Théorie de la justice

grandes opérations principales : la délibération, le commandement, la fonction de rendre la justice. De nos jours, ces trois opérations correspondent au trois grandes fonctions juridiques de l’Etat qui sont la fonction législative, la fonction exécutive et la fonction judiciaire ou juridictionnelle. La fonction législative est une fonction moderne qui s’est affirmé historiquement et qui va conduire à la théorie de la séparation des pouvoirs. En Angleterre, le roi ne va plus gouverner par la grâce

Sous direction de Mr : Ould fella Abdnour I. Les théories de comportement collectif 1. Gustave le Bon et psychologie des foules 1885. 2. Les théoriciens de comportement collectif de l’école de Chicago a. Quelques principes de l’analyse des comportements collectifs b. Park et la foule c. H. Blumer. 3. La théorie de la frustration relative de Ted Gurr 1970. Introduction : Les théories de comportement collectif sont apparues entre 1917 et 1939, la théorie de comportement collectif sociologue et le psychologue

CHAPITRE 1. LES THEORIES DU DROIT SECTION 1. La théorie du Droit Naturel §I. Les sources du droit naturel A- La Maât égyptienne (la conception autochtone africaine du droit et de la justice) B- Les philosophes grecs et latins C- Les théologiens chrétiens D- Les philosophes de la Renaissance et des Lumières §II. Les caractères et le contenu du droit naturel A- Caractères 1. Universalité 2. Invariabilité B- contenu élémentaire SECTION 2. La théorie du Droit Positif

nouvelle écologie politique », J.P Fitoussi et E.Laurent s’inscrivent dans une mouvance Keynésienne, arguant en faveur du rôle de l’Etat pour une justice sociale dans le monde. Ils empruntent ainsi le terme de justice sociale à John Rawls, pourtant philosophe libérale américain, et le situe dans le contexte de crise écologique actuelle. En effet, la justice sociale représente, à un moment donné, l'ensemble des choix qui vont régir la définition des droits et devoirs sociaux, et en résultat, les règles

Le droit prévoit des sanctions quand ses règles sont transgressées. La sanctions est exercée par l’Etat, l’autorité publique. Les juges ont deux aspects à leur pouvoir : - Jurisdiction : dire le droit - Imperium : faire executer la décision de justice La règle de droit a le monopole de la force publique. Weber : l’Etat a le monopole de la violence légitime. B- DROIT ET RELIGION 1) Différences Le droit régit les relations de l’individu par rapport aux autres individus alors la règle religieuse

Texte Smith sur la société Théorie des sentiments moraux section II, chapitre 3 C'est ainsi que l'homme, qui ne peut subsister qu'en société, a été adapté par la Nature à cette situation pour laquelle il a été fait. Tous les membres de la société humaine ont besoin de l'assistance des autres, et ils sont également exposés à leurs atteintes. Là où l'assistance nécessaire est réciproquement offerte par amour, gratitude, amitié et estime, la société est florissante et heureuse. Tous ses différents membres

.. 32 17. L’inconscient (L - ES - S).................................................................................. 35 18. L’interprétation (L - ES).................................................................................... 36 19. La justice (L - ES - S - Techn.).......................................................................... 37 20. Le langage (L - ES)............................................................................................ 40 21. La liberté (L - ES - S -

d’échapper à une « guerre de chacun contre chacun », selon Thomas Hobbes, dans Léviathan. Ce dernier ajoute « La justice et la propriété commencent avec la constitution de l’Etat », nous pouvons ainsi considérer que le droit a été instauré de sorte à établir une société juste. La justice est un principe moral de conformité au droit positif ou naturel. De plus, en latin le mot « justice » est « justus », formé à partir de « jus » qui signifie « droit ». Cependant, nous remarquons qu’ils existent parfois

2 : La politique criminelle / la justice au Moyen âge et sous l’ancien régime • La notion de politique criminelle • Définition d’une politique criminelle : Il s’agit d’un ensemble de procédés susceptible d’être proposé au législateur ou effectivement utilisé par celui-ci à un moment donnée, dans un pays donné pour combattre la criminalité. La politique criminelle est donc un art difficile, elle résulte d’un équilibre entre les mesures répressives et les mesures préventives (éducation, famille)

préjudiciel, qui permet aux juridictions nationales d’interroger la cour de justice des communautés sur l’interprétation à donner à un texte ou sur la compatibilité d’une disposition interne avec le droit communautaire. le traitement des affaires préjudicielles représente désormais environ la moitié des activités de la Cour et on constate que beaucoup des grands arrêts de la Cour sont des arrêts préjudiciels. La Cour de justice peut être saisie par le juge national qui lui demande sa coopération : le