Rapport D Ishikawa

mis sur le marché par le biais d’une fonction appelée « Lamine » (qui signifie confiance en arabe). Cette autorité – qui serait selon une boutade, l’ancêtre des organismes certificateurs - certifiait la conformité du travail artisanal effectué par rapport à des normes reconnues. Ainsi les corporations des chaouachias ou des orfèvres choisissaient à leur tête une personne, généralement âgée, honnête, probe et respectée par ses pairs, qui, nonobstant d’autres fonctions, était chargé de « contrôler »

............................... 38 2.1. Le diagramme SIPOC ................................................................................................ 38 PFE 2010/2011 Page 3 Mise en place de la démarche Lean-Six sigma 2.2. Le diagramme ISHIKAWA ....................................................................................... 38 2.3. Les feuilles de relevés ................................................................................................. 39 2.4. Le taux de rendement

Résumé Dans un système économique compétitif, le besoin de diminuer les coûts et d’améliorer la productivité représente un manque constant à gagner. Ce rapport retrace l'ensemble de mon expérience passé chez Groupe AZURA (Société MARAISSA) au cours de mes 8 semaines de stages. Une étude VMS est faite sur la station 4 dans cette entreprise. Des chantiers Kaizen nous permet d’atteindre un taux d’amélioration de 15,7 % (Comme productivité totale). Mots clés Amélioration continue, Conditionnement

suivants : • Coût de la non-qualité par rapport au chiffre d’affaires de la PME = (Coût de la non-qualité/CA) × 100 Nous l’avons déjà calculé plus haut : c’est la part du coût des réclamations (coût de la non-qualité) dans le CA. N-3 N-2 N-1 N CA global (en €) 8 000 000 8 500 000 7 500 000 6 000 000 Coût des réclamations (en €) 160 000 187 000 637 500 540 000 Coût de la non-qualité/CA 2 % 2,20 % 8,50 % 9 % • Coût de la non-qualité par rapport à l’effectif de la PME = Coût de

délai. Cette capacité à répondre à ses besoins est la qualité. LEMTAOUI MORAD Les définitions des experts : Aptitude à l’usage (Joseph Juran 1951)  Conformité aux spécifications (Phil Crosby 1979)  Aptitude à satisfaire le client (Kaoru Ishikawa 1984)  LEMTAOUI MORAD Trois notions de bases apparaissent dans ces définitions : spécifications, besoins et réalisations LEMTAOUI MORAD LEMTAOUI MORAD  Il convient donc de distinguer la qualité, selon le point de vue du client

l'artisanat, du commerce et plus tard de l'industrie. Plus récemment, l'essor de la qualité eut lieu dans les années 30 grâce aux américains Shewart, Juran et Deming, puis le mouvement de la qualité japonaise prit le relais dans les années 50 avec Ishikawa, Taguchi pour aboutir enfin au renouveau de la qualité occidentale avec Crosby et le mouvement "zéro défaut". Les normes de management et d'assurance qualité ont été développées à partir des années 50 dans les grands pays industriels et dans les

27/01/2011 SEANCE 1 1. Les écrits professionnels : CV, rapport de stage/de diagnostic, note de synthèse/de service/d’information, lettre de relance/démission/motivation, compte-rendu, e-mail, contrat, procès-verbal… (Test in the basket) | |Secteur privé |Secteur public | |Message |Mémo, écrit court (3/4 de pages max) pouvant |Parfois sur formulaire

post-taylorisme I – Phase A : l’ancienne organisation du travail Composée de l’artisanat et des petites entreprises. L’ouvrier était qualifié et était capable de transmettre son savoir-faire aux plus jeunes. Il avait une certaine liberté et les rapports humains étaient plus importants (confiance). II – Phase B : le taylorisme – fordisme A – Le taylorisme Le taylorisme est dû à un ingénieur américain, Taylor (1856-1915), qui a poursuivi la pensée d’Adam Smith : il crée l’Organisation Scientifique

pour le projet et donne de perspective variées. Les phases de la méthodologie sont expliquées de plus en détail ci-dessous. a. Recherche Académique : Le premier pas pour le travail de recherche est l’étude de la littérature. Plusieurs livres et rapports concernant de sujets relatifs aux opérations de terminaux à conteneurs sont considérés et étudiés. Au fur et à mesure la familiarisation avec le domaine augmente, les buts de la recherche sont établis et la première version du plan de travail est

séance Descriptif industriel d’une entreprise étude de cas (utilisation des outils qualité, méthode de résolution de problème) Exercices d’application de cours – Devoirs libres :    Livrables du travail de groupe : – – Exposé oral Rapport écrit Plan du cours  Historiques, concepts et principes de la qualité (3h) Outils et méthodes pour le mangement de la qualité (6h)   Coût d’obtention de la qualité (3h) Démarche de mise en œuvre d’un SMQ (1.5h) Audits et certifications