Réification

ce texte, on nous y apprend la matinée de jeune noir, lesquels doivent s'acheter à manger pour le déjeuner, cependant la personne chez qui ils doivent y acheter cette nourriture est une personne juive, ce qui est très choquant, c'est qu'on a une réification de la personne juif « et le propriétaire de l'épicerie du coin était pour moi un objet curieux », ce qui est très choquant pour l'époque, en effet le roman a été publié en 1947 soit deux ans après la guerre, guerre qui a impliqué la Shoah, or on

initial, marque une adresse à la femme aimée selon les codes romantiques. L’adjectif « choisi » évoque quant à lui un certain goût aristocratique. = ressemble à un madrigal. La correspondance âme-paysage évolue de manière symbolique. Après la réification du vers 1 qui fait d’un sujet abstrait (l’âme) une réalité concrète (le paysage), la relation semble s’inverser dans la 3ème et dernière strophe. C’est maintenant le paysage lui-même qui s’anime et s’humanise, avec la personnification d’animaux

pas, je ne te parle pas, ce n’est pas à toi que je parle ! »8Forme négative, gradation ternaire· Posture d’opposition à l’autorité familiale (propre à l’adolescence),· Montée de la colère qui explose.« Il a fini de s’occuper de moi »9Pronom· Même réification avec le pronom,· Angoisse de garder pour toujours le rôle de petite sœur.« parles » 213, 14· Importance du discours,· Antoine reprend Suzanne sur son langage.« jamais je ne t’ai entendue »15Rupture de l’ordre préétabli (Antoine aîné).« avoir l’air »

''achat des nègres'' / l.5 : ''cet achat de nègres, pour les réduire en esclavage'' : répétition dans deux phrases capitales du texte (définition / thèse de l'auteur). Insistance ''nègres'' : complément de ''achat''. ► Insiste sur le processus de réification (chosifier) de l'être humain. • l.11 : ''on les achète'' : ''les nègres''en position de COD ''exposent'', ''transportent'' ► Esclaves considérés comme des simples choses/objets. • Comparaison : ''de la même manière que les autres marchandises''

pointe du doigt une pratique non basée sur des principes islamiques et contraire aux principes d'égalité entre les sexes. Le rapport qui aborde les questions du droit des femmes dénonce un instrument (le niqab) de domination, d'inferiorisation et de réification de la femme. Rappelant les principes républicains contenus dans le bloc de contitutionalité, la mission parlementaire insiste sur une nécessité de lutter contre un objet qu'elle estime contraire aux idéaux républicains. Le président Sarkozy lui_même

la puissance qui garantit un homme », ce parallélisme montre que les deux sexe n’ont pas les mêmes valeurs et qu’une femme supérieure et éduquée n’est pas conforme à ce qu’on attend d’elle. Madame de Staël montre la transformation, grâce à une réification, de la femme distinguée en « objet de la curiosité », elle ne mérite alors rien de la société exceptée de la « pitié ». « N’est-elle pas une femme extraordinaire ? » cette question rhétorique permet à Madame de Staël de montrer que malgré la haine

résistance ne mène évidemment nulle part ! Quelqu’un résiste donc toujours à quelque chose, et d’une certaine manière, afin de ne pas se retrouver dans une situation désagréable. Ce qui, au passage, prouve au moins qu’il n’a pas totalement cédé à la réification, qu’il n’est ni passif ni une chose. Mais bien plus exemplaire est évidemment la résistance de celui qui considère que ce qui (une forme, un État, un code, etc.) existe actuellement et domine constitue un horizon dé-passable, mieux même, doit être

conversation plate et pleine « d'idées reçues » : « On causait Italie », la construction de cette phrase, sans article, évoque un sujet de conversation banal, convenu. Puis, l'ironie passe par une splendeur ridicule. En effet, nous remarquons une réification : la profusion de détails crée une confusion inattendue et grotesque, les personnages deviennent le prolongement de leurs vêtements : « Leur cou tournait à l'aise sur leur cravate basse… ». Plus tard, on nous dit que les « coureurs engraissaient »

distingue une sorte de plaisir enfantin, a faire vibrer ces personnes, comme une sorte de méduse échouée sur la plage, sans se demander se qu'elle ressent, puisqu'elle ne peut rien ressentir, car c'est une simple méduse. Céline critique donc ici la réification de la vie des ouvriers. Ainsi Bardamu est utilisé comme un simple divertissement, un jouet. Le fait qu'on lui remplace son nez par un nouveau, donne un caractère comique a cette situation, car le faux nez est souvent associé aux clown. De plus,

est privé de son individualité et est réduit à néant par le système judiciaire.→ la seule fois où il veut prendre la parole (et seulement pour comprendre la démarche oratoire de son avocat), on lui dit de se taire ("Il m'a dit de me taire" l.5) + réification par la métaphore de la lecture dans l'âme = un simple livre.• A aucun moment Meursault ne croit à l'efficacité de la plaidoirie de son avocat.→ fait l'amalgame entre la plaidoirie et le réquisitoire ("tout devenait … vertige" l.21) + "toutes ces