Rupture épistémologique

obéissance et instruction et en plus une protection. Elle apporte une éducation morale plutôt qu’intellectuelle. | Fin du 19ème siècle = apparition des écoles maternelles | * Cette apparition s’appuie sur le réseau des salles d’asiles mais avec une rupture idéologique et un changement de pédagogie * La scolarité est un droit et est ouvert à toutes les classes sociales * Les institutrices maternelles = statut professionnel * Evolution du contenu d’apprentissage | Mi 20ème siècle passage du

par l'exigence que soient vrais les jugements que nous portons sur elles ? S'étant borné à signaler ces problèmes d'ordre métaphysique ou axiologique, abordés en d'autres articles, on ne traitera ici le sujet que d'un point de vue logique et épistémologique. Robert BLANCHÉ La notion de vérité est ambiguë. On peut parler d'une proposition vraie ; mais on peut parler également de la vérité de son contenu, comme Platon a posé celle des objets hypostasiés en Idées, que vise d'après lui la connaissance

illustration dans le champ de la gouvernance des entreprises, nous montrons ce que sous-tend le conflit apparent entre les démarches quantitative et qualitative. Nous développons un guide méthodologique de l’étude de cas et discutons de sa portée épistémologique. « Epistemology and Methodology in Management Science: Discussion on Case Study » Abstract : The topic of this paper is related to the methodological question in management science. We study the scientific process on the basis of the corporate

Publication et littérature scientifique 9 Épistémologie : le discours sur la science 9.1 Épistémologie ou philosophie des sciences ? 9.2 Science au service de l'humanité : le progrès 9.3 Interrogations de l'épistémologie 9.4 Grands modèles épistémologiques 9.4.1 Cartésianisme et rationalisme 9.4.2 Empirisme 9.4.3 Positivisme d'Auguste Comte 9.4.4 Critique de l'induction de Mach 9.4.5 Réfutabilité de Karl Popper et les « programmes de recherche scientifique » de Irme Lakatos 9.4.6 « Science

et encore l’histoire de la démocratie. On tente toujours de saisir ses finalités, alors qu’il s’agirait de délibérer sur ses moyens pour les créer ; Ambroise Rendu nous rend sensibles à ce théâtre de l’histoire de la démocratie : elle est faite de ruptures radicales et d’une continuité fondamentale. La fraternité n’a été à l’origine que l’occasion d’un article additionnel, elle s’est établie sur le plan constitutionnel pour devenir une aspiration universelle. Elle a connu son purgatoire dans le combat

évidents mais il ne faut pas perdre de vue que c'est une question anthropologique qui peut ramener à la dimension morale de l'homme. Enfin, ce sujet exige aussi que l'on ait analysé ce qu'est une connaissance, et a donc également des enjeux épistémologiques. Corrigé :  Les titres en couleurs servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie. Introduction Personne ne semble mieux placé que soi-même pour se connaître, pourtant par des expériences, le regard d'autrui

sociologue peut faire n'importe quel boulot de recherche, sans les spécificités (gage de scientificité). Production de données neutres, objectives et pouvant se passer du sujet (le scientifique → n'importe qui peut investir l'objet de la recherche. Rupture. D'un côté on va trouver une réflexivité philosophique (possibilité pour le sujet de réfléchir à son sujet/thème/objet de recherche) De l'autre, la fameuse objectivité scientifique. Elle n'a pas de conscience puisqu'il n'y a pas de sujet pour réfléchir

l’utilisation de la notion d’exclusion qui est utilisé comme « fourre-tout ». Il met aussi en cause les médias et les politiques qui utilisent ce mot pour des situations totalement différentes. C’est de cette façon que l’auteur opère une rupture épistémologique car il prend du recul par rapport à la notion « d’exclus » que les médias et les politiques utilisent. Dans le second texte « La montée des incertitudes » le sens commun réside dans les idéologies véhiculées par les politiques libérales

qu’il est partiellement sans cause. Et certains de ces phénomènes ne sont pas encore connus (observés, mais pas connus !). de ce point de vue, la science ne permet pas de connaître toute la réalité. La science rencontre des obstacles épistémologiques, car les concepts scientifiques ne sont jamais donnés, mais toujours produits ou élaborés. Hormis les obstacles externes (complexité des phénomènes, faiblesse des sens…), il y a des obstacles inévitables à l’acte même de connaître comme le souligne

qui serait caractéristique de la modernité, ne serait pas elle-même l’indice d’un progrès, de sorte que la vie irait au moins dans une direction positive, celle d’une plus grande connaissance de soi ? 1.2. L’âge du « peut-être ». 1° Relativisme épistémologique. La conscience de la relativité des valeurs vaut tout autant pour la vérité. Que la vie soit inintelligible n’est pas plus vrai de la vie que son contraire : cela exprime seulement une expérience déterminée de la vie. 2° La crise de la notion