Syllabation

En réalité, les enfants éprouvent surtout des difficultés à expliquer les blancs. Certains pensent que ce qui est écrit entre deux blancs correspond à une unité de sens (Jean/joue/balle), d'autres se demandent s'il ne s'agit pas d'une unité de syllabation. À la suite de la recherche de Ferreiro, on est conduit à se demander quelles représentations finales les élèves se donnent de l'acte de lire après avoir subi un enseignement qui n'épouse nullement les contours de leurs connaissances initiales

l’œuvre à ce moment-là. Le texte ci-contre révèle un enfant très avancé dans sa compréhension du système alphabétique et dans sa connaissance du code. Il semble très attaché au lien oral/écrit et s’appuie vraisemblablement sur une forme de syllabation systématique de l’oral sans recourir à la copie de mots; la formule «Il était une fois» aurait en effet pu être copiée dans un album. Le texte ci-contre est celui d’un enfant également très avancé dans sa conception du code; il systématise

à l’œuvre à ce moment-là. Le texte ci-contre révèle un enfant très avancé dans sa compréhension du système alphabétique et dans sa connaissance du code. Il semble très attaché au lien oral/écrit et s’appuie vraisemblablement sur une forme de syllabation systématique de l’oral sans recourir à la copie de mots; la formule «Il était une fois» aurait en effet pu être copiée dans un album. Le texte ci-contre est celui d’un enfant également très avancé dans sa conception du code; il systématise certains

textes (section de grands) Le texte ci-dessus révèle un enfant très avancé dans sa compréhension du système alphabétique et dans sa connaissance du code. Il semble très attaché au lien oral/ écrit et s’appuie vraisemblablement sur une forme de syllabation systématique de l’oral sans recourir à la copie de mots ; la formule « Il était une fois » aurait en effet pu être copiée dans un album. Le texte ci-dessous est celui d’un enfant également très avancé dans sa conception du code ; il systématise

textes (section de grands) Le texte ci-dessus révèle un enfant très avancé dans sa compréhension du système alphabétique et dans sa connaissance du code. Il semble très attaché au lien oral/ écrit et s’appuie vraisemblablement sur une forme de syllabation systématique de l’oral sans recourir à la copie de mots ; la formule « Il était une fois » aurait en effet pu être copiée dans un album. Le texte ci-dessous est celui d’un enfant également très avancé dans sa conception du code ; il systématise