Segmentation Ciblage Positionnement Renault

demande en aval par la pub. Exemple : sol d’intégration total : filière « lait » TetraLaval : complémentaires (marché et compétence), pourra traiter toutes les étapes et occupera une place dominante sur ce marché. 4 Segmentation 1) Critères de segmentation Chap. 3 : SCP 1.1. Caractéristiques démographiques du client  Secteur d’activité : approche différente car besoins différents (just in time, normes de sécurité,…)  Taille : indique le poids de la société sur le

qualitatif le plan RAWAJ permettra d’asseoir de nouvelles bases pour assurer un développement harmonieux entre les différentes formes du commerce. En outre, l’implémentation du plan RAWAJ vision 2020 contribuera à consolider les bases d’un positionnement stratégique du Maroc en tant que plateforme de shopping par excellence au niveau de la région sud méditerranéenne, présentant une offre attrayante et en adéquation avec les attentes et les besoins des consommateurs de différentes rives.

difficulté réside dans la volonté de mettre un terme à la présence de la marque sur le marché ou bien de la reconduire en la relançant à nouveau. Dans le second cas, ce sont des mesures à entreprendre qui sont grandement stratégiques concernant le positionnement à donner à la marque, Faut-il garder la même place sur le marché en opérant quelques changements ? Ou repositionner la marque complètement, avec des nouvelles structures, de nouvelles stratégies notamment en matière de naming et de pricing et

international : - L’adaptation ou MKT à l’exportation - La standardisation/uniformisation - La standardisation adaptée Les facteurs influençant le choix d’une stratégie d’adaptation ou standardisation : - Le type de bien - la cible visée - le positionnement du produit La question qu’il faut se poser pour une stratégie d’adaptation : « Doit t’on s’adapter aux goûts des consommateurs de chaque marché ? » Ex : Pour les médicaments = NON, pour l’automobile = OUI mais c’est couteux (Ford a trouvé un compromis

grands objectifs : quels produits, quels prix, quels circuits de distribution1, quelle communication, quel positionnement, quelle cible de clientèle, quels concurrents, quelles actions, etc. ? Introduction 5 décisive et profonde sur les différentes options qui s’offrent à eux en matière de prix de vente, de qualité, de politique commerciale, d’investissements, de budget, de positionnement, de communication, de promotion ou de marque. Cet ouvrage contribue à bien poser les problèmes et à organiser

Université Paris – Dauphine MBA Management des ressources humaines Promotion 4 MARKETING SOCIAL Comment faire adhérer les collaborateurs à une politique de segmentation basée sur la différenciation de l’offre, mythe ou réalité ? Novembre 2007 Groupe mémoire : Isabelle LE CADRE El Hadji THIAM Gonzalo TORREALBA Dirigé par Pierre VOLLE Professeur de marketing Directeur de la communication, Université Paris – Dauphine REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier en premier lieu Pierre Volle

réflexion approfondie sur le fond, c’est-à-dire des choix essentiels et coriaces sur la stratégie, la politique générale de l’entreprise et ses grands objectifs : quels produits, quels prix, quels circuits de distribution1, quelle communication, quel positionnement, quelle cible de clientèle, quels concurrents, quelles actions, etc. ? Ce livre assistera les managers dans ces choix, en les aidant à ordonner leurs idées, à se poser les bonnes questions, à élargir le champ du possible et à séparer l’essentiel

moyens mis en œuvre pour l'obtenir. En analyse financière on distingue la rentabilité économique de la rentabilité financière. → Rentabilité économique = ( Résultat d'exploitation / Actifs économique) Ce rapport permet de comparer l'entreprise Renault au petit fleuriste de quartier. On cherche la quantité de capital qu'il faut apporter pour faire tourner l'entreprise. → Rentabilité financière = ( Résultat Net / Capitaux propres) Ce dernier intéresse beaucoup les investisseurs. L'analyse

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 Un essai de définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Les huit leviers du CRM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 Le positionnement du CRM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 Les objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 Les résultats constatés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

plutôt que d’essayer de vendre ce que vous pouvez fabriquer ». Progressivement, le marketing va s’étoffer de techniques de plus en plus pointues, de l’analyse précise des besoins des consommateurs à la conception de base de données, à la segmentation de marchés ou la présentation étudiée des produits sur les lieux de vente. Si le marketing s’était développé à l’origine à partir des applications de la théorie économique, il s’est par la suite enrichi des connaissances d’autres sciences