Réfutabilité

Pour trouver des réponses à ces questions, et à toutes celles qui en découlent, les économistes adoptent une démarche scientifique. Pour Karl Popper, ce qui distingue une théorie scientifique d’une croyance, c’est le fait de pouvoir la réfuté (sa réfutabilité). Il n’existe donc pas de vérité définitive, mais une discussion permanente des thèses proposées. Une démarche scientifique, c’est d’abord la formulation d’hypothèses afin de répondre à une ou des questions. Puis la validation des hypothèses

métaphysique, les positivistes anéantissent avec elle la science naturelle. Karl KOOPER critique la doctrine positiviste, il propose dans son ouvrage de remplacer le critère positiviste de la vérifiabilité par celui de la falsifiabilité ou encore de la réfutabilité. C’est-à-dire que pour être scientifique, une théorie doit pouvoir être mis en défaut par l’expérience. Selon lui une théorie non réfutable est plus proche de la métaphysique que de la science. Et donc, contrairement aux thèses des positivistes

peut être bon » (ce qui définit l'anarchisme épistémologique). Il critique donc l'aspect réducteur de la théorie de la réfutabilité et défend le pluralisme méthodologique. Il existe selon lui une très grande variété de méthodes différentes adaptées à des contextes scientifiques et sociaux toujours différents. De plus, il remet en question la place que la théorie de la réfutabilité accorde à la science, en en faisant l'unique source de savoir légitime, et le fondement d'une connaissance universelle

Histoire de la pensée économique resuméHISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE « Paradigmes » : de la chréma2s2que d’Aristote aux premiers grands courants de pensées en économie poli2que (Mercan2lisme et Physiocra2e) » « Un paradigme est — en épistémologie et dans les sciences humaines et sociales – une représenta7on du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent du monde qui repose sur un fondement défini. » Epigones = Successeur, imitateur. Le statut d’un courant de pensé renvoie

sera pas efficient au sens de Fama. Le marché présente donc obligatoirement un certain caractère d’inefficience, puisque l’écart avec l’efficience est nécessaire pour rendre rentable la recherche d’information. 1.3. De la difficulté d’établir la réfutabilité de l’hypothèse de Fama Pouvoir tester l’efficience au sens de Fama d’un point de vue empirique (relation (2)) nécessite de disposer d’un modèle de détermination du taux de change de long terme pour déterminer (voir encadré) et d’un modèle de détermination

comme partie intégrante de la complexité. Le philosophe des sciences Karl Popper a éclairci, dans les années 1930, de façon décisive la compréhension du concept de « théorie scientifique » et questionne le déterminisme. Il associe le concept de «réfutabilité » (ou de la « falsifiabilité ») comme critère du sérieux scientifique d’une théorie. «Ce qui prouve qu’une théorie est scientifique, c’est qu’elle est faillible, elle accepte d’être réfutée ». Il entend mettre en avant, que la validité d’une théorie

d'Andersen La contribution la plus importante concernant l'évaluation théorique des modèles par étapes a été faite par Andersen (1993). Les deux modèles (U-modèle et I-modèle) sont évalués sur la base de deux critères : le type d'explication et la réfutabilité. L'auteur reconnaît l'originalité de leur contribution dans la recherche sur l'internationalisation des entreprises. Cependant sa réflexion 18 entraîne quatre critiques principales. Premièrement, il met l'accent sur le fait que les limites théoriques

collectées sur l'Olympe. Ces théories décrivent certains faits, mais à la façon des mythes. Elles contiennent des énoncés psychologiques des plus intéressants, mais qu'on ne peut soumettre à vérification. » Le critère de sa falsifiabilité (sa « réfutabilité » en d'autres termes) occupe l'essentiel de leur débat. Contrairement à Popper qui regarde la psychanalyse comme non réfutable donc pseudo-scientifique, Grünbaum pense que certaines assertions psychanalytiques peuvent être testées, comme le lien

tour celui du problème de la « réfutabilité » dans le scénario. K. Popper a avancé que la logique de la démarche scientifique exige qu'il existe, au moins potentiellement, une catégorie d'événements qu'on pourrait démontrer comme étant incompatibles avec la théorie (57). Dans le cas du scénario, on voit mal comment ce critère fondamental de la démarche scientifique peut s'appliquer. Comment montrer qu'un scénario est « faux » ? Selon le principe de la réfutabilité, il suffirait de répondre : «

», « confirment-ils les intuitions et les hypothèses du mien ? » C’est la position de ce petit livre. C’est à dire que ce « religieux » que vous avez vu dans ce texte ressemble plus au scientifique qu’au religieux, car il est soumis aussi à la réfutabilité, à l’investigation, à l’expérimentation. Personne ne me l’a donné, et ce n’est pas ce bon Sartre qui pourra me le reprendre, vous pouvez vous en douter. Comme le raconte le livre, sur ma civière à l’hôpital en pleine Near Death Experience, j’ai