Théorème de convergence dominée

arbitrages se font sur des dérivés, ou sur des caractéristiques transversales à plusieurs actifs , comme la volatilité. anticipations rationnelles (application à la monnaie) arbitrage Friedman théorie des marchés Arrow Arrow voir théorème d'Arrow Patrice VIAL LEXIQUE relatif à quelques concepts rencontrés en économie page 2 Concept ou théorie Initiateur ou école nouvelle microéconomie Signification asymétrie d'information désigne la situation -fréquente dans

x2 dans tous les objectifs, et, − − – → x1 est strictement meilleur que → x2 dans au moins un objectif. Les solutions qui dominent les autres mais ne se dominent pas entre elles sont appelées solutions optimales au sens de Pareto (ou solutions non dominées). On définit comme suit l’optimalité locale et l’optimalité globale au sens de Pareto. Définition : optimalité locale au sens de Pareto − Un vecteur → x ∈ Rn est optimal localement au sens de Pareto s’il existe un réel δ > 0 − − − → tel qu’il n’y

auquel elle serait prête à le revendre. Ces deux prix devraient rationnellement être identiques. L’effet de dotation à montré que ce n’était pas le cas. Kahneman, Knetsch et Thaler [1990], « Experimental tests of the endowment effect and the Coase Theorem », Journal of political Economy, 98(6), pp. 1925-1948. Les conséquences de l’effet de dotation sont très fortes sur les marchés car on doit être prêt à acheter un bien exactement au même prix auquel on est prêt à le céder. Or, ce n’est absolument

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Systèmes stochastiques 77 3.1 Introduction aux probabilités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77 3.2 Probabilités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 3.3 Le théorème central de la limite et les lois fortes des grands nombres 99 3.4 Espérances conditionnelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105 3.5 Loi de Poisson et loi exponentielle . . . . . . . . . . . . . . . . . 112 3.6 La loi du Chi deux . .

− p). 1 − an+1 n+1 . Pour |a| < 1, limn a = 0, 3. Si a = 1 on a, pour tout n, n ak = k=0 1−a 1 k donc la série géométrique est alors convergente avec . Par propriété de k≥0 a = 1−a dérivation des séries entières dans leur intervalle ouvert de convergence, on en déduit d 1 1 d2 1 2 kak−1 = = et k(k − 1)ak−2 = 2 = . k≥2 k≥1 2 da 1 − a (1 − a) da 1 − a (1 − a)3 2 2 4. Si pour tout k≥1 on a P(X = k) = p(1 − p)k−1 , alors k≥1 P(X = k) = p 1 p k≥0 (1 − p) = 1. Ceci

l'économie. Les mercantilistes sont favorables à l'intervention de l'Etat dans l'économie pour stimuler et pour protéger la classe des marchands. Le mercantilisme fait l'apologie, l'éloge du commerce, de l'artisanat car elle considère qu'il y a une convergence d'intérêts entre les commerçants et le souverain. Les mercantilistes pensent que la richesse est industrielle (du latin industria, le travail, travailler). Un pays est riche s'il travaille beaucoup. Pour les mercantilistes, la richesse est commerciale

interdisciplinaire. Le domaine de l'économie de la Recherche, et en particulier celle de la Recherche et Développement (R&D), fournit un cadre privilégié pour ces rapprochements. Des évolutions très nettes marquent en effet une pensée économique longtemps dominée par la vision traditionnelle des externalités, mais qui s’attache de plus en plus à des questions similaires à celles posées par la sociologie ainsi que la gestion de la technologie. Afin de retracer ces évolutions, nous tenterons dans une première

.............................................................................................. 128 Analyse des performances de l’algorithme ............................................................................. 128 4.1 4.2 Analyse de convergence .................................................................................................. 129 Robustesse de l’algorithme.............................................................................................. 130 5. Conclusion

B LANCHENAY Sous la direction de : Hervé C RÈS Mai 2004 Table des matières Remerciements Introduction I Les problèmes généraux des scrutins I.1 I.2 Le théorème de Arrow . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Manipulabilité et vote stratégique . . . . . . . . . . . . . . . . . I.2.A I.2.B I.3 I.3.A I.3.B Le théorème de Gibbard-Satterthwaite . . . . . . . . . . . Le sens du vote pour l’électeur . . . . . . . . . . . . . . . Complétude et transitivité . . . . . . . . . . . . . .

Exemples____________________________________________________ _______________57 Théorème ____________________________________________________________ ______58 Définition ____________________________________________________________ ______59 Théorème ____________________________________________________________ ______59 Point selle ____________________________________________________________ ______59 Stratégies mixtes ____________________________________________________________ _60 Le théorème du MinMax______________________________________________________