Rentabiliser Un Portefeuille De Clientèle Bancaire

Identification des facteurs clés de succès Analyse concurrentielle : Forces de PORTER (5+1) ; Carte des groupes stratégiques Détermination des compétences distinctives Position et profil concurrentiels Chaine de valeur Analyse SWOT Analyse de portefeuille d’activités : Matrices BCG, ADL, Mc Kinsey Analyse des modalités de croissance, choix et orientations stratégiques Recommandations stratégique I. Identification de l’entreprise : Nom juridique : ONA (Omnium Nord-Africain) Forme juridique

ceux qui m’ont accordé de leur temps en répondant à mes questions. SOMMAIRE Introduction p. 01 PREMIERE PARTIE : LE BESOIN DE METTRE EN ŒUVRE UNE NOUVELLE STRATEGIE DANS UN ENVIRONNEMENT COMPLEXE p.07 Chapitre 1 : Le marché bancaire des particuliers p.09 Chapitre 2 : Diagnostic de l’entreprise et de ses outils de fidélisation p.21 DEUXIEME PARTIE : LA RECONQUETE DES CLIENTS PAR LE BIAIS DE DEUX OUTILS DE MARKETING DIRECT p.31 Chapitre 1 : L’optimisation des performances

pourtant, la banque est au cœur de l’économie nationale. Elle joue de plus en plus un rôle décisif. Gérant les dépôts et l’épargne, distribuant les crédits, animant les marchés financiers, organisant les paiements et le change ; les établissements bancaires irriguent le pays d’un flux vital : l’argent. Une matière première qui n’est pas ordinaire. Une marchandise dont le processus de fabrication est bien mystérieux. Une denrée rare, sensible, stratégique qui ne peut laisser personne indifférent. Pour

Présentation de la banque et des promoteurs V. Fonctionnement et organisation de la banque VI. Ressource de la banque CHAPITRE III .LE MARCHE………………………………………………………………………………..PAGE 15 I.Clientèle cible II. Fidélisation de la clientèle et ses avantages CHAPITRE IV: APERÇU HISTORIQUE DE LA BANCASSURANCE……………………………..PAGE 17 I .Dans le monde II .Relation entre la banque et l’assurance III. Fonctionnement de la bancassurance V. Importance de la bancassurance

versements mensuels, trimestriels, semestriels ou annuels. En cas de versements mensuels ou trimestriels des cotisations, le souscripteur donnera son consentement à la M.A.E afin qu’elle puisse procéder au prélèvement automatique sur son compte bancaire. Les cotisations peuvent être constantes ou croissante chaque année. Le taux de croissance des cotisations figure dans les conditions particulières de chaque contrat et peut être de 3% ou de5%l’an. Le souscripteur effectue donc les

Marketing Bancaire Cas de la BMCE-Bank Sommaire : Introduction générale Première Partie : La démarche Marketing. Chapitre I : Analyse globale du concept Marketing. Section I : Définition, Emergence et évolution du concept Marketing. Section II : Les différentes sortes et domaines d’applications du Marketing. Section III : Méthode et pratique du Marketing : (Les stratégies Marketing). Section IV : Les moyens d’actions du Marketing où le Marketing Mix. Chapitre II : Le Marketing Bancaire. Section I

Banque et Intermédiation Financière Hervé Alexandre Articles de presse Que faire des agences bancaires Ca fait 15 ans que les banques aimeraient bien se débarrasser des agences qui coutent chères et rapportent peu. Agences poids mort mais on ne peut pas les supprimer pour le moment. Ca rassure les gens. La question de rentabiliser les agences bancaires se pose donc : * Assurance bancaire * Téléphonie mobile Une des actions des banques est de prendre des commissions : frais de dossier

« Analyse et gestion du risque de crédit dans une institution financière non bancaire » (cas de la CADECO Kolwezi). 1.1. PROBLEMATIQUE Les banques et autres intermédiaires financiers tendent à occuper une place prépondérante dans les désordres financiers à l'échelle internationale du fait de l'élargissement de leur activité de gestion et de transfert de risques entre agents. La menace que les défaillances d'institutions bancaires font peser sur les systèmes financiers a contraint les autorités réglementaires

courant, tels que les cartes de paiement, de crédit et de retrait, mais parallèlement, elles ont proposé d’autres services bancaires, moins étroitement liés au compte courant tels que la gestion de comptes d’épargne mais également des services d’assurance. C’est ainsi que, durant les années 80-90, la distribution des produits d’assurance par l’entremise des guichets bancaires a commencé à se généraliser en Europe, et notamment en France, donnant naissance à un nouveau concept qui définit les divers

à une quantité fixée2.       laisser les taux d'intérêt se former librement sur le marché interbancaire en fonction de l'offre et de la demande de monnaie centrale.  -        La conséquence est l'envol des taux d'intérêt américain le taux de base bancaire passe de 10,5% en 79 à 21,5 % en 1980.-        Cela induit une entrée massive de capitaux venant du monde entier, qui augmente la demande du dollar et donc son prix relatif.-        Cette politique monétaire s'est traduit par une très forte récession