Registre de langue

à cette question corpus nous allons montrer les différences et les points communs de ces œuvres. Nous pouvons observer que ce sont des discours ancrés dans leurs période, qu'ils sont tous ciblé et que chaque auteurs est engagé et utilise le registre polémique. En effet, on remarque que ce sont des discours ciblés avec "Ô jeunesse, jeunesse" (l.1) chez Zola, "Mes amis" (l.1) chez Condorcet, "Messieurs" (l.1) chez Hugo, "la négritude" (l.1) chez Césaire. On retrouve également des répétitions

Développement d’attitudes favorables LA COMMUNICATION VERBALE Le registre du langage Registre familier ← Le langage est relâché : il comprend des mots d’argot, des expressions « à la mode » (c’est génial, zen ….). ← Le style est souvent incorrect. ← Le ton est expansif et expressif (manifestation exubérante de joie, de colère, de sentiments…). ← Ce langage serait déplacé dans le domaine professionnel. Registre courant ← C’est le langage usuel, notamment dans l’entreprise

musique, évasion dans l’imaginaire (22 vers) pour s’entendre répondre par le jeune garçon que seules la poudre et les balles l’intéressent, façon pour l’écrivain de montrer en quoi la guerre tue l’enfance et le désir de paix. Apollinaire utilise le registre élégiaque et joue de la première personne « Si je mourais là-bas… » pour donner à son poème, où s’expriment de manière audacieuse ses fantasmes érotiques, un caractère testamentaire. L’acrostiche dit assez les pressentiments tragiques du poète. Aragon

Soyons sérieux ! Me voici."] I. Questions (6 points)  1) En quoi la situation de communication est-elle comparable dans ces trois extraits de pièces ? Le titre des pièces l’éclaire-t-elle ? (3 points)  2) Dans ces trois textes de théâtre, quels registres emploie le personnage qui conduit l’échange pour être plus persuasif ? (3 pts)  II. Travaux d'écriture (14 points). 1. Commentaire  Vous commenterez l’extrait de Musset, On ne badine pas avec l’amour, Acte III, scène 3, à partir du parcours

Soigner la présentation, respecter les marges, aérer le texte, faire des paragraphes si nécessaire. → Être clair et concis dans son résumé, rester neutre, impartial, restituer le ton du texte sans toutefois l'imiter. → Conserver le bon registre de langue (langage courant, soutenu, etc.). → Rester méthodique et organisé dans le résumé : respecter la chronologie du texte. → Mettre en évidence les liens logiques. → Compter ses mots : La marge autorisée est toujours de +/- 10

par les personnages.  En effet, le registre de langue est peu soutenu : « bonne femme ; une mouflette ; p'tite mère ; Foireux » ; « la gosse se marre ». Ce vocabulaire, un peu particulier dans la littérature, fait sourire le lecteur et donnent un ton humoristique aux personnages et au texte. Mais ces termes employés s'opposent parfois et créent des jeux de mots ou des antithèses drôles. Ces mots sont de style très différents : les uns appartiennent au registre soutenu voire très soutenu, tandis que

disaient 3° qui l’accompagnaient que les Bressans... 1.8b Sonorités souvent sourdes par l’emploi des nasales mais “généRal BonapaRTe ReTenTissait amèRement...” sonorités aigues en :/R/T/ semblent traduire le trouble profond de P. 1.8c Registre de langue : registre courant avec une pointe dans le soutenu (“retentissait amèrement”) et une autre dans le familier (“ils aiment à en parler”) 1.9 Une faille psychologique et les valeurs de P. 2. Approfondissement 2.1 La faille psychologique. Apparemment

scolaire. La forme : malgré la taille plus importante du texte 1, c’est dans celui-ci que se trouve le moins de phrases mais le plus de ponctuations. Le texte 2 emploie le présent tandis que le texte 1 emploie plus des temps composés. Le registre de langue : dans le roman de Voltaire, le langage est plus soutenu : « insipides », « raisonnements alambiqués »... Malgré quelque différence, les points majeurs des textes sont identiques. Ces textes s’adressent tous deux aux lecteurs pour

inintéressantes. « Banalités » et « inintéressantes » font partie d’un lexique dévalorisant qui montre que le locuteur refuse les lieux communs sur les élèves. Le locuteur oriente par ce vocabulaire le jugement de son destinataire.  Les registres de langue Le registre familier ou l’utilisation de l’argot permet au locuteur de manifester son mépris et de le communiquer au destinataire. EXEMPLE Vous (les touristes) tartinez sur vos larges mufles ce sourire imbécile et satisfait du bon connard loin

modernisation Elle se fait essentiellement à travers le lexique et les niveaux de langue. → termes qui situent délibérément le propos en dehors de la Grèce : les cartes et le tricot évoquent un intérieur contemporain. Le bal, l’orchestre, la robe renvoient aux soirées occidentales contemporaines. + « reliures », « flâneries », « antiquaires ». = anachronismes qui actualisent le mythe et en marquent l’éternité. → registre de langue essentiellement familier et courant : « il n’y a rien à faire », « il a