Remords Ou Regrets

Salvatore est ébahi devant la détermination de cette femme et accepte au bout d’un certain temps. Lors d'une patrouille, l'un des immigrés vient demander la liberté au commandant, ce qui le déstabilise et le fait répugner de son travail. Il refuse avec regret de cacher cet homme à bord pour le sauver. Mais sa décision est prise, il décide de tout quitter et de partir pour l'Afrique du Nord à bord d'une petite barque. Arrivé en Libye, Piracci fait la connaissance de la reine d’Al-Zuwarah, une femme laide

m’obsèdent. J’hésite à apposer le nom... Nom grave de tristesse. C’est un sentiment si complet, si égoïste que j’en ai presque honte alors que la tristesse m’a toujours paru honorable. Je ne la connaissais pas, elle, mais 1'ennui, le regret, plus rarement le remords. Aujourd’hui, quelque chose se replie sur moi comme une soie, énervante et douce, et me sépare des autres. » Cécile, la narratrice, raconte son passé récent, son dernier été. Dès le début de l’action, le lecteur est transporté à l’été

confort des préjugés et des illusions. Ainsi, en reprenant l’exemple de Matrix, nous pouvons observer qu’un des compagnons de Neo regrette amèrement son choix d’avoir quitté la Matrice (« le Monde Sensible »). « Le Monde Intelligible » est trop cruel pour lui. Il n’a qu’une idée en tête y retourner car le poids de la vérité est trop difficile à supporter pour lui. Il regrette le monde trompeur et confortable où il est aisé de se laisser manipuler et vivre dans des illusions. Pour retourner dans ce monde

peu ! » et la tristesse : « J'étais morne au milieu du bal le plus joyeux », et la mort de Léopoldine en est le centre : « Et dire qu'elle est morte! Hélas! ». L’interjection «  Hélas ! » peut être associée à un soupir de désespoir traduisant le regret du poète et sa tristesse. L’ombre et la lumière sont aussi mis en opposition. On a un champ lexical de la lumière « clarté », « radieux », qui est symbole de joie : celle du père et de la fille, mais aussi celle de la pureté de Léopoldine. Pour

faudrait donc le considérer comme une contrainte pour construire le futur. Il s’agit ici de reconnaitre que le passéisme nous renvoie à l’incapacité de nous tourner vers l’avenir pour nous construire, il nous paralyse et est souvent synonyme de remords et de regrets. Le passé nous enferme et nous réduit à un autre que nous même, un autre qui n’est déjà plus et qui aspire à devenir différent mais il nous empêche, nous limite et nous répétons ainsi les mêmes erreurs, nous piétinons sans jamais progresser

(V1225). "A quel nouveau tourment je me suis réservée!" (V1226) montre la nouveauté de cette douleur, a la quelle elle ne s'attendait pas. "Tout ce que j'ai souffert, mes craintes, mes transports" (V1227) "La fureur de mes feux, l'horreur de mes remords" (V1228) Racine énumère les étapes de la souffrance de Phèdre, l'accumulation des mots montre l'intensité de cette douleur croissante. Cette énumération s'oppose au vers 1229 "Et d'un refus cruel l'insupportable injure", court et tranchant exprimant

excuse-toi, ou je reprends tout ça... Une nouvelle fois, comparaison entre « autrefois » et « maintenant », ce qui sert à décrire les conséquences d’une querelle amoureuses et il punit sa compagne. Le couplet se termine sur l’association entre le regret « excuse-toi » et les biens matériels « ou je reprends tout ça… ». Mon frigidaire, mon armoire à cuillers Mon évier en fer, et mon poêle à mazout Mon cire-godasses, mon repasse-limaces Mon tabouret-à-glace et mon chasse-filous! La tourniquette,

«Douleur» que ressent le personnage. Comme on peut le comprendre rapidement, l’auteur la personnifie, puisque il s’agit de «sa» douleur mais aussi car il la transforme en nom propre. Quelques sentiments, se font remarquer assez vite, tel que les remords, les regrets, qui pour simplifier font référence à la nostalgie. J'ai ensuite décider de vous présenter un poème nommé « le tonneau de la haine ». Comme son titre l’indique, le sujet principal sera bien la haine, un des sentiments évocateurs de la souffrance

Verlaine évoque la femme dans toute la plénitude de ses différents rôles : capable de faire le mal si elle est cruelle, rassurante si elle est compatissante, beauté inaccessible, ou encore femme charnelle. Loin de Mathilde, rongé à la fois de regrets et de remords, Verlaine dans sa détresse rêve de la femme parfaite qui résoudra toutes ses contradictions en lui donnant tous les bonheurs à la fois.

cadeau a une valeur de sacrifice. C'est-à-dire qu'on offre parfois au-dessus de ses moyens. Quant à elle, Cécilia Dutter, dans sa critique d'un roman, parle des achats somptuaires. Ces achats provoqueraient des émotions contradictoires, des regrets, des remords. Mais ils apportent aussi un signe extérieur de richesse, même si pour l'acheteur cela est difficile. Dans sa caricature, Chaunu montre aussi que les cadeaux banals peuvent apporter de l'affection comme le mari qui répond à sa femme qui lui