Rationalité économique

concernent la rationalité dans les décisions d’investissement, le changement organisationnel et le management de l’innovation.. 1 : James G. March. Professeur en Organisation Industrielle et Psychologie à l’Institut de Technologie de Carnegie, puis en Psychologie et en Sociologie au département des Sciences Sociales à l’université de Californie, et enfin en Sciences du Management à l’université de Stanford (Californie). Il contribue avec Herbert Simon à l’élaboration de la rationalité limitée et propose

décision rationnelle, on ne cherche pas à étudier comment une décision rationnelle doit être prise, ni si cette rationalité objective totale, implicite de la théorie de la décision rationnelle peut exister ou si ce n’est qu’une utopie. C’est pourquoi il me semble important à la fois de préciser ce que l’on entend par « décision rationnelle » mais également de présenter la théorie de la rationalité limitée. LA DECISION RATIONNELLE On parle de décision rationnelle lorsqu’une décision est prise

exemples. Il appuie ses propos par les expressions, affirmations et familiarités que l'on a tous pu pratiquer, entendre ou subir en entreprises. L’auteur conforte certaines notions énoncées dans le livre en faisant une synthèse de celles-ci (la rationalité limitée, l’intelligence émotionnelle, etc.) via un encart explicatif de cette dernière. L'auteur amène constamment le lecteur, via ses affirmations, à se remettre en question et à lui faire prendre conscience de certaines évidences que

essentiel à la macroéconomie, on est obligé de la connaître. Apport essentiel donné par la microéconomie. Caractériser son approche : Approche éminemment normative de la microéconomie : « ce qui devrait être ». Les hypothèses comportementales sur la rationalité des acteurs sont parfois utopistes. L’hypothèse de la concurrence qui est pure et parfaite : « ce qui n’est jamais le cas ». Approche très rarement descriptive possède une ambition positiviste. Essayer de simplifier la complexité de notre environnement

et des groupes) L’individu est la composante centrale de l’organisation La remise en cause du concept de la rationalité 9 L'école de la décision analyse l'organisation comme un lieu de décision et un processus de prise de décision. Contrairement aux présupposés de l'approche classique, les décisions ne correspondent pas nécessairement à l'optimisation des variables économiques. De nombreuses variables quantitatives et psychologiques entrent dans les processus de choix. 10 L’organisation

traditionnelles de la firme. Dans les théories traditionnelles ou néoclassiques de la firme, la firme n’a pas fait l’objet d’une analyse détaillée. On a une idée simpliste de la firme. La firme est représentée comme un agent économique individuel, doté d’une rationalité parfaite et qui va mécaniquement chercher à s’adapter à son environnement. Cette conception issue de la micro-économie classique suppose également l’existence d’information parfaite et l’optimisation des choix. C’est pour cela que

la demande, les décisions sont loin d’être rationnelles & cela en raison de plusieurs facteurs : • Informations imparfaites • Rationalité limitée des dirigeants • Prise en compte des objectifs personnel des dirigeants • Capacité de compréhension de la situation à laquelle se trouve confrontée le décideur - Pour Herbert Simon, la rationalité du décideur est nécessairement limitée car la décision s’intègre dans un environnement complexe qui restreint la perception des choix &

Quelle rationalité pour la décision stratégique ? Introduction : Accroche : Difficultés de l’industrie automobile américaine qui résultent de décisions stratégiques déplorables sur le choix des modèles à fabriquer puis à commercialiser (quasi absence de motorisations hybrides, gamme de véhicules polluants et gros consommateurs d’essence). Annonce du dépôt de bilan de Général Motors à la presse le 28/05/2009, plan de sauvetage de Chrysler par le gouvernement américain (prise de participation dans

Panorama des théories de la firme La firme, cette inconnue de l’approche classique La firme n’est devenue un objet à part entière de la théorie économique que récemment. En effet, la représentation néo-classique de l’économie repose sur des hypothèses qui limitent considérablement les possibilités d’analyse du fonctionnement de la firme. En situation de concurrence pure et parfaite, l’entreprise transforme mécaniquement les facteurs de production (matières premières, capital et travail) en un produit

Les limites de la rationalité limitée ? Un essai de réflexion en sciences de gestion par Véronique Chanut25, Nathalie Guibert26, Jacques Rojot27, Pierre-Louis Dubois28 Résumé Cette contribution porte sur la problématique de l’influence de la théorie de la rationalité limitée d’Herbert Simon en Sciences de Gestion. Dans une première étape, les auteurs proposent une identification des principaux courants de recherche fondés sur cette théorie dans les disciplines du comportement du consommateur