Segmentation Chez Sncf

indispensables (alimentation) et/ou ils diffèrent les dépenses non indispensables (soins médicaux). DOCUMENT 10 La rareté implique le choix 27. Question personnelle/pas de corrigé type. On pourra simplement constater qu’en général, et tout particulièrement chez les lycéens, les besoins excèdent les ressources… 28. Le problème présenté dans le document est celui du nécessaire arbitrage entre besoins et ressources. Pour la plupart des agents, les besoins excèdent les ressources disponibles pour les satisfaire

à éviter un surcroît d’affichages inutiles ou l’irritation à l’égard d’un format publicitaire intrusif. Caractéristiques psychographiques : critères de segmentation de la population qui ont trait aux opinions, aux styles de vie, aux attitudes, croyances et personnalités. Critères sociodémographiques : critères traditionnels de segmentation de la population. Les caractéristiques sociodémographiques les plus utilisés sont l’âge, le sexe, l’adresse et le revenu. Dans de nombreux domaines les

simple ou naturel et monopole discriminant : Le monopole est en général momentané. Il peut être géographique, obtenue par un avantage de cout, ou encore le résultat d’une règle de droit (ex : tabac, etc). Il y’a aussi des monopoles d’Etat (SNCF), etc. Cournot considère que le monopoleur connait la fonction de demande des consommateurs : q = f ( p) et donc il connait la fonction de demande inverse : P = f-1(q). P = a - b x qLa recette moyenne correspond à la fonction de demande

= Rn - π avec Rr taux d’intérêt réel. => est vrai que si les taux sont faibles. Dans des périodes d’inflation croissante, les agents économiques vont avoir tendance à la sous estimer, donc le taux réel sera petit, voir négatif. (et vis-versa). Chez les classiques, tout le raisonnement est basé sur une explication des taux d’intérêt réels. Le paradoxe de Gibson n’en est pas vraiment un, puisque si on enlève la composante d’inflation, on retrouvait un taux d’intérêt faible. Est-ce que les taux

d’établir un portrait unique du « low-coster ». Dans certains cas, et notamment le hard discount, le «low cost» peut toucher simultanément des catégories de population très polarisées en termes de revenus : acheter du Chanel n’a jamais empêché d’aller chez Lidl. Un second objectif du rapport vise à mieux appréhender les attentes des Français en matière de «low cost». Nous montrerons en particulier que l’impact du «low cost» sur la demande transite par des canaux très différents : alors que certains consommateurs

qu’elle ne peuvent pas stocker leurs prestations On appelle le yield management. Par exemple, le Club Med propose, dans certains de ses villages, des tarifs plus bas en mai, juin, septembre et octobre qu’en juillet et août. Les tarifs voyageurs de la SNCF sont plus élevés pendant les périodes de pointe que pendant les périodes de faible trafic. Enfin le prix des communication téléphoniques ou de billets d’avion varie selon les jours et les heures de la journée. Lorsque les capacités de production

Directeur d’URVOY CONSEIL, entreprise de consulting et d’études orientée vers la marque, le design, l’innovation et la communication. Il a été responsable de développement produits (Cartier, groupe Richemont), Directeur marketing (Meccano), puis consultant chez Carré Noir, Président du Clan Design et Directeur Général de ProximitéBBDO. Apporteur de sens et de cohérence, il conseille actuellement plusieurs entreprises et enseigne le design et la communication. Il est l’un des meilleurs experts en marques et

d’URVOY CONSEIL, entreprise de consulting et d’études orientée vers la marque, le design, l’innovation et la communication. Il a été responsable de développement produits (Cartier, groupe Richemont), Directeur marketing (Meccano), puis consultant chez Carré Noir, Président du Clan Design et Directeur Général de ProximitéBBDO. Apporteur de sens et de cohérence, il conseille actuellement plusieurs entreprises et enseigne le design et la communication. Il est l’un des meilleurs experts en marques

Spécificités de l'entreprise ............................................................................................... 21 a. Le positionnement de l’entreprise sur le marché .......................................................... 21 b. La segmentation ........................................................................................................... 24 c. Différenciation .............................................................................................................. 25

L’investissement est ici celui qui est fait dans l’acquisition de la carte, le temps passé à l’utiliser, l’effort engagé qui trouvera sa récompense dans une réduction différée des prix. Cet investissement ne peut être récupéré chez un concurrent. Et, ainsi, même si des prix plus faibles peuvent être obtenus, par exemple au travers des promotions offertes par les concurrents, le consom- mateur risque de continuer à acheter la même marque. Une autre