Spinoza Les Exigences

du complexe d’Œdipe où l’enfant intègre inconsciemment l’interdit de l’inceste et du parricide ( meurtre du père). Il y a donc refoulement parce que les pulsions du ça obéissant, lui, au principe de plaisir sont dans ce cas incompatibles avec les exigences du surmoi. 6. Avec quoi peut-on confondre l’inconscient selon Alain ? Pourquoi rejette-t-il l’hypothèse de l’inconscient ainsi interprétée? Avec un Autre Moi. Il rejette cela parce que c’est une erreur (comment peut-il y avoir en moi un autre moi

PHILOSOPHIE ET PROBLEME 1. UN TERME PROBLEMATIQUE • Psychologie et logique. • un usage commun : ce qui fait obstacle, parce que jeté devant soi. • un usage logique : exposition en vue d’une démonstration (Euclide, Spinoza), une proposition et ce qui la rend croyable, d’où un fait question comme interrogation, une quête, une recherche à propos d’un sujet d’enquête (Aristote). Le problème laisse le choix entre le oui et le non, d’où la problématique qui est

texte, en montrant son intérêt pour elle-même. Développez les questions auxquelles répond le texte. Enoncez clairement la thèse du texte comme étant une réponse aux questions que vous avez posé. Par exemple: « C’est à ces questions que répond Spinoza dans un extrait du Traité Théologico-Politique où il soutient que… » Vous pouvez après cela faire une brève présentation de l'oeuvre et de l'auteur (ne retenir que ce qui intéresse votre extrait). Annoncez sur quoi portera votre commentaire si vous

pour faire un rappel sur la philosophie de Spinoza et reprendre un certain nombre de points qui avaient été abordés dans le cours sur le désir. - En effet, une passion cesse d’être une passion quand nous en formons une idée claire et distincte. Etre maître de soi consiste à se connaître de mieux en mieux, à forger des idées adéquates du soi, à interpréter le sens de nos conduites, de sorte que l’interprétation est d’abord connaissance. Le but de Spinoza est de rechercher un bien absolu, éternel

l'Etat qui, désormais, décide pour tous de ce qui sera dans l'intérêt de tous. La volonté du  souverain se substitue à celle du corps social , ou plus exactement, elle l'incarne. Cette théorie est dite " absolutiste " [5]. Vers l’Etat moderne  Pour Spinoza, au contraire, puis pour Locke ( Traité du gouvernement civil, 1690 ) et Rousseau (Du contrat social, 1762) , les hommes ne peuvent abandonner raisonnablement leurs droits naturels au profit d’un souverain tout puissant, et ceci sans contrepartie

pouvez également vous reporter aux analyses de Sartre sur les rapports entre l'engagement et la liberté. En dernière instance, vous pourrez vous demander si la liberté se définit bien par le choix. Ici, vous pouvez également penser aux analyses de Spinoza à propos de l'illusion de liberté. Vous trouverez des éléments pour développer ces points en vous reportant aux liens indiqués au bas de cette réponse. A partir de là, c'est à vous de formuler la problématique du sujet. Voilà les premières pistes

de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3.

impossible de le connaître, pas de révélation Voltaire (1694-1778) par exemple. Le panthéisme, du grec  pan qui veut dire tout, Dieu est immanent au monde, notion qui s’oppose à transcendant, il est en tout ; Inde, Bouddhisme mais aussi Plotin (205-270), Spinoza (1632-1677) ; chez ce dernier on a affaire à un panthéisme pas très religieux, plutôt un système philosophique, « Tout est qui est en Dieu et Dieu est en tout. » Impersonnalité de Dieu : Deus sive Natura. Il s’agit ici d’un déterminisme universel

ce qui peut le rapprocher du lien social : la religion est " ce qui relie ", le " lien " unissant des hommes dans une même croyance. Dans la mesure où toute société suppose l'existence de relations suivies entre ses membres, il apparaît que les exigences de la société et de la religion peuvent se renforcer l'une l'autre. Ainsi, dans les sociétés dites traditionnelles, une religion organisée socialement constituait la source des lois et du pouvoir politique. B. C'est ce qui distingue religion

Il y a deux catégories de motifs :les irrationnels et les rationnels. Pour les irrationnels tout les motifs évoquant les dogmes surhumains et religieux fondant la valeur des valeurs éthiques qui valent pour tous. Pour les rationnels toutes exigences, des droits universalisables sans contradiction, dont il est possible de montrer qu’elle est nécessaire au bien-vivre en communauté. Les motifs religieux et irrationnels croire à des valeurs et règles communes de vie utilisés dans des sociétés traditionnelles