Reforme Judiciaire Napoleon

profs de droit ou juges ou juriste..., il est arrivé qu'un avis d'un juriste sois force de loi). En France c'est la loi qui est majoritaire. La loi est l'expression même du droit. En revanche la jurisprudence est considérée comme un empiètement judiciaire et une atteinte à la séparation des pouvoirs. La coutume en France apparait comme un lege de l'ancien régime donc elle est profondément condamnable (puisqu'elle n'a été constaté par aucuns texte donc personne ne sait si "elle existe"), on ne sait

bases qui ont été fondé en 1789, en se sens 1789 a bien été une révolution. Révolution : on l’oppose a la réforme, les deux concepts renvoie a l’idée de changement mais ils différent sur l’ampleur et la vitesse du changement, la révolution : changement en profondeur, l’entière structure est bouleversée mais c’est aussi un changement rapide brutal, une rupture nette avec le passée, réforme : changement d’ampleur plus limitée qui intervient selon un processus graduel, aboutir a un changement profond

Elle présente un caractère indivisible. Définition tjrs valable ajd. Cela entraine un certain nombre de conséquences car elle appartient à un organe unique (pas de division). Le roi détient donc tous les pvrs: le pvr de législatif, exécutif, judiciaire (juge suprême), de faire la guerre, etc. L’Etat s’incarne entièrement dans la personne du roi= monarque absolu. Droit divin: on considère que le roi tient son pvr directement de Dieu, c’est sa légitimité. L’Eglise enseigne que tout pvr vient

question le rôle de la noblesse en les présentant comme des «étrangers» aux intérêts de la France. Sieyes identifie les nobles comme des traîtres la république à cause de leur l'arrogance et leur capacité à agir de façon absolue et sans aucun contrôle judiciaire. Il voit la noblesse comme un corps étranger agissant en dehors de la volonté générale de la nation Française. Ironie du sort, c'est à cause de la pression de cette noblesse que le roi Louis XVI convoque les États Généraux en 1788. 
L'influence

envisagé un autre système de police. La grande loi de 1884, par l’élection des maires, modifiait considérablement l’architecture institutionnelle. Mais bien peu de textes de réflexion ont accompagné ces mouvements perpétuels de réorganisation et de réformes de la police, qui en a beaucoup subies. À partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale, les politiques publiques de sécurité, jusqu’ici d’essence quasiment policière, se sont vues complétées par de nouveaux dispositifs visant à prévenir la délinquance

religieux). Ces pontifes sont donc les seuls à connaître le droit applicable et les cérémonies qu'il faut utiliser pour faire valoir son droit en justice. Ils connaissent le fond du droit ainsi que la procédure. Ils maitrisent aussi le calendrier judiciaire : les jours où il est possible d'aller en justice (FASTES) ou non (NEFASTES). Problème Ces pontifes sont tous des patriciens, ils sont donc issus de l'aristocratie. Or les Plébéiens n'ayant pas accès à cette fonction se plaignent de l'arbitraire

législatif (le Parlement), soit par le pouvoir exécutif (le Président de la République, le gouvernement), ou soit par le pouvoir judiciaire (les juridictions). Lorsque qu’une règle de droit est prise par le pouvoir législatif, elle prend la forme de loi ; lorsqu’elle est édictée par le pouvoir exécutif, on emploie le terme de règlement. Lorsqu’elle est édictée par le pouvoir judiciaire, elle prend la forme de « jurisprudence ». La jurisprudence en France joue un rôle important, même si « les arrêts de règlements

Avant la révolution, le roi avait tous les pouvoirs, à la fois exécutif, judiciaire et législatif. C’était la souveraineté divine. Comment se fait-il qu’un individu, arrive à commander, d’où vient ce pouvoir de gouverner ? C’est le fondement de l’exercice du pouvoir royal. Il tirait se fondement de dieu, il tirait se pouvoir de la religion, un fondement théocratique. Et les philosophe se sont demandé si s’était normal, comme Grotius : Il a voulu laïcisé le pouvoir politique. Cette tentative

pseudo-parlement local, la fiscalité et tous les privilèges. Il en est de même pour la Provence, pour la Bretagne, etc. Il y a à chaque fois une confirmation des droits locaux. La France d’origine était déjà dans une grande diversité, de coutume et judiciaire. Le roi modifiait en haut (cour d’appel, etc.), mais la royauté confirmait et parfois ajoutait un privilège particulier (privita lex). Ces statuts particuliers trouvaient un fondement de légitimité. Il y avait 65 coutumes générales, 450 coutumes

Elle ne rend pas compte de la pratique du droit, du phénomène social du droit. Définir le droit comme un ensemble de règles, on ignore la dimension de réalisation du droit dans la vie et particulièrement dans la pratique des juges et des tribunaux (judiciaire) des professions du droit (juridiques). C'est donc que le droit est plus vaste que les règles. Introduction générale au droit et au droit civil Page 5 (juridiques). C'est donc que le droit est plus vaste que les règles. Elle ne rend pas compte