Rupture De Légalité Devant Les Charges Publiques

confié aux juges qui assurent la protection des droits humains. Cette protection se fait au BURKINA FASO par les juridictions de l’ordre judiciaire et de l’ordre administratif. Les justiciables peuvent faire valoir leurs droits par la voie de recours devant les cours et tribunaux dont l’organisation et le fonctionnement répondent aux standards internationaux : indépendance et impartialité de la justice, double degré de juridiction, droits de la défense. A. Les juridictions de l’ordre judiciaire 1.

importante de l’économie nationale sur le monde, à la rareté des ressources et à l’accroissement des besoins et compte tenu du poids de la dette et de la pression fiscale, l’administration marocaine est appelée à optimiser et à rationaliser la gestion publique afin de continuer à honorer les engagements pris vis-à-vis de ses différents partenaires. A cet effet, elle se trouve dans l’obligation d’assurer la maitrise des couts, en recouvrant aux plus efficaces des modes de gestion, à l’initiation des formes

les textes et veille à la bonne exécution des normes Le parlement européen qui donne son avis Le conseil de l'union européenne qui décide de l'adoption La CJCE qui interprète les textes. La cour des comptes qui assure la légalité de la dépense publique Rappel sur les traités (dates en vigueur) : 23 juillet 1952 : Communauté Européenne du Charbon et de l'Acier (CECA) 1er Janvier 1958 : traité de Rome instituant la CEE traité de Rome instituant la Communauté européenne

contrat administratif. Cela résulte notamment de l’affaiblissement des modes autoritaires de gouvernance de l’Etat. Les politiques publiques recherchent le plus souvent le consensus plutôt que l’unilatéralité. Le recours au contrat permet une meilleure acceptabilité de la norme négociée et une garantie de sa bonne application. En outre, les relations entre les personnes publiques se sont multipliées. Le contrat émerge comme un puissant outil de modernisation des services publics. Chapitre 1 – L’acte

revient à l’administration elle-même de régler ses propres litiges. L’administration est gouvernée par les ministres, il reviendra donc aux ministres de connaitre des litiges qui opposent des administration sous leurs ordre avec d’autres personnes publiques ou privées. Le ministre est un juge de l’administration. C’est pourquoi on va développer la théorie du ministre juge qui justifie cette compétence. On fait tenir cette idée avec une autre idée, celle de juger l’administrationqui est une autre manière

qu'une affaire peut être rejugée par une juridiction supérieure. L'objectif est de limiter les erreurs, le juge n'étant pas supposé infaillible. C'est le principe du double degré de juridiction. L'application du droit est contrôlé par un juge de la légalité des décisions de justice pour la Cour de Cassation ou Conseil d’État. Il ne rejuge pas les faits mais le droit du premier et du second degré. SECTION 1 – l'ordre judiciaire. I. Les juridictions civiles. Elles règlent des litiges entre

souverain. C’est « une œuvre de la nation qui, en l’adoptant fonde à la fois l’autorité et les conditions de son exercice ». Le texte étudié est une partie du préambule de la Constitution de 1791, qui affirme dans un style volontiers déclamatoire la rupture totale avec l’Ancien Régime. Il est précédé de la Déclaration universelle des droits de l homme et du citoyen du 26 aout 1789. C’est une introduction aux différents articles de la constitution. Il présente ces derniers en quelques phrases, étalant

dans son "nouveau" code du travail reconnaît deux types de licenciements : (i) le licenciement justifié qui fera l’objet de la première partie et (ii) le licenciement abusif qui sera développé dans la deuxième partie de cette étude relative à la rupture unilatérale du contrat de travail à durée indéterminée du fait de l’employeur. Licenciement justifié Le licenciement du fait de l’employeur peut valablement avoir lieu, moyennant le respect des dispositions définies à la « Section Il : Des

intensité et sa fréquence : celui de l’intervention du juge pénal. Cependant, pourquoi parler de risque ? Les textes d’incrimination existent, ils n’ont a priori qu’à être intégrés dans la démarche contractuelle de l’administration, la répression ne devant intervenir qu’envers le malhonnête. D’autant plus, que le contrat étant un acte volontaire, le risque paraît d’autant mieux maîtrisable. Ce serait, toutefois, oublier la maladie honteuse dont le droit pénal souffre. Celle qui lui fait sanctionner

y trouve aussi des dispositions relatives au droit civil, fiscal, des libertés publiques, ou des collectivités territoriales. Cette réalité institutionnelle montre que le droit constitutionnel n’est pas cloisonné des autres disciplines juridiques, dans la mesure où il entretient des rapports étroits avec ces dernières. Le droit constitutionnel a donc ainsi de nombreuses interactions avec le droit des libertés publiques, des collectivités territoriales, ou encore avec le droit international (cf. :