Taylorisme Et Communication Interne

cependant être relativisée : on assiste en fait à une secondarisation du secteur tertiaire(emploi croissant de machines dans le secteur tertiaire) ainsi qu’à une tertiarisation du secteur secondaire(importance de l’activité de service -marketing, communication, transport, etc.- dans le secteur secondaire, c’est-à-dire dans les entreprises industrielles). Quelles sont les causes et les conséquences de la tertiarisation? La croissance économique va t elle de pair avec la tertiarisation? I.Les causes

1.Les prémisses de la gestion des organisations a)L’école rationaliste classique •Taylor et le Taylorisme •Le compromis Fordiste •Weber et la rationalisation de l’organisation •Fayol et la « science administrative » b)L’école des relations humaines (ERH) •L’équipe de Harvard et Elton Mayo •Le mouvement « béhavioriste » et la motivation 2.Les structures organisationnelles a)Le fonctionnement des organisations b)Les diverses formes organisationnelles c)Vers un modèle de réseau 3.L’étude

entreprises par division entre conception et exécution Le Taylorisme a un certain succès en France dans les années 20’s : large utilisation chez Renault, Citroën… la CGT soutient (!), apparition des bureaux des méthodes, chronométrage, travail à la chaine… A la veille de la Seconde Guerre mondiale, près de 60% des ouvriers exerçaient des tâches n‘exigeant pas plus de trois jours de formation. 3.2. Les implications théoriques du taylorisme et leur critique L’économie libérale a pour principe

augmentation des ouvriers ds l’industrie. A partir de 1850, l’industrie prend le pas sur l’agriculture avc plusieurs systèmes techniques : - 1er : 1850 : fer, charbon, machine à vapeur, 2ème : Fin XIXe : pétrole, électricité, moteur à combustion interne, 3ème : 1945 : informatique, nucléaire.3 • Capitalisme : système économique fondé sur la libre entreprise privée et le libre marché (le prix et déterminer en fonction de l’offre et de la demande) • Pour financer les entreprises (privées notamment)

estimé respecté par soi-même et par les autres  Le besoin de s’accomplir : le sommet des aspirations humaines RESUME DE L’HISTORIQUE Management scientifique qui consiste à encadrer, contrôler discipliner (Taylorisme) Mouvement des relations humaines où l’homme motivé travaille mieux (Taylorisme décrispé) Gestion des ressources humaines où la RH une richesse qu’il convient d’optimiser. 2) Au Sénégal Au Sénégal nous avons trois grandes périodes :  La période coloniale : marquée par les conditions

donné lieu à différents thèmes d'études. Par exemple : * La cohésion. Les études s'inscrivant dans cette thématique s'efforcent de comprendre comment les organisations parviennent à maintenir leur structure et leur identité, malgré les tensions internes et externes qu'elles subissent. * L'étude de la structure formelle et informelle. Nombre d'études ont cherché à clarifier les liens entre la structure formelle et les relations sociales informelles au sein des organisations. * L'adaptation

progrès de production. Néanmoins à cette époque l’offre n’arrive pas à satisfaire la demande. L’objectif de l’entreprise est de produire en grande quantité pour baisser les coûts unitaires, elle investit dans les méthodes de production et de travail (Taylorisme, Fordisme). L’entreprise industrielle prédomine et toute son organisation est accès autour des fonctions de productions, de finance et d’administration. Jusqu’aux années 60 l’offre et la demande tendent à s’équilibrer, on produit d’avantages

Origine, dualité et convergence des modes de management Auteur : Bernard Massiera Doctorant en Sciences de l’Information et de la Communication Attaché d’enseignement à l’Université de Nice Sophia-Antipolis Résumé : La recherche d’une organisation adéquate pour les entreprises a conduit de nombreux auteurs à théoriser leur expériences en matière d’organisation et d’administration. Issue des milieux industriels et universitaires, une véritable science s’est peu à peu constituée. Cependant, le

fonctionnement des organisations, sur la manière dont il convient de les diriger, sur le comportement des différents membres qui les composent, sur les motivations de ceux-ci, sur les processus qui régissent la communication entre eux et la manière dont ils prennent leur décision. I - Le taylorisme C'est Taylor qui, en 1911, a jeté les bases de la théorie des organisations, en émettant l'idée que la direction d'une entreprise est une science, au même titre que celle de l'ingénieur, et non un don propre

accompli correctement. Le travail est contrôlé de 2 façons : respect des spécifications techniques + respect de la cadence. Le taylorisme n'est pas le travail à la chaîne. Le travail à la chaîne correspond chez Ford au travail posté : un individu travaille à un endroit, le produit passe devant lui, il effectue sa tâche, et le produit continue à circuler. On peut avoir le taylorisme sans le travail à la chaîne (mais dans l'industrie, on a eu les deux). - le management fonctionnel : la fonction prime sur