Taylorisme Et Bureaucratie

B) Les différentes conceptions de l’organisation du début du XXème siècle 1) F. Taylor et l’Organisation Scientifique du Travail 1. Contexte C’est dans un contexte de paupérisation que nait le taylorisme. Il faut donner du travail à de nombreuses personnes sans compétences et qui ont faim. A cette époque, aux Etats-Unis, on assiste à un arrivage massif d’immigrants. On se situe dans les prémisses de la Révolution Industrielle et se développe l’idée

encore de même dans les organisations d’aujourd’hui. On parle de centralisation ou de décentralisation selon le type de décision à bureaucratie mécanique, à cause de l’autonomie accordée aux individus. La théorie de la contingence développée par Lorsch et Lawrence (1973) vient là encore confirmer le caractère toujours actuel des propos de Fayol. bureaucratie mécanique, à cause de l’autonomie accordée aux individus. La théorie de la contingence développée par Lorsch et Lawrence (1973) vient

profit Démarche rationnelle d’optimisation pour y parvenir Vision universelle. Auteurs : - Taylor (rationalité productive) - Fayol (rationalité administrative) - Weber (rationalité liée à la structure / bureaucratie) 12. Quels sont les postulats essentiels du taylorisme ? 1) L’homme n’aime pas le travail 2) La spécialisation du travail permet d’améliorer les rendements 3) Les patrons et les ouvriers ont un intérêt identique (la prospérité de l’entreprise) 13. Quels

formation universitaire. Il préférait une formation moins scientifique, complétée d'un stage pendant six mois dans une entreprise. Quoiqu'il en soit, le terme 'scientific management' s'est vite intégré dans la langue. Le reproche principal fait au Taylorisme d'être l'antithèse d'une collaboration entre ouvriers et direction est justifié. Taylor voulait supprimer toute sorte de négociation. Il ne voulait que la collaboration sans négociation, ce qui n'existe pas. L'effet pervers du système de Taylor

emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail : du taylorisme/fordisme aux NMOT sous la pression de l’automatisation, et changement de qualifications : élévation du niveau de formation (initiale et continue), importance de la maîtrise de l’information, individualisation des compétences ; aspects positifs (post-taylorisme) et négatifs (néo-tatlorisme) B conséquences du fait d’une évolution du rôle social du travail (progrès technique

devient professeur de logique, de philosophie et de psychologie. Il commence ses recherches en psychologie classique, mais s'intéresse déjà aux problèmes et conséquences des tâches répétitives dans l'industrie suite à l'application massive du taylorisme Le taylorisme est un système d'organisation du travail mis au point par l'ingénieur américain Fréderic Winslow Taylor (1856-1915). Cette méthode repose sur l'organisation scientifique du travail (OST) dont l'objectif premier est d'accroître la productivité

rémunération au rendement. - Succès et critiques : - Taylor a été le premier à présenter une théorie de l’organisation. Son succès a été mondial aussi bien à l’ouest qu’à l’est (Lénine ou le Stakhanovisme : Lénine a été très impressionné par le Taylorisme et le Stakhanovisme en a été l’aboutissement logique). La logique Taylorienne c’est avéré particulièrement bien adaptée aux conditions économiques et sociale du début du 20e siècle : Mettre au service de l’industrie naissante une main d’œuvre rurale

faut éviter la division du personnel.  Max Weber (1864-1920) C’est un bureaucrate. Il s’intéresse à la bureaucratie des entreprises. Les individus doivent être sélectionnés selon leurs compétences. Il est nécessaire qu’il y ait une définition stricte de l’autorité de chacun et du travail de chacun. Ces définitions doivent être écrites. Il insiste sur le poids de la bureaucratie. Conclusion : - Division du travail hiérarchique (horizontale) et par fonction (verticale). - Unité de

formation universitaire. Il préferait une formation moins scientifique, complétée d'un stage pendant six mois dans une entreprise. Quoiqu'il en soit, le terme 'scientific management' s'est vite intégré dans la langue. Le reproche principal fait au Taylorisme d'être l'antithèse d'une collaboration entre ouvriers et direction est justifié. Taylor voulait supprimer toute sorte de négociation. Il ne voulait que la collaboration sans négociation, ce qui n'existe pas. L'effet pervers du système de Taylor

bureaucratique de Weber : C’est la rationalisation de l’organisation autour de règles, normes, procédures impersonnelles. Cette grande dépersonnalisation permet une meilleure coordination interne et un meilleur contrôle. Le capitalisme est fondé sur la bureaucratie, soit la forme organisationnelle la plus efficace ! L’idéaltype en 4 éléments : 1. Règles interpersonnelles qui garantissent une certaine indépendance 2. Accès aux fonctions soumis à des règles et lié au savoir 3. Définir précisément