Rationalité Technique

Ainsi, je suis rationnel et je maximise mon bien être. Toutefois, le dilemme du prisonnier énoncé A. Tucker nous a montré la limite de la rationalité humaine. Elle ne maximise pas systématiquement notre bien-être. Compte tenu de ce fait, devrais-je renoncer à mon espérance qui de toute évidence ne maximise pas mon bien-être bien qu’étant irrationnel. Rationalité ou irrationalité maximise mon bien-être? Le temps me permet-il d’y répondre ? Etant donne qu’à long terme, nous serons tous morts donc le

impossible, on est donc en droit de se demander si le mal a été créé par une instance supérieure aux hommes, s’il est présent en ces derniers en dépit de sa raison. Mais il est également possible que ce soit l’existence de ce même mal qui heurte notre rationalité, mais dans ce cas, comment expliquer que quelqu’un puisse faire du mal tout en étant rationnelle, ou alors, comment accepter l’image d’un dieu bienveillant tout en acceptant l’existence du Mal ? Dans un deuxième temps, une question se pose alors :

Identification d'un problème= I Recherche des solutions et évaluation des solutions= M Sélection de la solution et mise en oeuvre de la solution = C Evaluation de l'efficacité de la décision Herbert Simon a mis aussi en évidence la rationalité limité du décideur. Le dernier ne prend pas la meilleur décision c'est à dire la décison optimale parce qu'il ne peut pas intégrer toutes les données du problèmes ou imaginé toutes les solutions possibles, il s'arrêtera donc à une solution qui lui

ou de l’extérieur. Hors du flux il est plus simple d’y voir une direction que l’on appellerait sens. Point de vue ext. est celui du scientifique. Point de vue de la connaissance. Tentation forte de passer de la direction au sens et du sens à la rationalité de ce sens, voire à sa signification. Produit d’un regard rétrospectif : seul celui qui est ext. peut avoir une vue d’ensemble et croire que justement cet ensemble forme un tout. Question de la nécessité, de l’ordre interne et du déterminisme.

comportements financiers ? Depuis prés de 20 ans, une nouvelle discipline est apparue, elle regroupe essentiellement des économistes et des chercheurs en sociologie. Développée surtout aux Etats-Unis elle utilise les progrès de l’imagerie cérébrale, technique qui permet entre autre de détecter l’activité précise des différentes régions pour décrire voir même expliquer les comportements financiers des consommateurs ; c’est ce qu’a appelé l’américain Paul W. Glimcher : la Neuro-économie Pour en donner

irrationnelles ? À première vue, les croyances religieuses ne sont-elles pas la plus parfaite illustration de l'irrationalité ? Cependant, tout en étant irrationnelles, les croyances religieuses ne seraient-elles pas une étape nécessaire vers la rationalité ? Cela dit, un tel paradoxe ne montre-t-il pas qu'il est dépourvu de sens de se poser la question de l'irrationalité des croyances religieuses ? Pour répondre à cette question, il faut analyser trois différentes visions. La première soutiendra

Critique du Dialogue entre un prêtre et un moribond L'origine de l'homme et de tout ce qui l'entour est un sujet qui porte beaucoup à la controverse. Il est ,selon moi, tout à fait légitime de la part de l'être humain de prôner le point de vue qu'il juge être le vrai sans être aveuglé par une croyance non-fondée. Tel a été l'enjeu du dialogue entre un prêtre et un moribond. Cette question majeure d'ordre morale suscite bien-sûre un grand questionnement. À quel prix faut-il se conformer à

les élites dirigeantes que sont les gouvernements, les industriels, etc. défendent la vision conservatrice de la publicité. La publicité n’est qu’un échange entre vendeur et acheteur, un moyen pour les consommateurs de choisir en utilisant leur rationalité, puisqu’ils sont au courant de leurs options. Si la publicité n’est qu’un échange d’information, aucune raison ne peut être valable pour l’interdire ou la réduire. ----------------------- [pic]

l’instabilité ministérielle due aux dérives du parlementarisme sous la IIIe République et la stabilité de la Ve République qui verra le jour après l’échec de la République qu’étudie J-J Chevalier. Le thème de l’extrait de l’ouvrage de Chevalier est la rationalité de ce régime, et le questionnement qu’il entraine, à savoir : ce régime rationnel est-il raisonnable ? La IVe République n’est-elle pas vouée à l’échec dès sa création ? Tant de questions que se pose Chevalier, et qui le conduisent à faire la critique

vit, de mieux l'incorporer en ne se fiant qu'à ce qui est et non à ce qui pourrait être. C'est dans cette ‎perspective, qu'aucune illusion ne sera crée et par conséquent, l'homme n'aura pas à en subir les déconvenues. ‎C'est à cause du manque de rationalité des hommes, que ces derniers sont déçus par des espoirs trop grands et ‎inaptes à êtres attestés dans la réalité. Ce n'est pas la réalité ordinaire qui annule tout perspective de bonheur ‎mais la déception causée par l'image que l'homme se fait