Rupture épistémologique

l’homme dans la nature. Seul l’homme par son esprit (liberté et raison) accéderait à un mode d’être transcendant la vie biologique. La rupture ontique désigne la différence de nature qu’il y aurait entre l’homme d’un côté et tous les autres vivant d’un côté. C’est l’idée d’une discontinuité entre l’homme et la nature. C’est un « étant » à part. La rupture ontologique : l’auteur désigne par-là un trait de la plupart des conceptions du monde à travers le monde, elle consiste à penser que le réel

radical entre les humain et les animaux). Il marque la rupture entre l’animalité pur soumission à l’instinct et l’humanité dont le langage serait le privilège parce que seul l’homme disposerait d’une pensée. Ainsi la pensée classique, s’empêchait telle peut être d’admettre que les animaux disposent d’un véritable langage à cause d’un inexpugnable (indéracinable) anthropocentrisme (centrer sur l’homme). 2 – une difficulté d’ordre épistémologique : De ce point de vue, une autre difficulté particulière

demeurant, il n'est pas un seul des facteurs précédents qui ne soit sujet à varier, parfois dans une large mesure, sans qu'on en soit bien prévenu. De là l'extrême complexité du cours réel des événements (Keynes, p. 266)". Cette analyse marque une nette rupture avec le modèle classique de l'équilibre. Celui-ci était supposé automatique. Or les tendances équilibrantes semblent faire défaut. De plus il avait la particularité merveilleuse de se situer au niveau du plein emploi. Chez Keynes, il y a bien, non

 proposé par le Ministère, de licence de pédagogie, pour adopter celui  de « licence de sciences de l’éducation » en s’inspirant de l’exemple de Genève, pour  éviter « le mot de pédagogie devenu doublement équivoque ». Ils ont souhaité ainsi  marquer la rupture entre ce qui aurait pu être considéré comme un enseignement  uniquement tourné vers une pratique scolaire et un enseignement basé sur l’ensemble des réflexions et des recherches scientifiques qui pouvaient définir un champ universitaire : celui des sciences de l’éducation

comparative fait ainsi apparaître « des singularités et des récurrences de relations et d’actions humaines » (p. 14) qui deviennent pertinentes sur le plan théorique. Par cette stratégie de recherche résolument inductive, empreinte des présupposés épistémologiques du « relationnisme méthodologique »1, les différents cas étudiés permettent à A. 1 Philippe Corcuff, Les nouvelles sociologies – entre le collectif et l’individuel, Paris, Armand Colin, 2007, p. 124 et sv. Esquerre de mettre en lumière

citer qu'eux) ont toujours distingué leur travail dans le domaine scientifique et dans le domaine philosophique. Certains philosophes comme Kant ou Wittgenstein[8] ont même vu dans l’absence d’expérimentation en philosophie une caractéristique épistémologique essentielle de cette discipline et ont refusé toute confusion avec les sciences expérimentales[9]. D’autre part la philosophie n'est pas, par essence, une science reposant sur l'observation empirique à la différence de la sociologie ou des

artificiel et qui ne sont pas rigoureuses scientifiquement (opinion publique). Les sondages produisent plus l’opinion publique qu’ils ne la mesurent. Il insiste aussi sur l’importance des statistiques car elles permettent de réaliser une rupture épistémologique. Le sociologue révèle des causalités d’un fait social grâce à elles. Il développe aussi une sociologie critique car il a un objectif : essayer à chacun d’entres nous de donner des armes intellectuelles afin de mieux comprendre les rapports

Colin, collection "Cursus", 2005, ISBN : 2-200-26752-5, 243 pages, 17,50 € Index | Plan | Historique | Texte | Références | Notes | Citation | Auteur Entrées d'index Rubriques : Analyse de livres Haut de page Plan 1. Introduction 2. Cadre épistémologique 2.1. Une pragmatique textuelle ? 2.2. Quelles catégories pour l'analyse des textes ? 2.3. Quels textes analyse-t-on ? 3. L'unité textuelle élémentaire 3.1. Prise en charge énonciative des énoncés ou point de vue [PdV] 3.2. Micro-actes de

des méthodes expérimentales au moyen de trois composantes : l'observation, l'expérimentation et les lois. "La science est par essence hypothèse et vérification à l'infini" (Husserl). Peut-on, dès lors, envisager la politique d'un point de vue épistémologique et cognitif ? Si la gestion politique repose en partie sur un raisonnement, l'idéologie politique, elle, suppose également une croyance, voire une conception de la nature humaine qui relève davantage d'impressions et de sensations que la science

Introduction: Le concept de "gouvernance" est à la mode. On parle de gouvernance d'entreprise, de gouvernance locale, de gouvernance mondiale…etc. Le développement épistémologique du concept "gouvernance" est lié à l'apparition de l'expression de "corporate governance" qui est née avec l'émergence du capitalisme moderne à la fin du XIX ème siècle. Cette expression a été plus souvent traduite en France par "gouvernement d'entreprise". C'est la manière dont l'entreprise est dirigée, administrée