Ratio de Sharpe

contreparties ou à des risques plus opérationnels, et ainsi définir un montant de réserve. C’est l’objectif du Comité de Bâle qui, en 1988, définit un ratio international de solvabilité d’exigence d’un certain montant de fonds propres. Il permet de sécuriser les prises de risque des banques en renforçant l’adéquation entre les risques et leurs fonds propres. Le ratio Cooke qui correspond au rapport entre le montant des fonds propres et celui des encours pondérés de crédit doit être supérieur à 8%. Le Comité

le Modèle de marché a été développé par Sharpe (1964). L'idée qui sous-tend ce modèle est que les fluctuations des cours des valeurs mobilières sont dues à l'influence du marché en général et à des causes spécifiques de chacune des valeurs mobilières. Ces deux modèles constituent des outils pertinents dans la gestion de portefeuille. Ils sont relativement simples. Le Modèle de marché est imaginé par Markowitz (1952-1959) et il a été développé par Sharpe (1964). L'idée qui sous-tend ce modèle

entreprises. Il suffit pour s’en convaincre de considérer les investissements engagés par les firmes.. Cependant, certains auteurs s’inquiètent de l’efficacité des programmes de fidélisation (Uncles 1994, Dowling et Uncles 1997, O’Brien et Jones 1995, Sharp et Sharp 1997, Nako 1997, Benavent et al. 1999/2000, Bolton et al. 2000). L’efficacité ne serait pas garantie, et il semblerait qu'elle soit même assez faible. Les auteurs doutent en particulier sérieusement de leur efficacité, en avançant que dans un

l’entreprise de combiner entre les deux concepts, c’est-à-dire qui contribue à la création nette de la valeur ,par contre l’action qui contribue à faire varier l’un d’eux de manière isolé , n’est pas forcement une performance , sauf si cela améliore le ratio valeur/coût ou le solde valeur-coût . Néanmoins, le couple valeur coût n’apparait que lorsque des produits ou bien des services sont mis en vente, il parait donc trop tard pour aider à piloter les activités de l’entreprise ! Alors, pour contribuer

résultant d'une combinaison de différents capitaux. Cette théorie moderne a été en grande partie définie par le travail de H. Markowitz dans une série d'articles édités vers la fin des années 1950. Cette théorie a été prolongée et affinée par William Sharpe. Elle explique que certaines sources de risque liées à différents capitaux peuvent être éliminées, ou diversifiées, en tenant une combinaison appropriée des capitaux. Cette théorie de gestion de portefeuille considère l'ensemble des éléments suivants :

offers a variety of suggestions for supporting a recovery and averting future crises, through both policy changes and longer-term regulatory reform. We cover several IMF studies that shed light on the depth of the crisis—including a survey on the sharp drop in trade finance, along with quantitative findings about the direct and indirect costs of the financial turbulence— and debate what is to be done from several angles, including the redesign of the regulatory framework and ways to plug large data

their specific financial risk profiles B. Types of certificates Warrants and certificates are financial instruments. Their emission is subjected to approval of market regulators. By their optional nature, warrants and certificates incurred to sharp fluctuations or even worthless. As certificate index, we can find: * Certificate Bull or Certificates of pure indexation: These products are instruments mirrors which replicate the evolution of an index, a portfolio of shares or a raw material,

so much debt that they incur a positive probability of bankruptcy (Stiglitz, 1969). The restated theorem asserted simply that, if there is an equilibrium with a firm having a particular debt-equity ratio and market value, there exists another equilibrium with the firm having any other debt-equity ratio, and in that new equilibrium the firm has the same market value as it did in the original equilibrium.' This result shifted the focus of attention from the idea of the risk class to the importance of

rendement moyen, minimum, maximum, volatilité, YTD1.......70 Tableau 11 : Données rendement moyen, minimum, maximum, volatilité et MDD....72 Tableau 12 : Données Bêta, taux sans risque, espérance de rendement..................72 Tableau 13 : Ratio de Sharpe, alpha de Jensen, indice de Treynor...........................74 Tableau 14 : Les acteurs et les rôles dans une promesse d’achat ou de vente (Wa’d) ..............................................................................................

Ca2+ soient absorbés. Ce n’est toutefois pas ce qui est observé en pratique. En effet, selon les résultats du tableau 1, ce n’est qu’à partir du tube 4 que l’on peut considérer que tous les ions Ca2+ ont été absorbés. Il est donc possible de faire le ratio des ions requis par rapport aux ions disponibles pour déterminer que le pourcentage d’ions sodium échangés est de 31,25%. Ce résultat signifie qu’il faut presque trois fois plus de zéolithe que de calcium pour s’assurer que tous les échanges soient