Sensibiliser Le Lecteur

tiroirs, Armel JOB se lance dans l’aventure littéraire en 1995. Le succès est au rendez-vous. Son premier vrai roman La femme manquée, publié chez Robert Laffont, reçoit la reconnaissance des professionnels (trois prix et non des moindres1) et des lecteurs. La machine est lancée. 2. Résumé de l’intrigue Peu avant la guerre, dans la campagne flamande, deux événements consécutifs vont bouleverser la vie d’Helena Vannek, jeune institutrice du village. Le premier est la mort de sa mère sur laquelle s’ouvre

vulgarisation d’informations et de sujets jugés complexes. Effectivement, ce livre graphique peut permettre de susciter l’intérêt du lecteur, tout en lui permettant d’explorer différents sujets : la science, la politique, l’argent, l’homophobie, la cyberintimidation, etc. Ainsi, grâce aux mots simplifiés et aux images qui illustrent mieux l’action, il est de toute évidence que le lecteur a une plus grande facilité à comprendre et à visualiser l’enjeu.[footnoteRef:1] Par exemple, dans la bande

Commentaire composé PONGE la Figue I/ Une vocation pédagogique 1. L'omniprésence du poète 2. L'implication du lecteur 3. Une volonté d'explication II/ La volonté d'éclairer le lecteur 1. Un poète porteur de vérité 2. L'homme un être imperceptible 3. Le passage de l'abstrait au concret III/ Un poème singulier 1. L'originalité de l'écriture 2. Le lyrisme à l'épreuve du lyrisme (sexualité corps retour nature) 3. Le mouvement antithétique (enfance volonté faire grandir mais fais

v1 : absence de bruit ; ambiance propice à l’assoupissement : v2 : « Tout dort » ; v11 : « enivrent » : évocation d’une ivresse agréable et voluptueuse. 2. L’emploi du présent : présent à valeur descriptive et d’énonciation : fait participer le lecteur à la description : sensation d’être présent dans le tableau décrit. 3. Evocation d’un tableau vivant et gai : présence de nombreuses couleurs : le vert : v 2 :« feuillage » ; v4 : « mousse d’émeraude » ; le rouge : v7 : « vermeil » ; d’autres

langue maternelle. Plusieurs types d’approches seront développés afin de hiérarchiser les différentes stratégies mises en œuvre par le lecteur non natif pour accéder à la compréhension d’un texte écrit en langue étrangère. Comme point de départ de notre démarche, nous optons pour une analyse qui met en valeur l’exploitation de la compétence textuelle du lecteur, en tant que recours méthodologique conduisant au repérage des traits discursifs qui permettent de rattacher tout texte à un type et

à la métonymie ou la synecdoque. Le lecteur sera confronté à une phrase qui dira plus que le simple langage des politiciens ou journalistes etc. Il aura une forme qui fera ressortir le sens de façon décuplée et qui entrera bien plus profondément dans l’esprit du lecteur. Par exemple Ou bien une phrase qui va intriguer le lecteur, « Paris à froid, Paris à faim » , Paul Eluard parle implicitement de la population de Paris. Cette métonymie intéresse le lecteur, elle sort du langage ordinaire. C’est

Ionesco utilise aussi un language stéréotypé en reprenant et modifiant des expressions figées ou des clichés. Puis il les insère dans les répliques des personnages de manière surprenante. Le but qu'il recherche à travers ce procédé est de conduire le lecteur à se réapproprier ces expressions prononcées d'habitude de manière automatique que le sens de base à été perdu. Par exemple, page 94 : "je ne crois que ce que je vois de mes propres yeux." Là, il reprend un passage des Evangiles de Saint Thomas, qui

de 4 ans, quelque soit leur milieu, montrent la même appétence, le même plaisir à la lecture d’un récit. En revanche, après cet âge, ceux dont la curiosité naturelle n’a pas été stimulée se détournent des textes. Pour atteindre les milieux non lecteurs et pour donner plaisir à la lecture aux enfants avant qu’ils n’en fassent l’apprentissage il est nécessaire de • montrer aux parents la pertinence de la lecture du soir dès le plus jeune âge • démontrer aux parents que la manipulation

Quels sont les enjeux de cet objet d’étude ? 1 Que dit le programme ?« L’objectif est de faire découvrir des œuvres théâtrales qui renouvellent les formes classiques étudiées en seconde, mais aussi de sensibiliser les élèves à l’art de la mise en scène, notamment dans sa capacité à enrichir l’interprétation. La réalisation scénique déterminant profondément l’écriture des textes dramatiques et permettant d’en faire jouer pleinement les effets, on s’attache à faire percevoir aux élèves les interactions

influencé la poésie : la poésie surréaliste est crée. C'est une poésie novatrice, qui obtient beaucoup de succès avec notamment comme poète majeur Paul Eluard avec « Capitale de la douleur »(1926). Ses poètes se servent d’images surprenantes pour sensibiliser le lecteur. Il a aussi influencé la peinture, comme Salvador Dali avec « Echo nostalgique » ou encore la musique, comme Eric Satie avec « Les Trois Gnossiennes ». Le cinéma a aussi est été influencé par cet art, comme avec Luis Bunuel dans « Un chien