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milliards d’euros par ans. Entre 20 et 30% des entreprises françaises qui achètent en ligne. Les entreprises nordiques représentent à peu prés 50% du chiffre en ligne. La notion « B TO B » veut dire «  business to business » donc entreprises par entreprises. La notion «  B TO C » veut dire «  business to Customer » donc entreprises par consommateurs. B. Les unités commerciales virtuelles 1. La vente par correspondances Ce mode de communication offre la possibilité de commander sois directement

LE COMMERCE ELECTRONIQUE• 3. SOMMAIRE GENERAL INTRODUCTION PREMIERE PARTIE : LES DIFFERENTS TYPES DE E-COMMERCE DEUXIEME PARTIE :LA DIFFERENCE ENTRE E-CoMMERCE ET E-BUSINESS TROISIEME PARTIE : LA FORME JURIDIQUE DE E-COMMERCE QUATRIEME PATRTIE: LA SECURITE DE E-COMMERCE CONCLUSION 4. Introduction général DEFINITION: commerce électronique La définition du commerce électronique peut être prise dans un sens restreint, à savoir « vendre ou acheter des produits, des services ou des informations à travers

GRC : Le « B to… » : o B to B : business to business Relations entre entreprises sans implication du consommateur final. Deux risques sont à noter : • Montée en puissance du client entreprise qui impose conditions financières ou de qualité particulières • Fuite du client en quête de nouvelles sources. Il faut anticiper ses besoins.  Il faut, pour le fournisseur, passer d’une production masse/vente à une démarche personnalisée. o B to C : business to customer Relations entre entreprise

juge compétent. Qu’il nous suffise de dire que, s’agissant de commerce électronique, la technique bien connue de l’arbitrage permettra de répondre au mieux au défi de l’internationalité. Du moins dans le cas d’un commerce dit “B to B” (business to business) car si des consommateurs sont en cause la voie de l’arbitrage sera fermée dans la plupart des systèmes juridiques. Et il faut certainement encore explorer cette voie s’agissant du contentieux des noms de domaine, comme le fait l’OMPI.9

uniquement par les agences de voyages, à qui ils reversaient une commission. C'est le principe de commercialisation en B to B ou "Business to Business"[1]. Afin de mieux contrer la concurrence, ce mode de distribution tend à disparaître et de plus en plus de tour-opérateurs vendent maintenant directement au consommateur. C'est le principe de commercialisation en B to C ou "Business to Consumer"[2]. Selon une étude statistique menée par le cabinet Raffour Interactif en juin 2010, 35% des français partis

présidente. L’aventure a démarré en 2008 avec la création du blog de Céline Fénié « maman et entrepreneuse ». Cela lui a permis de déceler un véritable phénomène de société resté jusque là dans l’ombre : les mamans entrepreneuses. Ni mères au foyer, ni business women1 aux dents longues, les « mampreneurs » ont un statut à part. Ces mamans épanouies dans leur vie familiale souhaitent aussi l’être sur le plan professionnel. Être chef d'entreprise tout en étant maman, voilà le défi que veulent relever ces

constaté deux orientations selon la nature des informations qu’il contient. Le marché des annuaires est ainsi divisé en deux catégories : Les généralistes ; autrement dit « les professionnels à consommateurs » (Business to Consumer) Les « professionnels à professionnels » (Business to Business). Chacune de ces deux catégories se distingue par des caractéristiques particulières comme nous pouvons le constater dans le tableau suivant : B to C Cible Diffusion Liste d’inscription Zone de chalandise Nomenclature

for the Oasis of the Seas; the average ticket price is $1000 per person for seven nights, which is over double the line’s overall average of $490. Regarding, the luxury loft suite onboard, the booking can reach $7000. From a marketing business to business perspective, agents can tap into customized tools and HTML kits at www.cruisingpower.com, and get alerts from Royal Caribbean’s VIP CruisePass system 24 hours before a promotion goes out. Another nifty marketing tool is eConnect. Agents select

Définition générale 2/ Pourquoi sponsoriser ? 2.1/ Intérêts pour le sponsor 2.2/ Communication interne 2.3/ Communication externe 2.4/ Intérêt fiscal 2.5/ Développer le B to B (Business to Business) 2.6/ Développer le merchandising 2.7/ Démontrer la qualité des produits 2.8/ Développer sa clientèle 2.9/ Intérêt médiatique 3/ Sponsoring et communication événementielle 3.1/

Qu'elle est la place du « business to business » dans la société actuelle ? Pour commencer, le B to B représente l’ensemble des relations commerciales entre les entreprises et les professionnels (entreprises, administrations, artisans, professions libérales, association...). On l’appelle aussi « commerce interentreprises ». Il est très difficile de connaître à ce jour l’importance des activités en B to B car une même entreprise peut vendre des produits à une autre qui seront destinés au grand