Rawls Dilemme

du bien commun. D’un côté, la santé peut être considérée comme un bien commun. La privatisation irait donc à l’encontre du principe de l’égalité, qui est important dans le libéralisme et qui se rattache aussi au principe de libertés égales de John Rawls (Éthique de la justice).Tout le monde devrait avoir une chance égale de recevoir des soins de santé. Cependant, si le domaine de la santé est privatisé, ce ne serait pas le cas. Par exemple, la population souffrant de maladies graves et la population

désapprouver ses attitudes. Les passions sociales, « Elles ne sont jamais regardé avec opposition » c’est-à-dire qu’on les admet. Les passions égoïstes, elles doivent être regardées avec sympathie, car elles sont à la base du fonctionnement social. John RAWLS, reprend cette théorie, exemple du patron qui gagne plus que l’employé, l’employé se plaint mais il faut quand même accepter l’égoïsme du patron car il lui apporte. Cependant il ne doit pas gagner beaucoup plus. L’Homme se détermine par ce qu’il

fondements micro clairs ; Sciences po avec procédures d’agrégation par vote (démocratie, avec majorité, quotas, dictateur…) + pb identiques ; Philosophie sociale du fait de la présentation des critères de justice   (égalité, équité…   : cf   ; RAWLS, SEN par ex.). 12 c) enfin les applications pratiques de cette analyse sont nombreuses   : justice sociale, Sécurité sociale, santé, éducation, pauvreté, justice fiscale, mais aussi mise en cause du critère PIB… Nous verrons qq1 de ces applications

La justice comme quit John Rawls Section 12 Trois principes essentiels Dans la deuxime partie, lauteur examine le contenu des deux principes de justice qui sappliquent la structure de base, de mme que certaines raisons qui les soutiennent. Il rappelle tout dabord que la justice comme quit est labore pour une socit dmocratique. Ensuite la structure de base de la socit est considre selon lui comme lobjet premier de la justice politique. Enfin la justice comme quit est une forme de libralisme politique

« bonne » ou « mauvaise » que sous le rapport de sa capacité à augmenter le plaisir de tous. JOHN RAWLS John Rawls croit avoir trouvé la solution tant qu’au développement d’une société juste. Il traite la théorie de la justice comme équité. L’égalité est donc fondamentale dans le développement d’une société juste. Étant donné qu’une société possède deux groupes distinct soi les riches et les pauvres, Rawls propose que les deux opposants décident eux-mêmes ce qu’est une société juste en mettant de côté

travailler davantage et ainsi ne pas attendre d'aide de l’État. L’égalité n’est donc pas équitable. Enfin, on peut considerer que les inégalités sont justes à condition que l'égalité des chances bénéficie à tous dès le départ. La théorie de Rawls justifie donc l’intervention de l’État. Il doit assurer cette égalité de chances en supprimant les inégalités qui défavorisent certaines personnes. Pour cela, l’État dispose de nombreux moyens. L’État peut sanctionner les discriminations d'un point

principe de démocratie participative qui suppose une plus grande place à la participation citoyenne pour gouverner. Plus tard dans les années 1980, d'autres auteurs introduisent la notion de démocratie délibératives inspirés par les théories de John Rawls et de Jürgen Habermas : → Dans les deux cas, On souhaite associer indirectement les citoyens au processus de prise de décision politique en institutionnalisant la participation des citoyens « ordinaires » sous d’autres formes que la simple désignation

de la raison pratique nomme la « loi fondamentale de la raison pratique pure » et dont le contenu est un principe d’universalisation - ou, plus précisément : d’ « universalisabilité ». Selon un tel principe, puissamment attractif et 1 « John Rawls : de l’autonomie morale à la fiction du contrat social », Lectures I (Autour du politique), Paris, Seuil, p. 196. 2 « Le juste entre le légal et le bon », Lectures I, p. 183. 1 moderne dans la mesure où il permet de fonder la morale sur une

fondements de la politique économique Références (1) Philippe Adair La théorie de la justice de John Rawls Revue française de science politique 1991 41-1 pp. 81-96 (2) Agnès Bénassy-Quéré Benoît Coeuré Pierre Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De Boeck 2009 ch. 1 (3) Antoine Bozio Julien Grenet ed. Économie des politiques publiques La Découverte Repères 2010 ch. 1 & 6 (4) Philippe Van Parijs John Rawls, père fondateur de la pensée politique contemporaine Le Monde 27 novembre 2002 La politique

John Rawls estime que “ l’existence d’une pluralité de doctrines compréhensives (philosophiques, morales et religieuses) incompatibles entre elles - l’effet du pluralisme - prouve que l’idée d’une société bien ordonnée et gouvernée par la théorie de la justice et de l’équité, dans le sens défini dans La théorie de la justice, est [...] incompatible avec la réalisation même de ses principes dans les meilleures conditions envisageables ”[12]. Le paradoxe de cette universalité défendue par Rawls est