Simple Soldat Lacheté

Guernica sera choisi car étant un petit village énormément de civils s'y sont réfugiés pensant y trouver calme et sérénité, de plus le jour de bombardement coïncide avec le jour du marché, d'où le nombre élevé de victimes. Ceci montre également la lâcheté de celui-ci. Il commença à 16h30 et se terminera aux alentours de 19h.  50 bombes incendiaires ont été lâchées et seront responsables de la mort de 1800 personnes sur les 6000 présentes. I. La peinture. Dans cette œuvre, Picasso utilise le style

AC comme témoins et non comme acteurs. Révèle les mentalités françaises de l’entre-deux guerres. I – LE SOUVENIR p.11 Quels souvenirs les soldats qui firent la G de 1914 en ont-ils gardés ? Par quels épisodes ont-ils été durablement marqués ? Quelle trace la G laissait-elle dans leur mémoire en 1930 ou 1940 ? L’expérience de la mort p.13 Pour les soldats, la mort n’est plus un concept mais une réalité du quotidien, qui agit sur eux et les change profondément. La mort des autres : extrêmement

événements se succèdent à un rythme qui maintient la tension fébrile du lecteur jusqu’au dénouement dramatique de l’histoire. On retrouve quelques moralités classiques, genre ce n’est pas l’argent qui fait le bonheur. On est attristé par la haine et la lâcheté et horrifiés par les cruautés des marchands. On est atterré par l’envie et l’avarice des gens. On est écœuré par la cupidité de ce médecin dépourvu de toute humanité. John Steinbeck dépeint et dénonce aussi la misère et nous fait prendre conscience

l’occupant, l’Allemagne a pillé les ressources du pays. Deuxièmement, les combats ont frappé une grande partie du territoire national (militaires et résistants : 123 000 soldats tués en 1939-40, 45 000 prisonniers morts en Allemagne, 31 000 alsaciens-lorrains tués par l’armée allemande, 20 000 résistants tués, 43 000 soldats de la libération en 1944-45, 25000 fusillés par les Allemands, 20000 résistants morts en déportation au total : 307 000 Français tués engagés dans la guerre, 257 000 civils :

Erostrate » . 1938 Publication de « La Nausée » . 1939 « Le Mur » est publié et donne à Jean-Paul Sartre l’image d’un provocateur. L’essai philosophique « Esquisse d'une théorie des émotions » est publié. 1940 Il est mobilisé comme simple soldat. Il est fait prisonnier en Lorraine. Son ami, Paul-Yves Nizan est tué au front. 1941 En se faisant passer pour un civil, il s'évade du camp de Trèves en mars 1941. Il se joint au mouvement de la Résistance. Il reprend l’enseignement. 1943

face au massacre sous ses yeux, ce qui laisse paraitre sa cruauté. Seule sa bouche ouverte lui donne une expression. Ce taureau peut aussi renvoyer à un symbole de l’Espagne, la corrida mais aussi à un monstre de la mythologie, le minotaure. -le soldat mort gisant sous le cheval : son corps démembré et décapité témoigne de la violence du bombardement ainsi que son visage : sa bouche ouverte et sa dentition précise sont les symboles de la brutalité. Son bras coupé tient encore une épée brisée, représentant

euphémisme, v.2, Pylade évoque le risque de mort " n’en sortir jamais ". Il ne doit pas montrer de lâcheté, mais il a peur... Le champ lexical de la violence [" défendent la porte " 3 , " main forte " 4, " ennemis " 5, " on le venge " 9, " venger " 10 , " sûreté " 14] montre qu’il ne s’agit pas d’une simple arrestation puis d’un jugement qui attend ces régicides. Ils mourront si le peuple, les soldats les attrapent. La violence sera aussi celle que l’on s’inflige soi-même, parce que l’on souffre

qui obligea Léopold de quitter sa chambre nuptiale afin de mettre son uniforme. En effectuant une ronde ils comprirent que les noirs de la plaine du nord étaient en pleine révolte et mettent le feu aux habitations et aux plantations. Léopold et les soldats prirent la route du Cap. La ville était dévastée par les flammes et les colons massacrés avec une cruauté inouïe. Chapitre 17 En retournant au domaine de son oncle, Léopold comprit que la révolte avait gagné les plaines de l’Acul. Il ne pensa

euphémisme, v.2, Pylade évoque le risque de mort " n’en sortir jamais ". Il ne doit pas montrer de lâcheté, mais il a peur... Le champ lexical de la violence [" défendent la porte " 3 , " main forte " 4, " ennemis " 5, " on le venge " 9, " venger " 10 , " sûreté " 14] montre qu’il ne s’agit pas d’une simple arrestation puis d’un jugement qui attend ces régicides. Ils mourront si le peuple, les soldats les attrapent. La violence sera aussi celle que l’on s’inflige soi-même, parce que l’on souffre trop

événements se succèdent à un rythme qui maintient la tension fébrile du lecteur jusqu’au dénouement dramatique de l’histoire. On retrouve quelques moralités classiques, genre ce n’est pas l’argent qui fait le bonheur. On est attristé par la haine et la lâcheté et horrifiés par les cruautés des marchands. On est atterré par l’envie et l’avarice des gens. On est écœuré par la cupidité de ce médecin dépourvu de toute humanité. John Steinbeck dépeint et dénonce aussi la misère et nous fait prendre conscience