Simple Soldat Lacheté

préserver leur terre) - différence avec le film de guerre marin : personnage moins simples, situations plus ambigües, mais même conclusion : « le triomphe des bons est assuré » L’exotisme contre le pacifisme : le mythe de la belle guerre - Morale nationaliste, conservatrice et belliciste du « film exotique » - Mythologie guerrière : La guerre se fait toujours de jour et de face (recours à la ruse = lâcheté) Le soldat serein face à la mort Rédemption dans le sacrifice guerrier - Films considérés

Lorenzo. Se sentant offensé, il tire son épée et lui demande d'en faire de même. SIRE MAURICE : Celui qui se croit le droit de plaisanter doit savoir se défendre. A votre place, je prendrais une épée. LORENZO : Si l'on vous a dit que j'étais un soldat, c'est une erreur ; je suis un pauvre amant de la science. SIRE MAURICE : Votre esprit est une épée acérée, mais flexible. C'est une arme trop vile ; chacun fait usage des siennes. Il tire son épée. VALORI : Devant le duc, l'épée nue !

tyrannie est un ardent devoir supérieur au lyrisme quotidien et sentimental. Pour Hugo la mission de l’art est bien de « réveiller le peuple », c’est-à-dire de le sortir de la torpeur où le maintiennent le mensonge, la propagande, la peur, la lâcheté, la compromission, la facilité, l’art officiel. La poésie doit éduquer, éveiller les consciences. Pourtant réveiller suppose un éveil préalable. Victor Hugo laisse entendre, dans sa formule, qu’il existerait une conscience populaire parfois assoupie

Une prophétie démontre que Pâris sera celui qui brûlera Troie et cela se réalise par la victoire des greques. Mais la métaphore met surtout en évidence que c'est l'amour qui détruira Troie. L'amour est aussi indirectement la cause de la mort des soldats greques et Troyens car c'est la cause de la guerre de Troie. L'amour est aussi la cause de la mort de Mélénas premier mari de Hélène. Donc dans ce contexte, l'amour est considéré comme quelque chose qui conduit au conflit et non au plaisir. Le conflit

morts, les soldats allemands, français ou anglais, aient décidés un jour de cesser le combat, de sortir de leur tranchées, et de célébrer Noël ensemble ? À l’époque où, sur tous les fronts, on lançait des appels au patriotisme, afin de diaboliser l’adversaire, la chose était tellement impensable que personne ne pouvait le prévoir. Ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en France, où quelques jours avant Noël, le président de la Chambre des députés, Paul Deschanel, appelait les soldats à rester unis

besoin d'un corps masculin à son contacte et d'un miroir pour exister.Le garçon : Sa fonction est utilitaire. Il introduit chacun des personnages dans le salon où ils devront passer l’éternité On apprend par lui à quoi ressemble l’enfer. Personnage simple, il s’étonne des idées que les clients ont sur le lieu dans lequel ils se trouvent. Parfois insolent, il est surtout indigné et spontané, plutôt que volontairement méchant. Il introduit une note humoristique dans un univers tragique.La culpabilité

Général prussien Moltke. Du 31 août au 2 septembre au terme d’une bataille acharnée 3000 français sont tués et 14000 autres sont blessés, l’armée française capitule, Napoléon III afin d’éviter une boucherie inutile se constitue prisonnier, 83000 soldats français sont fait prisonnier par l’ennemi. Le 3 septembre, entrevue entre Napoléon III et Guillaume 1er , l’empereur est ensuite transféré au château de Wilhelmshöhe en Westphalie. Paris apprend la défaite de Sedan et la captivité de Napoléon

poussant des cris d’animaux, venant de pays sans soleil ni pluie, sans rosée ni blé. De ces personnages l’auteur reprend tous les aspects négatifs, comme la félonie, la cruauté, la lâcheté, pour qualifier les ennemis des Francs. Les chansons de gestes étaient tout de même racontées sur une mélodie simple pour les accompagner. Ce texte est une fiction1 qui se base sur des faits réels pour rendre l’histoire crédible pour l’époque. L’action Le texte raconte la guerre entre Charlemagne

l’attente, et l’anticipation d’un danger potentiel. On peut ainsi dire que la peur est une émotion instinctive faite pour nous protéger des dangers qui nous guettent. Cependant il est possible de distinguer beaucoup de formes de peur, allant de la simple angoisse à la « peur panique ». La peur a permis à nos ancêtres d’éviter les dangers et par conséquence a permis à notre espèce d’aller en avant du bon côté en trébuchant un minimum. Cette émotion peut se manifester par différentes manières.

désormais incontournables resurgirent peu après le retrait de Sylla : la plèbe urbaine souhaitait toujours du pain, les petits paysans des terres, les chevaliers une plus grande participation dans les institutions politiques et judiciaires, etc. La simple dégradation du tribunat de la plèbe n’avait pas éliminé pas toutes ces frustrations et l’âpreté des populares à les exploiter. D’ailleurs, les années qui suivirent le retrait en Campanie défirent l’œuvre de Sylla : redistributions de terre et lois