Secrétaire d'État

trois partis. De Gaulle se méfie des communistes, alors qu'ils sont arrivés en tête, et ne leur accorde que cinq ministères (même si Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, obtient le poste de vice-président du Conseil et ministre d'État). On retrouve dans le gouvernement de De Gaulle des personnalités politiques telles que Vincent Auriol (ministre d'État), Edmond Michelet (ministre des armées) ou André Malraux (ministre de l'information). Six portefeuilles sont attribués à des fidèles du Général qui

que le Gouvernement n’émane pas du Parlement ; de réduire le poids de l’Assemblée Nationale, en limitant son pouvoir d’intervention et en renforçant la 2nde Chambre du Parlement ; de conférer au Président de la République les pouvoirs d’un chef d’État fort. B/ Instaurer une majorité politique stable La préoccupation principale en 1958 est d’assurer la stabilité politique qui faisait défaut auparavant. Le nouveau pouvoir s’est attaché à permettre l’émergence d’un système politique bipolaire

fait que l'expression renvoi à un pouvoir sans partage, un monopole. Or, c'est contre cette vision du pouvoir exécutif que la Révolution se construit. Le transfert de souveraineté du roi vers la nation entraîne une dépersonnalisation de la notion d'Etat. Ceci explique que pendant longtemps, les républicains, inspirés par la vision de Rousseau, soient en faveur d'un pouvoir exécutif collégial et subordonné, excluant ainsi toute forme de pouvoir personnel. Pourtant, il est clair que la Constitution

En 1946, ce que l’on va faire c’est l’inverse (Président du Conseil : procédure de parlementarisme rationalisé). Il faut que le chef de l’Etat soit un vrai chef (paradoxe en 1946) : « il ne lui manquait en somme que deux choses pour être un chef d’Etat : premièrement d’être d’un chef, deuxièmement d’avoir un état ».Il faut donc mettre en place un instrument pour un chef (il faudra ensuite le trouver). Il procède en aucun cas des parlementaires ou du moins seuls. Il pense que l’exécutif doit procéder

Pages 13-14  Annexes  Page 15  Bibliographie  Page 16  Introduction   Introduction : Qui est le président de la République ?  1. Dans le monde : En général, le président de la République désigne le chef d'Etat des pays ayant choisi une Constitution1 républicaine2. La dénomination officielle varie selon les pays : président de la République française, président des Etats-Unis, président fédéral en Allemagne. Selon la constitution

de parlementaire sa mission est de rendre un avis sur le progés rédigé par le gouvernement . Le gouvernement doit soumettre son texte au ccc mais n'est pas obligé de suivre son avis . Une fois receuilli l'avis au ccc transmet son texte au conseil d'état , qui va lui rendre un avis juridique et ensuite lle texte est arrivé au conseil des ministres pour etre soumis au peuple qui doit adopté la nouvelle constitution par référendum. Les règles de fonds : quels principes la constitution devra respecté

attribué à un président des Etats-Unis ». Le président constitue à lui seul l’exécutif. Il en est le leader. Tout comme bon chef démocratique, il est entouré des meilleurs, de ceux les plus qualifiés pour mener à bien la volonté générale. Lui et ses secrétaires forme le ‘government’. Il est donc à la tête de ce que l’on appelle l’administration. Il est alors le chef de l’administration fédérale, ce qui lui conféré le pouvoir de nommer les fonctionnaires fédéraux, par exemple. La constitution lui confère

du gouvernement britannique sont très nombreux et soumis à une hiérarchie. Le cabinet tout en haut prend les décisions importantes. En dessous de lui , les ministres avec portefeuille gèrent les affaires courantes. Enfin, vient les secrétaires d'Etat et sous secrétaires et ministres sans portefeuilles. c) Les attributions gouvernementales Sous l'autorité du premier ministre, le cabinet exerce tout les pouvoirs et les exerce seul. Selon la tradition du mandate, le cabinet est habilité à faire passer

absolu, la " bombe atomique " avec l'utilisation de l'art 16 de la C° cad que le psdt n'accepte pas la victoire de ses adversaire, et concentre tous les pvrs pour exercer sa dictature. Ce recours a art 16 n'est pas de l'utopie, que Alexandre (= secrétaire général gaulliste ) a déclaré dans le monde du 17 nov 66, que le psdt pourrait faire valablement appel a art 16 pour gouverner malgré Ass. Et Alain Persi disait que le G DG a déclaré à la veille des élections, " je n'exclue pas un putsch ".

de constitutionnalité. Fiche de TD n° II : La Genèse de la Constitution du 4 octobre 1958 Documents de Séance : Document 1 : DE GAULLE (C.), Discours de Bayeux, 16 juin 1946 (extraits). Document 2 : DEBRE (M.), Discours devant le Conseil d'État, 27 août 1958 (extraits). Document 3 : MENDES-FRANCE (P.), La République moderne, Paris, Gallimard (Idées), 1962, pp 29-32 et 39-42 Bibliographie : Documents pour servir à l’histoire de l’élaboration de la Constitution du 4 octobre 1958, La