Te Deum

vénération avec un vocabulaire relevant du mystique. Tout d'abord la France est dotée d'une « âme », qui est rédressée grâce à une « résurrection », à un « miracle ». Son amour pour sa nation, son patriotisme galvanisé se joint à la foi avec le « Te Deum » organisé en l'honneur de la France. Par ailleur De Gaulle énonce la « Providence » dans le deuxième tome, « L'Unité », face à une France fière, douée de « génie » et munit d'une « oeuvre civilisatrice » à l'égard de ses colonies. Ainsi le Général

Montesquieu luttant pour la séparation des pouvoirs ou Rousseau pour la démocratie, ne restera pas abstrait puisqu’il favorisera la Révolution et modifiera en profondeur les rapports entre le pouvoir et le peuple. Ouverture  Voltaire, Candide, Te Deum Dans la même thématique on retrouve ds les Lettres Persanes de Montesquieu, avec la critique du gouvernement, de l’autorité, ds la lettre 24.

ALLEMAGNE (HORS DU CHATEAU) recrutement forcé, le militarisme, les châtiments corporels. Candide devient malgré lui soldat de l'armée Bulgare. Compagnon(s) La Guerre Chap.3 ALLEMAGNE (ROSSBACH) la guerre, son absurdité, ses horreurs, le chant du Te Deum. Candide s'enfuit et passe en HOLLANDE. Hypocrisie et fanatisme d'un pasteur Huguenot qui prêche la charité et refuse de l'aider (Candide n'a pas l'air de croire que le Pape soit l'Antéchrist). Bonté de Jacques l'Anabaptiste qui recueille et embauche

et œuvres cités (peinture flamande, française, italienne, espagnole ; baroque, romantique…) cette diversité est suggérée par le rythme des v.33-34 (ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes = 6/4/2 ; ces extases, ces cris, ces pleurs, ces te deum = 4/2/2/4) il y a une unité de l’art dans la diversité des œuvres car toutes inspirées par un même sentiment de révolte (la diérèse malédiction), la même nécessité, la même quête de beauté. Ces termes globalisants précédés du déterminant démonstratif

ces actes. Cela signifie donc qu’il n’y a pas de héros à la guerre. C. Dénonciation de la religion Voltaire s’en prend à la religion car elle sert de légitimation aux atrocités commises par les rois. Ceux-ci font en effet chanter un « Te Deum » juste avant la bataille pour remercier D ieu. Il déplore donc que la religion soit associée à des massacres. La religion n’est pas digne de foi puisqu’elle se fait complice de toutes les infamies. Elle sert de caution aux horreurs de la guerre

juin. Veille de la Fête Nationale (22 juin) : retraite aux flambeaux, gigantesques feux d’artifice sous un ciel illuminé, concerts en plein air, DJs et nuit blanche dans les cafés. Fête Nationale (23 juin) : manifestations officielles la journée (Te Deum, parade militaire, tir d’honneur de 101 coups de canon) et concerts le soir. Schueberfouer : fin août-début septembre Une des plus grandes fêtes foraines d’Europe avec montagnes russes, grandes roues, sensations fortes et restauration. Les spécialités

particulier. On a donc des personnages puissants égoïstes, qui agissent en permanence dans leur intérêt personnel, au détriment de la justice. On retrouve aussi une critique des rois dans le chapitre III de Candide, dans lequel ils font « chanter des Te Deum » en plein champ de bataille ; ils soutiennent donc l'idée de la guerre, alors que leur rôle voudrait qu'ils privilégient la paix. Il semblerait donc que Voltaire nous donne une image plutôt négative de ces personnages aux hautes responsabilités, et

pas d'accord possible, pas de paix ). • Critique de la religion. -La religion est utilisée pour légitimer et justifier l'acte guerrier. Elle est complice. Elle est au service de la guerre, elle cautionne, encourage, galvanise les troupes ( "Te Deum" ). -Ces actions vont à l'encontre des préceptes religieux de paix, d'amour du prochain ainsi qu'à l'encontre d'une des lois du décalogue "tu ne tueras point". • Critique de la philosophie. -Emploi du vocabulaire de la philosophie optimiste pour

« éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros », soulignant le désaccord de Candide face à ce massacre. Et enfin, on relève une satire de la justice où le pouvoir laisse faire la guerre tandis que « deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp ». Dans La Chartreuse de Parme, on relève la générosité et la tolérance du personnage de Del Dongo. En effet, Stendhal caractérise son personnage de « fort humain » qui « se donnait toutes les peines du monde » pour souligner sa

horrible aspect, primum graius homo pour la première fois, un homme, un grec ausus est tollere mortales oculus contra, osa lever ses yeux de mortel contre elle, primusque obsistere contra ; et le premier se dresser contre elle ; quem neque fama deum nec fulmina et lui, ni les fables sur les dieux, ni les éclairs nec caelum minitanti murmure compressit, ni la foudre avec son grondement menaçant ne l’arrêtèrent, sed eo magis irritat acrem animi virtutem, mais excitèrent d’autant plus l’ardeur