Renault Et Le Taylorisme

l'entreprise (division technique du travail) : décomposition de l’activité productive à l’intérieur de l’entreprise. Ex : 5000 prospectus à distribuer par courrier. Quels choix d’organisation du travail ? Pourquoi ? * entre entreprises : entre Renault et Valéo (équipementiers) par exemple. Notion liée : externalisation. * entre nations : DIT (spécialisation internationale, avantages comparatifs, DIPP, cf. thème sur la mondialisation). ( Dans quelle mesure l'évolution de l'organisation

RENAULT Gaëtan VILLEDIEU François CADORET Anthony LE NEILLON Flavien RENAUD Plan Présentation (intro) Histoire Enjeux Conséquences Présentation Renault est un constructeur automobile français. lié au constructeur japonais Nissan depuis 1999 à travers l'alliance Renault-Nissan qui est, en 2013, le quatrième groupe automobile mondial

contraction des termes autonomie et automatisation. L'autonomation repose sur le souci de faire des ouvriers des individus autonomes et responsables, capables de tirer le meilleur parti de l'automatisation du système productif. Contrairement au taylorisme qui procède par destruction du savoir des ouvriers et par décomposition des tâches à exécuter, le toyotisme consiste à transformer les ouvriers en « travailleurs multifonctionnels ». Cela signifie que l'ouvrier doit être polyvalent et relativement

l'usine Renault de Billancourt à la grande époque. Et pourtant, l'essentiel, le cœur de leur fonctionnement est identique: travail prescrit, tâches subdivisées, rythme imposé. Taylor menacé par la crise des OS dans les années 70 a su rebondir. Il est parvenu non seulement à conserver son terrain de chasse habituel, l'industrie, mais il est parti à la conquête de nouveaux territoires : banques, assurances, restauration, distribution... Source : G. Duval, « Les habits neufs du taylorisme », Alternatives

division sociale du travail qu’à la division technique du travail. Preuve que Smith ne néglige ni l’une ni l’autre, mais analyse la première en s’appuyant sur la seconde. Elle s’est appliquée dans les entreprises, par des organisations du travail : Taylorisme, Toyotarisme… Mais il faut se baser par rapport à la demande, si la demande intérieure est faible, on exporte les produits à l’étranger, c’est donc l’ouverture au commerce international, l’entreprise devient exportatrice. C’est une idée novatrice

donc accéléré et puis l’état lui même est contraint d’abandonner le monopole de fabrication des obus. On a donc une dispersion avec la consolidation a Paris et sa région avec le développement de la production de guerre, notamment avec l’exemple de Renault, qui se reconverti dans l’armement, la superficie de l’usine triple également avec ses employés. Clermont Ferrand d se diversifie au niveau du pneumatique, Michelin emploi près de 7000 salariés en 1918, soit 52% de plus qu’avant la guerre. En 1918

acier, moteur flottant, garages et concessions, caravanes et catalogues… tout cela est bien nouveau mais pour l’Europe seulement. Sa mise est la fabrication massive de véhicules simplifiés, d’une gamme réduite, un seul modèle peut-être ; contre Louis Renault, son luxe et ses cuivres, voici en 1924 la 5 CV, « la p’tite Citron », spartiate et étroite, « la première voiture française fabriquée en grande série ». […] Flamboyant et prosélyte, flambeur et prédateur, audacieux et arrogant, météore de l’industrialisation

donc bord de fleuve ou de mer. • Automobile et biens de consommation : fordisme et taylorisme n’ont atteint la France que tardivement. Taylorisme après-guerre (augmentation des besoins des ménages en biens de consommation) : recherche d’ouvriers spécialisés (peu qualifiés) donc décentralisations industrielles dans les zones d’excédent de main d’œuvre (masculine et rurale comme pour Citroën à Rennes et Caen, Renault au Mans et le long de la vallée de la Seine ; main d’œuvre féminine pour électronique

livre : Renault est une entreprise créée par les frères Renault en 1898. En 1945, le gouvernement provisoire saisit ses usines et nationalise l’entreprise, pour avoir collaboré avec l’occupant. Elle devient la Régie nationale des usines Renault. En 1990, l’entreprise change de statut et devient une société anonyme à capitaux d’État. En 1994, Renault fait son introduction en Bourse. En 1996, l’État cesse d’être l’actionnaire majoritaire - mais conserve une partie du capital. Videos Renault 1 (1977)

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