Rationalisme Cartésien

« Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c’est-à-dire des vérités particulières ou individuelles. Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point que ce qui est arrivé arrivera de même (...) D’où il paraît que les vérités

les ministres de Dieu et les maîtres traditionnels, ne supportant pas ces idées des Lumières, qui auraient été, par la contre-révolution, la véritable cause de la spirale de la violence. On peut néanmoins admettre que dans l'anticléricalisme, le rationalisme, le mépris des traditions, l'égalitarisme et l'usage abusif des libertés, des excès ont été et restent possibles. Mais les abus qui ont pu être commis, au nom des principes des Lumières, ne mettent pas en cause la valeur des idées. À qui viendrait-il

LE XVIIIème SIECLE : Le siècle des Lumières.     Siècle des Lumières, terme qui désigne le XVIIIème siècle en tant que période de l'histoire de la culture européenne, marqué par le rationalisme philosophique et l'exaltation des sciences, ainsi que par la critique de l'ordre social et de la hiérarchie religieuse, principaux éléments de l'idéologie politique qui fut au fondement de la Révolution française. L'expression était déjà fréquemment employée par les écrivains de l'époque, convaincus qu'ils

l’aide de la raison, sans qu’aucun n’acte de foi ou force extérieur et ainsi développer des connaissances fondamentales. C’est ce qu’on appelle le rationalisme et selon lui chaque humain est doté de cet esprit rationnel. La force de l’être humain c’est sa raison et il doit se fier à sa raison et non aux sens. C’est dans cet optique que le rationalisme met en valeurs les idéaux de la modernité, puisque la modernité est l’opposé de la tradition, que la tradition se rattache religion et la scolastique

à l’argument du rêve : l’homme qui rêve ne peut savoir qu’il évolue dans un monde de rêve ; il croit évoluer alors qu’il n’en ai rien. Descartes a repris ce même argument dans Les Méditations Métaphysiques : Il répond à cette objection par le rationalisme. Pascal, lui, pense que cette objection ne peut être levée. Il accorde au Pyrrhoniens que la raison ne peut lever l’objection du rêve : mais pourtant « nous savons que nous ne rêvons pas » il s’agit là d’une certitude issue de notre cœur, de l’assurance

La Perception Pour commencer, le mot perception vient du latin perceptio qui ramène à l’idée de « saisir » par l’esprit. Dans la vie courante, on l’utilise pour parler d’une difficulté que l’on peut percevoir, c’est-à-dire qu’on imagine par la pensée. On peut parler des troubles de la perception chez une personne dans ce cas là on parle de la perception au moyen des 5 sens. On dire d’une personne qu‘elle est mal perçue, qu’elle est mal vu, elle donne une mauvaise impression, dans ce

cette question au travers de ce texte, en faisant tout d'abord une description des deux plus importants courants de pensée en médecine, soit l'humanisme et le rationalisme. Par la suite, j'opposerai les deux approches, et finalement, je ferai une prise de position en défendant que l'approche humaniste en médecine soit favorable au rationalisme. Tout d'abord, l'approche humaniste en médecine joue un rôle non seulement dans la guérison des patients, mais aussi dans l'état psychologique dans lequel

C'est le problème de l'empirisme et de rationalisme qui est posé ici. Si je suppose qu'il faut voir pour connaître, c'est que je crois comme Aristote que l'esprit est une tablette de cire vierge sur laquelle l'expérience inscrit la connaissance. Si je suppose qu'il n'est pas nécessaire de voir (au sens de percevoir) pour connaître, c'est que je crois, comme Platon, que les sens nous trompent et que seule l'idée, qui est première, immuable et éternnelle, peut m'éclairer. En fait, on peut dire

humaine"). Prenons pour exemple le soleil : Nous savons qu'il se couche a l'est tous les jours, mais ceci pourrait en être autrement. Ceci est une perspective empiriste qui est une loi scientifique probable mais jamais certain. Contrairement au rationalisme, l'empirisme affirme que toutes connaissances ne sont pas l'esprit, or l'action du monde extérieur sur nous, le sujet, et que la connaissance tient à la vérification expérimentale et non par une démonstration rationnelle. La thèse de l'empirisme

synthétiquement et a priori (ce qui n'exclut nullement la réalité empirique) Ainsi il dit, à propos de l'espace et du temps:"j'affirme leur idéalité transcendantale en même temps que leur réalité empirique. Le critIcisme kantien n'adhère pas totalement au rationalisme leibnizien, mais par ailleurs, même réveillé par Hume de "son sommeil dogmatique", il n'adhère que partiellement au scepticisme et à l'empirisme anglais. Il opère une synthèse entre les deux.L’ambition de ce livre se résume pourtant assez facilement