Réflexions Sur L éducation Kant

      ∙         ​ A. À première vue, la morale provient d’une éducation :  ­ Origine de nos croyances morales  ­ Examiner « la valeur des valeurs »  ­ La morale est d’abord une affaire de pulsions     ∙         ​ B. Mais, n’y a­t­il pas un sens inné de la morale ?  ­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre éducation :    Origines de nos croyances morales :  Idée principale : la généalogie de la morale (Nietzsche) 

par conséquent, l'Homme a une conscience morale de façon innée, Durkheim au contraire estime que le sens moral provient de l'éducation qui nous a été donnée. Il en est de même pour Kant qui précise que ce sens moral est utilisé pour servir aux intérêts personnels ou communs. Nietzsche quant à lui affine sa réflexion en affirmant que « moraliser » l'Homme c'est l'affaiblir. Pour ce philosophe, le sens moral devient négatif. Sommes nous naturellement moraux ? Comment définir le mot « naturel » ?

simple acharnement ? Car en réalité il n'existe aucune définition aboutie de ce qu'est le réel bonheur. Est-il possible d'obtenir un bonheur concret par nos propres actes ? Ou serait-il plutôt une valeur abstraite qui sous-entendrait une constante réflexion à son sujet ? Le bonheur est une entité qu'on définirait comme propre à chacun, car l'homme, dans notre société, se démarque par ses volontés et objectifs différant et il serait une forme de bonheur que d'accomplir ses désirs. Mais en effet il

latinconscientia qui est formé de cum qui signifie « avec », et de scientia pour « science ». Être conscient lorsque nous agissons, éprouvons quelque chose, réfléchissons, etc. c’est ainsi posséder simultanément une connaissance de ces actes, sensations, réflexions. Cette connaissance peut avoir tous les degrés de clarté, depuis le sentiment le plus vague jusqu’au savoir le plus évident. La conscience est donc comme un redoublement à l’intérieur de nous-mêmes de ce que nous faisons ou pensons. Il devient ainsi

de formation ». C'est le fruit de réflexions d’éducateurs, d'enseignants, d'animateurs, de parents, etc, réunis régulièrement pour confronter leurs pratiques quotidiennes à leurs choix éthiques, au sein du groupe de recherche du MAN (Normandie) sur le thème « Éducation du jeune citoyen ». Il est destiné à toute personne ayant une mission officielle d'éducation, mais aussi à toute personne ayant une autorité de fait. Il s'inscrit dans le cadre de la réflexion menée par l'IFMAN de Normandie. Cet

Encounters on Education Volume 4, Fall 2003 pp. 11 - 26 La formation du citoyen: Une perspective philosophique Luc Vigneault Université de Moncton ABSTRACT Starting from the idea that the present concern with citizenship education is a form of reminiscence of the philosophical interest of the Ancients regarding this question, this article attempts to demonstrate that the recovery of this tradition is apt to enlighten the pedagogical stakes of this concern. Not only is the critical

Est-ce parce que la société l'ordonne que nous agissons moralement ? On pourrait être tenté de le croire dès lors que la conduite morale est l'objet d'une éducation. Pourrait-on d'ailleurs parler de bien et de mal en dehors de toute vie sociale ? Et n'est-ce pas le souci de bien s'intégrer à un groupe qui pousse aux efforts nécessaires pour vaincre ses tendances égoïstes ? C'est contre cette fausse évidence qu'écrit Alain. Admettre que les impératifs moraux soient des impératifs sociaux reviendrait

Celui qui est convaincu de détenir la vérité et qui veut l’imposer aux autres est dangereux car il peut manipuler les autres. Le philosophe est toujours pris dans une part de doute et d’incertitude. Il est prêt à reconnaitre ses erreurs. Cette réflexion permet donc aux hommes de devenir eux-mêmes, de réaliser leur identité et leurs permet d’être libres. Repère : en acte/en puissance -en acte : ce qui est fait -en puissance : ce qui peut être fait Ex : le nourrisson porte le langage en puissance

| |Principaux intérêts |Politique, éducation, éthique, religion, musique, botanique | |Idées remarquables |État de nature, contrat social, perfectibilité | |Influencé par |Plutarque, Machiavel, Hobbes, Descartes, Locke, Malebranche | |A influencé |Kant, Maistre, Robespierre, Wollstonecraft, Schiller

signifie avec la science. Nous n'avons pas conscience de notre conscience et cette dernière n'est pas développée chez le bébé. Elle permet de recevoir des renseignements sur le monde (connaissance empirique) et sur nous-mêmes mais permet également la reflexion. Je est un être corporel et a donc un rapport sensible aux choses ce qui le conduit à une connaissance confuse et empirique. Je est aussi un être doué de pensée capable d'autonomie (sa propre loi) par rapport au corps ce qui le conduit à une connaissance