Taylor Fordisme

beaucoup développé et est aujourd’hui, dans la plupart des secteurs d’activités, considéré comme la plaque tournante des entreprises. Le consommateur est alors à la base de toutes les décisions marketing.  Cela nous amène donc à penser que le Fordisme, système de production utilisé en occident pendant la première moitié du XXe siècle, est obsolète. En effet, cette méthode préconisait notamment une standardisation des produits. Pour augmenter la productivité et la flexibilité, Ford produisait en

les reconnaitre au quotidien de ce qu’ils sont. Les motivations dans l’histoire du management : - 1900 1950 : le taylorisme, le Ford et le fordisme - 1950 1980 : les relations humaines - 1970 : direction par objectif - 1980 : le management participatif - 1990 : La crise de l’emploi  Le taylorisme A la fin du siècle dernier, Frédéric Taylor établie une théorie de Gestion Scientifique des entreprises et des Méthodes de travail basés sur des études des temps élémentaire. Les principes

LE JUSTE A TEMPS : CARACTERISTIQUES, CONDITIONS D APPLICATION ; DEMARCHE DE MISE EN ŒUVRE DANS L ENTREPRISE ; AVANTAGE ET IMPACTS EN GOP . INTRODUCTION : A la fin des années 70, le système mis en place par Taylor et Ford dans une optique d’amélioration de la productivité commence à s’essouffler, a cause de l’impopularité de ces méthodes mais aussi, à cause d’un environnement économique rendu plus instable par la montée grandissante de la mondialisation. Cette dernière se caractérise entre autre

organisations de travail, prend un caractère scientifique à partir du début du 20e sciècle. Section I : Frédiric TAYLOR et l’organisation du travail : Taylor (1856-1915) considère que pour obtenir le maximum du facteur travail, il faut une division des tâches. Il veut lutter contre les gaspillages du temps, d’argent et de matière, en ayant recours à une méthode scientifique. Taylor est le fondateur de l’OST (Organisation Scientifique du Travail). Son principal objectif, est d’assurer le maximum

toyotiste », remettant largement en cause les principes de Frederick Taylor et Henry Ford. Mais une observation critique amène à s'interroger sur la réalité de la rupture avec l'organisation scientifique du travail. La relation de l'homme au travail est-elle aujourd'hui significativement transformée par rapport à la logique taylorienne ? Nous rappellerons, dans un premier temps, comment les grands principes énoncés par Taylor et Ford ont peu à peu cédé la place à la révolution toyotiste des années

l’organisation. Il y’a organisation à chaque fois qu’un individu uni ses efforts à un autre individu dans un cadre formel. A. Grandes approches de la Psychosociologie des organisations : 1. L’approche rationnelle et les théories traditionnelles : Taylor, Ford, Fayol, Weber. 2. L’approche humaniste et la théorie des relations humaines : Mayo, Maslow, Herzberg, Mc Gregor, Lewin) 3. L’approche sociotechnique : les théories qui concilient les aspects technique et humain. ( Emery, Trist, Crozier/ Friedberg

le sociologue français Georges Philippe Friedmann qui sera son véritable continuateur, surtout après la publication d'un livre retentissant en 1956 intitulé Le travail en miettes. Il y prenait le contrepied de l'OST de Frederick Taylor et de ses extensions comme le fordisme en défendant la prééminence de l'homme et de ses besoins. Depuis les crises économiques survenues dans les années 1980, sur fond de crise énergétique latente, c'est l'américain Peter Drucker qui a joué un rôle majeur dans les évolutions

prendre concrètement forme avec la naissance de nouvelles organisations de travail, telles que le Taylorisme ou encore le Fordisme. Ces nouvelles méthodes avaient pour but d'intensifier le travail, de le diviser pour être plus performant, de travailler plus vite et plus longtemps (doc.3). Le Taylorisme en est l'exemple parfait, il a pour origine l'ingénieur américain F.W Taylor et a fait apparaître des techniques de production spécifiques et efficaces (travail à la chaîne, standardisation, cadence

développe. Elle regroupe : l’organisation scientifique du travail avec l’Américain F.W. TAYLOR (1856-1915) qui s’intéresse à la production dans les ateliers, L’organisation administrative du travail avec le français H. FAYOL (1841-1925) et l’anglais L. F. URWICK (1891). L’Allemand M. WEBER (1864-1920) qui, avec ses théories sur la bureaucratie, apporte une contribution d’inspiration sociologique. 1.1. TAYLOR et l’organisation scientifique du travail D’abord apprenti dans un petit atelier de

société plus avancée. Analyse du sujet : Les « Trente Glorieuses », on doit cette expression à Jean Fourastié (1907-1990) pour désigner, dans certains pays comme la France, une trentaine d’années d’expansion économique qui ont vu le taylorisme-fordisme atteindre son apogée et maintenir un plein emploi permanent de 1945 à 1975 environ. La formule fait écho aux Trois Glorieuses, journées révolutionnaires des 27, 28 et 29 juillet 1830 qui avaient vu la chute de Charles X et l’instauration de la monarchie