Rationalité Du Consommateur

tout en concourant inconsciemment au bien commun (mécanisme de la «main invisible»). La vision libérale du marché repose donc sur une conception particulière de la nature humaine, qui suppose de considérer l’individu en tant qu’homo oeconomicus (rationalité des comportements, propension naturelle à l’échange). Pour les libéraux, le marché demeure le système le plus efficace pour assurer la circulation de l’information et la coordination de multiples décisions économiques. Il assure le maximum d’efficacité

d'un côté les consommateurs (ménages, entités qui ont pour activité principale de consommer) et de l'autre côté les producteurs (Entreprises). La microéconomie représente les comportements de ces deux catégories d'agents d'une manière particulière que l'on peut tenter de décrire brièvement. En ce qui concerne les consommateurs, chaque agent a à sa disposition un revenu et un ensemble de biens entre lesquels il doit choisir. Le prix unitaire de chaque bien est connu par les consommateurs et la consommation

présente sa thèse sous la forme d’un paradoxe : au lieu de déboucher sur une action collective, l’existence d’un intérêt commun a toutes les chances de donner lieu à l’inaction collective. Son point de départ est l’idée de la rationalité des acteurs : selon lui, la rationalité du groupe n’est pas la même que celle des individus. Le sens commun suggère que dès lors qu’un ensemble d’individus peut trouver avantage à se mobiliser et en a conscience, le déclenchement de l’action collective va de soi. Or

Quelle rationalité pour la décision stratégique ? Introduction : Accroche : Difficultés de l’industrie automobile américaine qui résultent de décisions stratégiques déplorables sur le choix des modèles à fabriquer puis à commercialiser (quasi absence de motorisations hybrides, gamme de véhicules polluants et gros consommateurs d’essence). Annonce du dépôt de bilan de Général Motors à la presse le 28/05/2009, plan de sauvetage de Chrysler par le gouvernement américain (prise de participation dans

remettant en cause d’une part le plein emploi et d’autre part le niveaux du taux d’intérêt tel qu’il est perçu par les néoclassique Chez Keynes le prix de la monnaie c’est le prix de la liquidité, Keynes renoncent a toute règle naturel et de rationalité .Les institutions permettent aux individus de s’adapter dans un environnement incertain. I) L’évolution intellectuelle de Keynes Hypothèse d’une continuité dans les options méthodologique de Keynes. Il y a une continuité entre sont 1er ouvrage

la microéconomie1 . Enfin, dans le contexte économique, la théorie des jeux s’applique dès qu’il y a un petit nombre d’acteurs, dans le cas de l’oligopole ou même du monopole, entre l’entreprise en monopole et les consommateurs : le monopole considère la réaction optimale des consommateurs et le fait que quand le prix de vente augmente, leur demande pour le bien diminuera. C’était en fait la première interaction stratégique vue dans ce cours. Avant cet exemple du monopole, les interactions stratégiques

être vivant. Ce comportement à rationalité spécifique peut s'appliquer par des domaines différents qui ne relèvent pas seulement de la gestion des ressources rares mais également de la gestion des stocks par exemple ou des réseaux de transports... IV/ Le principe de rationalité en économie. On peut s'interroger sur le principe général de l'action rationnelle. Deux types de réponses sont données a cette interrogation a) Le principe de rationalité est considéré comme une donnée

(sentiments post achat ( fidélité L’élaboration du processus d’achat : Ce processus peut toutefois être différent en fonction : -de la rationalité du consommateur. Exemple : effets de démonstration ou d’imitation  (attributs subjectifs.) -en fonction du type d’achat : achat routinier, achat impulsif, achat complexe. -en fonction de l’implication du consommateur. Une motivation d’achat oblative correspond à la volonté de faire plaisir à autrui. Il peut s’agir d’un achat cadeau ou d’un achat partagé

production ? Ces problèmes auraient-ils pu être atténués si l’entreprise avait choisi un autre mode d’organisation de sa production ? Question 3. (2 point) – L’importance accordée au « made in France » par le consommateur est-elle compatible avec l’hypothèse de rationalité des consommateurs ? TEXTE 1. GENEVIEVE LETHU VALORISE LA QUALITE FRANÇAISE Par Marie Bartnik Publié le 07/07/2011 – Le Figaro Economie Le spécialiste des arts de la table a relocalisé la plus grande part de sa production

besoins collectifs ? L’etat (55 % du PIB) et les collectivités locales (décentralisation, pb de financement) II – COMMENT EXPLIQUER LE COMPORTEMENT DU CONSOMMATEUR ? A/ LES DETERMINANTS ECONOMIQUES DE LA CONSOMMATION De quels facteurs dépendent la nature et le volume de la consommation de biens individuels ? la rationalité du consommateur : il cherche la plus grande satisfaction et répartit ses achats en fonction du degré de satisfaction qu’il retire du bien l’utilité du bien : biens primaires