Rituel 1er Degre

C’était du domaine des régimes matrimoniaux. Le conjoint était perçu comme un étranger. Le sort ne se réglait pas dans le domaine des successions. Le code civil n’a pas changé grand chose. Le conjoint passait après les collatéraux jusqu’au 12ème degré, et il n’était préféré qu’au fisc. De plus, il avait un statut de successeur irrégulier. A la fin du 19ème siècle, son sort commence à s’améliorer. En 1891, il se fait attribuer l’usufruit. Puis, progressivement, le sort du conjoint survivant s’est

direct : c’est le lien qui unit les ascendant (grand père et grand mère) a des descendants. (petit fils …) - en ligne collatéral : (frère et sœur, cousin germain) il s’établit en remontant a l’hauteur commun. (je suis en lien collatéral au deuxième degré avec mon frère). Pour les cousins ( lien collatéral au quatrième degrés) b- les liens d’alliance : Qui se nouent dans une famille né d’un mariage avec les parents du conjoint (beau père, belle mère) ou les frères et sœur du conjoint. (beau

n’est pas isolée de la parenté, mais réciproquement il serait abusif de parler de « new extended family » à propos de la majorité des contextes occidentaux contemporains. Objectif prioritaire Mode de régulation Principe d’organisation Degré de permanence Institution Compagnonage Instrumentalité : objectif de survie, produire le gagnepain, sécurité matérielle et psychologie, éducation des enfants Exogène : constitution intérieure définie par l’extérieur. Ce n’est pas les

le conflit leur a permis d'affirmer et de retrouver cette "dignité". ils ont acquis une reconnaissance sociale symbolisée dans l'entreprise par la naissance du "délégué du personnel" et dans la société par la naissance de la journée du travail (le 1er mai). L'ordre social n'est plus imposé. Il est négocié. Socialisation et construction de l’identité collective Identité collective assignée (profession, classe, ethnie…) = groupe d’appartenance Processus de différenciation identitaire Sentiment

résumé - p.4 4 - Pourquoi réinterpréter un classique de nos jours? - p.6 5 - Pistes pédagogiques: avant le spectacle - p.7 A - Tableau 1 : relation entre les personnages - p.8 B - Tableau 2 : présence des personnages - p.9 C - Tableau 3 : découverte du 1er acte - p.10 D - Tableau 4 : costumes - p.11 II - Carnet de création 1 -Note d’intention d’Eric Lacascade - p.12 2 - Eric Lacascade: biographie - p.13 3 - Le costume - p.14 4 - Interview de Marguerite Bordat, costumière - p.15 5 - Interview d’Emmanuel

aux boissons alcoolisées, elles sont depuis la nuit des temps, le breuvage associé à la fête et aux plaisirs, mais aussi à la médecine. Quasiment toutes les boissons alcoolisées sont entrées dans l’ère industrielle. Elles donnent lieu à de nouveaux rituels, de nouvelles recettes et des exportations au quatre coins du monde. LES BOISSONS NON-ALCOOLISÉES Selon une étude du bureau du vin et des autres boissons de la Direction générale des politiques agricole, agroalimentaire et des territoires, le

d'eux. En raison de la stabilité du patrimoine génétique, même lorsque le contact existe avec d'autres groupes, le groupe finit par être perçu comme une ethnie composée de personnes qui partagent un haut degré de ressemblance physique, mais, plus important encore, qui partagent les rituels et les habitudes d'interaction qui sont inscrits dans la vie quotidienne sans demander un effort de réflexion particulier. La culture en tant que système de comportement rend la vie de chacun dans le même

Dossier pédagogique 1er degré / 2nd degré Direction artistique : Paul Ardenne 1 Sommaire Introduction générale __________________________________________________________________ 3 Parcours thématiques D'une édition à l'autre : pictural malgré tout ___________________________________________ 7 Histoire(s) et mémoire(s) _________________________________________________________ 12 Un art engagé, un art politique ______________________________________________________ 17 Le spectacle

n’y en a pas ? Phénomène de frustration : (Robert Gurr WHY MEN REBEL) c’est un modèle psychologique car on prend en compte non pas la situation réelle, mais la perception de la situation réelle : c’est la différence entre le degré d’aspiration à des biens/situation et le degré de satisfaction de ses biens/situation qui pousse à la violence ( c’est une frustration relative qui fait entrer en jeu une logique de comparaison. Mais pour aboutir à une violence, la frustration doit atteindre une certaine

rien de péjoratif avant la Révolution. Roland Mousnier, historien, propose un schéma avec 3 modèles de société : la société de castes, fondée sur la religion. Ce modèle ne connaît aucune mobilité sociale en théorie. On ne peut pas changer son degré de pureté religieuse. D’un autre côté, Mousnier propose un modèle de société de classes, dans lequel les individus sont classés en fonction de leurs revenus économiques. Société très fluide par conséquent, quand le critère d’ascension sociale est