présidentialiste bicéphale. Enfin, la constitution de la troisième République (1980-1992), a de nouveau instauré un présidentialisme monocéphale mais avec

Cette position s’est trouvée contredite dans les années 80 avec le phénomène de cohabitation : au fond les institutions de la 5e République étaient des institutions à double visage : visage parlementaire en période de cohabitation et visage présidentialiste en période de fait majoritaire. La Ve République apparaît donc comme un régime hybride présentant simultanément des caractéristiques propres au régime présidentiel et au régime parlementaire. La problématique que peut dégagée cette introduction

constitutionnels et « déterminer et conduire la politique de la nation ». Mais le statut du président se renforce de plus en plus. Le rôle du gouvernement est réduit au profit du président de la république. Cette situation est applicable en période présidentialiste, lorsque la majorité parlementaire est partisane du Président de la République. Donc, tout dépend de la convergence ou la divergence d’orientation entre le chef de l’Etat et la majorité parlementaire. Le Président dépend donc de la majorité

Leçon n° 5 : Les applications possibles de la théorie de la séparation des pouvoirs Petites précisions : §1. Présentation du régime présidentialiste ou régime de confusion des pouvoirs Cette confusion au profit du pouvoir exécutif porte souvent le nom de régime présidentialiste. Attention : régime présidentialiste ≠ régime présidentiel. Forme de déformation du régime présidentiel = le chef de l’État exerce la réalité du pouvoir. Le présidentialisme

imposer sa propre interpretaion de la constit c dc un REGIME qui ne correspondait pas parfaitement au regime parlementaire de Debré et cette tendace va se renforcer ac lelection du PDLR elu au SUD on constate le renforcement d1 regime de type presidentialiste LE PARLEMENT est soumi et encadrer par es technique de la rationalisation parlementaire = procedures limitant , encadrant le parlement Lexercice de pouvoir reconnu au parlementaire cet exerce est soumi a un certain nombre de procedure

ne fait que complexifier la typologie à partir Montesquieu. 1) Les régimes de confusion des pouvoirs On distingue entre régimes de confusion au profit : - de l'Exécutif : on parlera de dictature ou encore de régime présidentialiste. Exemple : les régimes présidentialistes d'Afrique noire dont on ne finit pas d’annoncer la disparition. - du Législatif : on parlera de régime d'Assemblée ou encore de régime conventionnel. Exemple : la Terreur en France. - du Judiciaire : on parlera de Gouvernement

de la politique gouvernementale au Premier ministre, se résume par la pratique à une suprématie présidentielle. Cela s’explique par l’habitude qu’ont prit les Présidents, suite aux multiples périodes de fait majoritaire, d’user d’une lecture présidentialiste de la Constitution, à leur profit. C’est dans ces circonstances là que le Président de la république se dote de tout pouvoirs. Reprenons la citation de Nicolas Sarkozy, Président actuel, qui illustre bien les rôles respectifs que détiennent en

politique indirecte du président devant l’Assemblée nationale Certes, en droit, irresponsabilité politique du président devant la Chambre basse, comme le montre l'existence du contreseing ministériel. La pratique est différente dans le système présidentialiste. a) L’adoption d’une motion de censure contre le gouvernement à défaut de destituer le Président, chef de l’exécutif. En septembre-octobre 1962, hostilité des parlementaires à l'objet de la révision de la Constitution (élection

renforcée, ce qui est aussi le cas de la fonction gouvernementale (A). On peut notamment souligner l’abaissement du Parlement, la création du conseil constitutionnel et l’instauration de la constitutionnalité des lois. En 1959, apparait une dérive présidentialiste. Elle va conduire à ce que le Président de la République soit le chef de l’exécutif, le premier ministre n’étant plus qu’un simple rouage d’exécution de la politique présidentielle. Cependant il faut nuancer ce principe, puisque lorsque le président