Socratique

"avec" les autres, ce qui ne signifie pas "selon" les autres ou "comme" les autres.) On peut penser par soi-même : a) l'Histoire de la culture humaine prouve la possibilité et la fécondité d'une pensée personnelle. Exemples : le questionnement socratique, le doute cartésien, l'élaboration par Galilée d'une cosmologie héliocentrique en opposition à la cosmologie aristotélicienne et au dogmatisme religieux. Comment penser par soi-même ? a) Réfléchir sur les contenus des représentations collectives

Est-ce seulement sur des principes généraux, indépendamment des moyens - ou l'accord doit-il être, plus complet, et concerner aussi bien les contenus de pensée que les fins et les moyens?1. Conditions d'un accord- Rappel historique : le modèle socratique souligne qu'il n'y a d'accord possible qu'à deux conditions:* définir un protocole du dialogue,* s'entendre sur le sens des mots qu'on utilise.- En effet, le vocabulaire ordinaire est généralement ambigu: il véhicule des présupposés implicites,

le poussait à critiquer les abus de la société )  ○ avoir perverti la jeunesse ( La pousse à pensé par elle ­ même et pas  respecter ce qui est établit )   2. ​ L’art du dialogue  Socrate n’est pas un enseignant mais un ​ guide  Les 3 étapes de sa méthode :  ● Ironie socratique ( Il fait semblant de ne pas savoir et interroge son  interlocuteur sur un sujet )   ● La dialectique ( Échange de questions ­ réponses )   ● La maïeutique ( Art de faire accoucher l’interlocuteur soit de la vérité, soit du  mensonge, soit la discussion ne mène nul part ­> aporie )  

rationalité humaine et grand penseur ( même avant Socrate) -Théo centrisme: centré sur le recours à des divinités pour expliquer le monde et la réalité. -Cosmocentrique : mode pensée qui réfère à des entités naturelle ( cosmose): Ex: Les pré-Socratique expliquent les premiers principes par les entités naturelles : air, feu vent, eau. C'est le dégrée du discours scientifique. -Anthropocentrique: Discours de la pensée de la profonde humaine. La manière qu'elle co-habite avec les humaines.

Univers’. Les Grecs anciens définissaient la vérité en ces termes, Socrate s’en ai fortement inspiré. Pour Jung la vérité est un cercle dont le centre est partout et la circonférence nulle part. La symbolique de la pierre brute la maxime Socratique ‘connais-toi toi –même’ sont en réalité qu’une même vérité. Apprendre à connaître son âme par son conscient le reliant à l’inconscient individuel et collectif des mythes et des symboles pour atteindre l’unité en soi et trouver sa place dans l’univers

distingue les dialogues de jeunesse, les dialogues de maturité et, enfin, les derniers dialogues dont les dialogues métaphysiques et les dialogues de vieillesse. Les dialogues de maturité fournissent l’apport original de Platon par rapport à la méthode socratique, la théorie des idées. Dans ses derniers dialogues, Platon découvre les insuffisances de la première théorie des idées et tente d’y remédier. Le problème central de la deuxième période est le fondement de notre connaissance, alors que celui de

Voltaire, c’est que le philosophe ne connaît pas plus la vérité que l’homme commun. La démarche pour parvenir à la « vérité de la définition » du beau est d’ailleurs typiquement socratique, à cela près que les rôles sont inversés. L’expression grecque « to kalon » renforce en outre cette référence aux dialogues socratiques que Platon a ensuite rédigés. On retrouve ce terme quatre fois dans le texte. Il désigne d’abord le Beau en tant que concept (« le grand beau », « l’archétype du beau en essence »)

marquée par les pronoms personnels : mihi / tu (l. 2) Présence d’un registre polémique. Ironie polémique, ton désinvolte dans l’apostrophe à Zénon, vocabulaire dépréciatif (citer : ineptias, etc), fausse naïveté (capior) qui rappelle l’ironie socratique. Cicéron essaie aussi d’isoler Zénon (omnes appelamus uno verbo / tot modis) grâce à un cliché du conservatisme romain, qui oppose au bavardage brillant et vain des Grecs (superficialité et artifice de la copia verborum) le bon sens romain

sont les valeurs que l'on doit défendre. En d'autres termes: n'être (et se savoir) ni animal ni divin, prendre la mesure de l'humanité moyenne en fuyant l'ubris (démesure ou violence). Le "je" subjectif n'est pas en cause, parce que la conscience socratique est d'abord à portée morale. ) 2. Une évolution constante du « je ». 3. Mon identité. (à tout moment je suis à même de me rappeler mon identité, je suis ce corps visible qui me donne une existence unique et permanente symbolisée par mon nom. J'ai

travaillent le matériau linguistique de manière à lui faire dire ce qu’on ne veut pas entendre ou reconnaître. On pourrait croire que la philosophie se différencie de la littérature en ce qu’elle vise l’établissement de la vérité, mais le dialogue socratique au programme va bien au-delà de cette stricte et simpliste opposition. Suivons le conseil donné par Socrate : revenons aux principes de la linguistique pour mieux comprendre la définition du signe dont use la parole. La linguistique définit