Renault Comportement Du Consommateur

financiers qui affectent le sport est cependant à relativiser : Nike, le leader mondial, pèse quatre fois moins que Renault et vingt fois moins que General Motors » . Les marchés du sport sont donc de tailles très modestes par rapport au niveau mondial, et en plus de ça, les firmes vont devoir gérer une contrainte supplémentaire, celle de l'instabilité du comportement du consommateur sportif. En effet, le sport ne relève pas d'une consommation utilitaire, mais dépend de l'état affectif de l'individu

Le mode de présence est donc une décision stratégique majeure qui lie l’entreprise. Les modes de présence obéissent à cette logique de mutation des marchés étrangers, car sous l’effet de la mondialisation, il est important de se rapprocher des consommateurs. Le choix d’un mode de présence s’inscrit dans le plan marketing, notamment lorsque le marché doit apporter une meilleure contribution au volume de facturation réalisé sur les marchés internationaux. Rien n’est donc figé, car en redistribuant au

conséquences sur le comportement des consommateurs. Depuis les années 1980, ils se sont rendu compte que les consommateurs étaient devenus très rationnel, et donc cherchaient à optimiser leurs achats, à comparer entre plusieurs magasins. Pour garder la clientèle et même pour en avoir de nouvelle, un certain nombres d'éléments formant le premier marché experientiel est mis en place. Ces éléments sont aujourd'hui entré dans les normes et est devenus la base aux yeux des consommateurs: c'est l'amplitude

volume et de rentabilité, on juge nécessaire de se fixer des objectifs plus qualitatifs ayant trait par exemple : - A l’image de marque auprès des consommateurs, prescripteurs ou distributeurs, - A la satisfaction des clients. Exemple - « faire en sorte que dans un délai de 3 ans, notre marque de parfum soit perçue par plus de 70% des consommateurs comme l’une des grandes marques prestigieuses du marché » - « faire en sorte que le taux de satisfaction à l’égard de nos services, tel qu’il est mesuré

stratégie à adopter page 9 VI- le plan d’action pour deux ans pages 10 à 12 INTRODUCTION Aujourd’hui, les personnes prennent de plus en plus en considération la fragilité de l’environnement dans lequel nous vivons. Peu à peu nous changeons de comportements quant à la consommation de « produits » ayant un impact néfaste sur l’environnement. Les entreprises sont de plus en plus sensibilisé par le fait de garantir le bien être actuel sans compromettre celui des générations futures. En effet, dans

directement pour ce secteur), l’Etat a très rapidement réagi en mettant en place des mesures d’absorption des effets inévitables de la crise. Le gouvernement annonçait en février 2009 l’octroi d’un prêt de 6 Mds d’€ à un taux de 6% sur 5 ans à PSA et à Renault afin de leur permettre de préserver l’emploi et de financer leurs projets de développement, notamment sur les véhicules propres. Ce dispositif était conditionné par un engagement de leur part à sauvegarder l’emploi en France (pas de plan social ni

LE CAS RENAULT | DOSSIER DE MANAGEMENT STRATÉGIQUE | EXERCICE 5 | | Almudena De Simon Aude Wartelle Damien Guery Matthieu Albrieux Anass Abdenabaoui SOMMAIRE : I. Introduction : Présentation de l’entreprise et de sa problématique stratégique……..3 1. Le groupe Renault en quelques mots ………………………………………………3 2. L’historique du groupe Renault …………………………………………………….3 3. Les marques du groupe Renault…………………………………………………….4 4. Les chiffres clés du groupe Renault………………………………………………..

 Chapitre 1 : De l’esprit marketing à la connaissance du consommateur Marketing fondamentale ou analyse du comportement du consommateur Déf de Mc Carthy et Parrault : « une organisation dirige tous ses efforts pour satisfaire les clients et réaliser le profit » Deux dimension : consommateur – profit qui mesure l’efficacité commerciale Déf de Kotler : « la clé pour atteindre les objectifs de l’entreprise consiste à déterminer les besoins et désirs des marchés » Deux dimensions : techniques

le  consommateur  final.  Un  surplus  de  valeur  apparaît  mais  avec  lui  bon  nombre  de  questions.  Ne  s’agit‐t‐il  pas  d’un  problème    A qui profite le surplus de la valeur crée ?  Le  surplus  de  la  valeur  profite  à  l’image  de  marque  avant  tout,  cependant,  ce  bénéfice est presque négligeable. Le client ne  voit pas toujours la valeur ajoutée d’une offre  plus « verte » surtout si  celle‐ci se traduit  par  une augmentation de prix.  Le consommateur  voit 

marginal est devenu au cours de la dernière décennie un centre d’intérêt majeur, une réalité économique pour les professionnels du marketing. Ces derniers, depuis la fin des années 1980, observent et analysent les consommations des groupes de consommateurs atypiques, et notamment ceux des adulescents : consommation régressive, attitudes de plus en plus ludiques, tendance au détournement. (p.18) Cette nostalgie régressive est aujourd'hui largement récupérée par les marketeurs et les marques, qui la