Rationalisme Cartésien

courants : le rationalisme (avec Descartes, Leibniz et Spinoza) et l'empirisme (Hume et Locke). Quant au philosophe allemand Emmanuel Kant, il défend une position originale dans cette discussion. Sa philosophie combine à la fois l'empirisme et le rationalisme. Tous ces deux courants se disent détenir la connaissance on se demande alors quel est le fondement de la connaissance? Dans la suite de notre exposé nous ferons d’abord une étude approfondie de l’empirisme et ensuite celle du rationalisme, enfin

mettre en valeur l'individualisme. Ex : Candide, les lettres de mon moulin, Manon L’Escaut,... Tous ces titres touchent à l'Homme, à l’individu > au maillon et plus à la chaine. (Rappel :) Le 16è et 17è s. on a vu l'évolution et le triomphe du rationalisme et du cartésianisme; l’individu n'avait pas de place dans la société, seul ce qui pouvait lui apporter comptait = idéologie du classicisme : l'humanisme. C'est contre ça que vont lutter les philosophes du 18è et 19è s. en donnant de l'importance

se connaît soi-même Tout d’abord, il faut avoir la notion de son existence afin que les connaissances s’en suivent. René Descartes a émis une théorie à propos de la connaissance de soi et des autres choses. Le philosophe français et père du rationalisme croit que les connaissances proviennent de la raison et non des sens. Selon lui, les sens sont trompeurs. Alors, il est facile d’en douter. Le philosophe propose que les connaissances ne puissent pas être déterminées par un fait qui n’a pas été

Despotisme eclairé Les Lumières : La philosophie des Lumières met la Raison au centre de tout. Elle doit être souveraine et donc devenir le principe de l’organisation de l’État. Il faut pour cela que son gouvernant soit conscient des imperfections du système et cherche à le rendre plus rationnel. C’est cette idée que les monarques absolus reprennent à leur compte. Ils disent adhérer à cette pensée rationaliste et vouloir mettre l’autorité qui leur est acquise au service de la Raison. La légitimité

mondial s'est finalement effondré. ! 2.3 EN THÉORIE DE LA CONNAISSANCE Pendant longtemps, on a pensé que la connaissance était le contraire de l'erreur. Mais c’est une façon de penser linéaire. Il y a deux thèses: le sensualisme et le rationalisme. D’après les sensualistes (John Locke, David Hume, etc.) on atteint une connaissance sans erreur avec nos 5 sens. C'est-à-dire, la vision, l'odorat, l'ouïe, le goût et le toucher. D’après les rationalistes (René Descartes, Wilhelm Leibniz)

connat. Comment la raison peut-elle connatre le rel Est-ce par la dmonstration Peut-elle accder la vrit Quel est le lien entre lesprit qui connat et la matire Quelle place occupe le vivant lintrieur du rel I La position des rationalistes Le rationalisme privilgie la raison comme moyen de connaissance pour connatre la vrit. Lhomme veut accder la vrit par la raison, ce qui est diffrent du scepticisme (illusion des sens) qui postule que lon ne peut arriver au vrai et donc quil faut suspendre son

clairement une position fidéiste. Cependant, Déméa anticipe le reproche que ses interlocuteurs pourraient lui adresser : il assure que sa foi (sa piété) n’empêche pas l’entreprise philosophique (il semble se contredire lui-même). Il s’oriente vers le rationalisme théologique appuyé uniquement sur la raison et la déduction dans le but étayer la perfection de dieu et pour gagner en crédibilité auprès de Cléanthe et Philon. D’abord il évoque les théories développées antérieurement par les théologiens, théories

désirs. Selon moi, elles peuvent être maîtrisées, car l’humain peut décider de ce qu’il veut faire. René Descartes est un mathématicien, physicien et philosophe français. Il est considéré comme un des fondateurs de la philosophie moderne et du rationalisme moderne grâce à ces nombreux textes et discours tel que le Discours de la méthode en 1637. Cet homme polyvalent est aussi le créateur de la géométrie analytique. Celui-ci pense qu’il est nécessaire de pratiquer un doute méthodique et de s’appuyer

sauver ce qu'il reste aujourd'hui de l'existant. Kierkegaard, en réaction à la volonté de système, de savoir absolu, de compréhension de la totalité du réel par la logique, de la croyance à pouvoir tout ramener à la raison, en réaction donc au rationalisme, affirme qu'avant de penser j'existe et qu'exister, c'est être confronté à des expériences, – au sens d'Erlebnis – ce qu'il appelle des catégories existentielles, comme l'angoisse, le désespoir, la foi, qui ne se laissent pas réduire à la raison

ménager la tradition critique. Cette conciliation des plans repose sur une correspondance logique, dont il faut d’abord bien mesurer la teneur — ne serait-ce que pour donner leur juste portée aux rapprochements que nous serons amené à faire. Le rationalisme s’exerce très spontanément de façon conjointe devant deux croyances — la médecine, la religion —, qui ont en commun, au XVIIe siècle, de pouvoir passer pour des superstitions. Prenons-en pour illustration cette tirade de Béralde :