Rapport Xerfi Restauration

La vente à distance grand public Décembre 2013 / LMO / ACE Chiffre d’affaires de la vente à distance unité : % des variations annuelles en valeur Estimation et prévision Xerfi / Source : Fevad 3DIS38 NAF rév.2, 2008 : NACE rév.2, 2008 : 25% 47.91A 47.91B 47.91 22,8% 21,5% 18,9% 20% 16,3% 17,5% 15,9% 13,5% 15% 12,5% Prévisions 2014 Chiffre d’affaires de la VAD globale (val.) Chiffre d’affaires de la vente en ligne (val.) Dépenses moyennes par cyberacheteur

représenté près de 32,6% en volume et 39% en valeur de part de marché dans les boissons rafraîchissantes sans alcool en 2010. Cette consommation ne cesse de croître prenant de plus en plus de place dans les caddies des ménages français grâce à son bon rapport qualité/prix, sa bonne image nutritionnelle qui a été renforcée notamment avec la montée en puissance des produits bio depuis ces dernières années. On peut distinguer trois principales catégories sur le marché du jus de fruits en France :

|Faiblesses | |Domaines implantés en forêt, rapport à la nature |Prix élevé de la location | |21 domaines dans 5 pays, volonté de s’ouvrir à la Scandinavie |Prix élevé de la restauration et des activités | |Qualité des logements |Vieillissement des bungalows

Audit et expertise comptable Conjoncture et prévisions Rapport annuel 2014 : tendances et concurrence Performances financières des entreprises Directeur de la publication Eline Maurel, Philippe Gattet, Vincent Desruelles Laurent Faibis Date de publication Septembre 2015 Code étude 5SAE26 Site www.xerfi.com e-mail etudes@xerfi.fr Adresse 13-15 rue de Calais 75009 Paris Téléphone 01 53 21 81 51 Fax 01 42 81 42 14 Principaux contributeurs SYNTHESE CONJONCTURE ET PREVISIONS Synthèse

Evolution du secteur de la restauration Le secteur de la restauration se porte plutôt bien depuis ces dernières années malgré la récession. En effet, en 2008, le chiffres d’affaires de la restauration s’élevait à 70 272 millions d’euros ; soit une augmentation de 5% entre 2007 et 2008. Le nombre d’entreprises ainsi que le nombre de salarié restent élevés. Entre 2007 et 2008, le nombre de salarié a augmenté de 2,1%. c) Evolution de la restauration rapide La restauration rapide représente une

LE MARCHE DES PLATS CUISINES- Etude Xerfi 2005 Un bilan en demi-teinte o Les plats cuisinés appertisés sont en peine o Les plats cuisinés surgelés sont pénalisés par des linéaires peu avantageux o Les achat en MMD et 1er prix se dont au détriment des marques nationales o Les prix du frais sont encore trop élevés o Le temps de réchauffement des produits surgelés est encore trop long Des marques nationales affaiblies o Les micro-innovations ne marchant que

2010/2011 PLAN I) Présentation de l’entreprise a- Historique b- Quelques chiffres c- Le restaurant Quick de Feytiat II) Analyse de la restauration rapide a- Economie générale b- Dynamisme de l’emploi et des entreprises c- La restauration rapide et les consommateurs d- Les différents types de restauration rapide e- Points négatifs III) Quick Feytiat a- Offre b- Demande c- Concurrence d- Stratégie commerciale IV) Analyse SWOT

Métiers : Technologies de l'Information, Ingénierie, Finance Comptabilité, Vente Marketing Recrutement et Intérim * Employés, ouvriers, agents de maîtrise, ... * Spécialisation par métier : Transport, BTP, Hôtellerie * Restauration, Industrie, Office... * Intérim d'insertion Recrutement et intérim Medical & Science * Santé - Social * Médecins, chirurgiens * Pharmacie & Recherche * Directeurs & Cadres de la Santé Services

------------------------------------------------- Analyse de marché Marché de la restauration rapide : Source : Etude Xerfi Décembre 2012 La restauration rapide consiste à mettre à disposition des consommateurs divers produits alimentaires chauds ou froids. Ces derniers sont vendus « au comptoir » et prêt à consommer. Informations générales : La restauration rapide constitue l’un des segments les plus dynamiques de la consommation alimentaire hors domicile sur moyenne

fabricants de glaces et de sorbets en 2012) Menaces: -Contexte économique et social négatif (baisse du pouvoir d’achat, hausse du chômage). -Crise économique de 2008 qui a fait chuter la croissance du marché en affectant spécialement les ventes en restauration qui représentait 30% des ventes pour les fabricants. -Forte concurrence étrangère qui se traduit par une hausse des importations de plus de 7% en valeur. -Hausse des couts d’approvisionnement (prix du lait et contraction des cours du sucre).