Réfutabilité

au fournisseur ; 2) L’impartialité doit caractériser les relations reliant l’ache- teur avec ses différents fournisseurs, les politiques envers tous les partenaires doivent être uniformes ; 3) Un partenaire vulnérable peut jouir du droit de réfutabilité de toute décision lui créant un préjudice même si elle est prise par la partie qui dispose du pouvoir ; 4) L’explication des décisions prises par la partie disposant du pouvoir à ses partenaires d’échange et qui concernent spé- cialement sa

performance au travail (en tant que comportement) : son lien de causalité avec l’implication organisationnelle (en tant qu’attitude) n’est pas établi. Les assertions des chercheurs sur le lien entre l’attitude et le comportement confirment cette réfutabilité. Becker (1967) et Clegg (1983) soulignent un possible effet de rétroaction des comportements sur la formation des attitudes. Pour cette raison nous avons opté pour une double perspective comportementale et attitudinale. En effet, un salarié

jusqu'à preuve du contraire. Mais comment distinguer une théorie scientifique d'une théorie non scientifique, ou pseudo-scientifique (discipline qui prétend être scientifique mais qui ne l'est pas réellement) ? Pour Popper, c'est le «critère de réfutabilité» qui distingue les sciences des autres disciplines : une théorie scientifique est une théorie réfutable et non réfutée, une théorie non réfutée alors même qu’elle est réfutable. Les disciplines non scientifiques avancent des théories qui souvent

Hypothèses et conditions d’applicabilité du raisonnement. Théorie : construction d’un modèle, càd une représentation simplifiée permettant d’expliquer, d’interpréter et de comprendre la réalité. Observation des faits ou expérience contrôlée. Principe de réfutabilité : théorie considérée comme «vraie » tant qu’aucun fait ou aucune expérience n’est venu l’invalider. La théorie économique se fonde donc sur des modèles. Représentation simplifiée de l’économie. Permet d’isoler les différents mécanismes pour mieux

sciences sociales. Pourquoi ? Parce qu’elles présentent un ensemble de caractéristiques qui rendent délicate l’application des méthodes qui ont fait leurs preuves dans les sciences de la nature. On peut en souligner au moins deux : 1. La notion de réfutabilité y est pratiquement impossible. Jamais aucun test ne fournit de résultat totalement indiscutable, la vérification toutes choses égales par ailleurs n’est pas possible car le test en laboratoire y est, sauf exception, impraticable. 2. La neutralité

retenues subissent avec succès le test de la réfutabilité, c'est-à-dire de la falsifiabilité. Une théorie est alors scientifique dans ce cas, non pas parce qu’elle a été vérifiée, mais parce qu’elle n’est pas fausse, et donc parce qu’elle n’est pas encore fausse. Mais elle peut devenir fausse, et c’est parce qu’elle peut devenir fausse qu’elle est scientifique. La scientificité ne repose donc pas sur sa vérifiabilité empirique, mais sur sa réfutabilité et sa falsifiabilité empirique. Exemple du Marxisme :

Fleming. contre-exemple pratique : parapsychologie (mais aussi psychanalyse) Cas (très) particulier : les mathématiques. Pour beaucoup, « les mathématiques sont l’archétype de la science », or comment concilier cela avec l’exigence scientifique de réfutabilité, qui semble ne pas exister en mathématiques. La solution est qu’il faut s’entendre sur le « -able » de « réfutable.» En mathématique, les démonstrations tiennent 10 Par exemple, qui se souviendra qu’Élisabeth Teissier (star astrologue internationale)

logique de la découverte scientifique, Paris : Payot, 1973. Cet ouvrage aborde notamment les conditions qui font d’une théorie une théorie scientifique, par opposition à la métaphysique. Ces conditions sont notamment la reproductibilité et la réfutabilité (un système faisant partie de la science empirique doit pouvoir être réfuté par l’expérience) de la théorie. Les corroborations et les réfutations se font à l’aune d’éléments nouveaux. Ainsi, en matière de théorie scientifique, il en va de même

de ce qu’est une science expérimentale. Popper, à partir du problème de l’induction posé par Hume, a proposé un critère de démarcation entre les sciences mathématico-logiques et les sciences expérimentales : le critère de falsifiabilité, ou de réfutabilité. TEXTE 7) « J'admettrai certainement qu'un système n'est empirique ou scientifique que s'il est susceptible d'être soumis à des tests expérimentaux. Ces conditions suggèrent que c'est la falsifiabilité et non la vérifiabilité d'un système qu'il

sûrement. Ce sont ces hommes « qui savent l'histoire qu'ils font »4. Selon l'historienne Ariane Chebel d'Appollonia : « La théorie du complot, en simplifiant l'espace politique, permet l'économie d'un examen attentif des réalités. »17 Défaut de réfutabilité[modifier | modifier le code] Selon Pierre-André Taguieff, le raisonnement conspirationniste donne lieu à un débat inutile car la théorie du complot ne se prête pas à la réfutation : « l'imaginaire du complot est insatiable, et la thèse du complot