Subdivision d'un intervalle

Office Regional de Mise en Valeur Agricole du Souss Massa Ecole Superieur des Industrie de Textile et Habillement Option : Génie Industriel Rapport de stage Par :HARTOUL Tarik Encadré par : M.ELJID Lahsen Fait à :ORMVA/SM subdivision de massa Année universitaire 2011/2012 ESITH Page 1 Table des matières Introduction ............................................................................................................... 4 I.1 Identification de l’ORMVA SM ...............

italien signifiant “la queue“, il désigne la conclusion d’une pièce musicale. Concerto Œuvre pour soliste et orchestre, généralement en 3 mouvements (rapide, lent, rapide) Cyclique Une œuvre est dite cyclique quand certains éléments sont répétés d’un mouvement à un autre. Da Capo Sur une partition, Da Capo (D.C)signifie “du début“ : l’instrumentiste doit reprendre la première partie de la pièce jusqu’à l’endroit indiqué par “fine“. Développement Dans la forme sonate, le développement est

Ces expressions sont appelées formes indéterminées. Intervalles de l’ensemble R Soient a et b deux éléments de R tels que a < b. On appelle intervalle ouvert d’extrémités a et b le sous-ensemble de R noté ]a, b[ défini par : ]a, b[= { x ∈ R | a < x < b }· 1 Fonction numérique d’une variable réelle Soient a et b deux nombres réels tels que a sous-ensemble de R noté [a, b] défini par : 4 b. On appelle intervalle fermé d’extrémités a et b le [a, b] = { x ∈ R | a x

L’int´grale e 22 octobre 2009 ´ L’INTEGRALE DES FONCTIONS CONTINUES PAR MORCEAUX SUR UN INTERVALLE PC*2 22 octobre 2009 Introduction et conventions Dans tout ce cours, les lettres I, J d´signent des intervalles non r´duits e e a ` un point. Les fonctions consid´r´es sont ` valeurs dans K = R ou C. ee a Page 1/101 JP Barani L’int´grale e 22 octobre 2009 Page 2/101 JP Barani Table des mati`res e 1 L’int´grale des fonctions continues par morceaux sur un sege ment 1

Suites r´ eelles et complexes Table des mati` eres I. Propri´ et´ es de R 1) Le corps des r´ eels 2) La droite num´ erique achev´ ee 3) Repr´ esentation d´ ecimale d’un r´ eel 4) Parties denses de R II. Limite d’une suite r´ eelle 1) D´ efinition 2) Op´ erations sur les limites 3) In´ egalit´ es et limites III. R´ esultats fondamentaux sur les suites r´ eelles 1) Suites monotones, suites adjacentes 2) Th´ eor` eme de Bolzano-Weierstrass IV. Exemples de suites r´ eelles 1) R´ esum´ e des m´

des intégrales divergentes dans le cadre des intégrales impropres. Exemples : +∞ • Calcul de 0 dt (t + 1)(t + 2) . . . (t + n) 2.2 Changement de variables 2.5 Théorème : Soit ϕ une fonction de classe C 1 et strictement monotone d’un intervalle b ouvert ]α, β[ sur ]a, b[ avec a = limα ϕ et b = limβ ϕ. Soit f :]a, b[→ K. Alors β a f (t) dt converge si, et seulement si α f (ϕ(u))ϕ (u) du converge. Dans ce cas les deux intégrales impropres ont la même valeur. On dit qu’on

morceaux en cas de changement de signature rythmique. Elle défini la durée d'une mesure. Elle est constituée de deux chiffres, l'un sur l'autre :  Le chiffre du haut désigne le nombre de temps d'une mesure,  et le chiffre du bas la durée d'un temps. Par exemple une mesure à 6/4 indique qu'il y aura 6 temps qui auront chacun une durée de "4". « Mais qu'est-ce que ca veut dire une durée de "4" ? » http://blog-batteur-débutant.fr Page 3 En fait les chiffres du bas sont codifiés

Tuynman 20 septembre 2007 1 ´ ´ THEORIE DE L’INTEGRATION 2 `res Table des matie 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. Tribus La droite achev´ee Applications mesurables Espaces produits Subdivisions et fonctions ´etag´ees Mesures L’int´egrale de fonctions positives Le th´eor`eme de convergence montone de Beppo-Levi L’int´egrale de fonctions r´eelles ou complexes Le th´eor`eme de convergence domin´ee de Lebesgue Unicit´e de mesures La mesure

e e e e • A ∩ B : les ´v´nements A et B sont r´alis´s e e e e e e e e • A : l’´v´nement A n’est pas r´alis´ Il existe une d´finition math´matique de la notion de probabilit´ que nous ne donnerons e e e pas. Intuitivement, la probabilit´ d’un ´v´nement A (not´e ici P r(A)) est la mesure de la place e e e e qu’il occupe dans Ω. Il est alors clair que P r(A) ∈ [0 ; 1]. On a bien entendu P r(∅) = 0 et P r(Ω) = 1 mais attention, si P r(A) = 0 alors A n’est pas forc´ment ´gal ` ∅ (c’est-`-dire

réalisé seul ou à deux. Dans le cas d’un travail en binôme, une copie sera remise par le groupe, et, portera les noms des deux membres.  y’ = y On considère le problème différentiel (E)  .  y(0) = 1  Pour tout réel x, f ’(x) = f(x) Une solution de ce problème est une fonction f définie et dérivable sur IR telle que :  f(0) = 1 .  L’objectif de ce devoir est d’utiliser la méthode d’Euler pour construire une « solution approchée » sur différents intervalles contenant 0. I. PRESENTATION DE L’ALGORITHME