Thomas Hobbes Léviathan Résumé

qu'aux citoyens. Les entités politiques dont il est question, les Cités, sont des Cités relativement restreintes : quelque dizaine de milliers d'habitants, même pour les plus connue (Athènes, Sparte …). La loi de fonctionnement propre à la Cité se résume en une chose : la justice. La Cité s'ordonne donc harmonieusement à l'ensemble du cosmos : la vie dans la Cité doit être animée par la justice. Les grecs savent cependant bien que ça n'est qu'un idéal, en effet la justice parfaite est inaccessible

Hobbes et le pouvoirHOBBES ET LE POUVOIR Pierre Dockès L'Harmattan | « Cahiers d'économie Politique » 2006/1 n° 50 | pages 7 à 25 ISSN 0154-8344 ISBN 2296012876 DOI 10.3917/cep.050.0007 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-cahiers-d-economie-politique-1-2006-1-page-7.htm --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

l’état des hommes n’ayant entre eux d’autre lien que leur qualité commune d’être des êtres humains, chacun étant libre et égal à tous. Etre rationnel : individu raisonnable, calculant le coût et le bénéfice que lui rapporterait chaque action IV-Résumé Le Contrat social de Rousseau cherche à concilier deux notions que l’histoire avant Rousseau a toujours posées comme étant antagonistes : l’autorité et la liberté. A quelles conditions l’Homme peut-il se soumettre à une autorité et quid de sa liberté 

et une autorité supérieure. Thomas Hobbes, dans son ouvrage le Léviathan, affirmait qu’avant le pvr étatique, les hommes vivaient dans un état de nature caractérisé par l’anarchie. Pour sortir de cette situation, les hommes ont eu recourt en dernière instance à la création d’un Etat qui garantit leurs droits. L’Etat devient dès lors un ordre nécessaire pour survivre en société. John Locke, dans son ouvrage Traités sur le gouvernement civil, s’oppose à Hobbes dans une certaine mesure. Selon

Cette notion d'obligation à un pouvoir politique centralisé est une forme particulière de soumission qui apparaît au XVIe siècle à travers la pensée de Bodin, et se développe plus précisément encore au XVIIe XVIIIe siècles avec les penseurs tels que Hobbes ou Locke en Angleterre. Cette étape de l'histoire occidentale est cruciale dans le processus de transformations de nos institutions politiques et les idéologies qui en découlent en faisant la transition de la monarchie d'Ancien Régime jusqu'à la République

) En son temps, l'Inquisition reconnaissait cet état de fait, avec son célèbre adage : "Pas vu, pas pris et pas pris, pas puni ; mais pris, pendu." Outre Platon, cette conception a servi de fondation à la pensée politique de Thomas Hobbes, qui écrit dans le Leviathan (disponible ici en VO en texte intégral) : Si deux hommes désirent la même chose alors qu’il n’est pas possible qu’ils en jouissent tous les deux, ils deviennent ennemis : et dans leur poursuite de cette fin (qui est principalement

dérive de la nécessité qui dérive d'une peur totale, la mort. Si nous nous organisons en société structurée, c'est pour éviter l'état de guerre civile “Guerre perpétuelle de tous contre tous de chacun contre chacun“ Hobbes. Cet état résulte de la construction théorique de Thomas Hobbes, l’état a le monopole de la violence. Marx Weber prétend que c'est que parce que l'état a ce monopole, qu'il faut le surveiller. Ex: Les bienveillantes dans lequel un intellectuel est recruté par les SS, et nous

[pic][pic][pic] Hobbes Thomas L'éthique et la politique chez Hobbes Harald Höffding Hobbes fonde sa conception tout entière de la vie éthique et sociale sur l'instinct de conservation personnelle avec la même énergie qu'il appuie sa conception tout entière de l'existence sur les lois du mouvement mécanique. Peut-être demandera-ton quel rapport il y a entre l'éthique et la politique de Hobbes d'une part et le reste de son système d'autre part; or il a déjà fait lui-même cette concession

vie de la collectivité. Cf. François Houang, Le Néo-hégélianisme en Angleterre. La philosophie de Bernard Bosanquet, 1848-1923, Paris, Vrin, 1954 ; et Jean Pucelle, L’Idéalisme en Angleterre de Coleridge à Bradley, Neuchâtel, 1955. (N.d.T.) 4. Thomas Hill Green (1836-1882), professeur de philosophie morale à Oxford et grand représentant du néo-kantisme et du néo-hégélianisme en Angleterre. Très influent de son vivant (notamment sur Bosanquet), il s’inscrit en réaction au naturalisme de Spencer

qui subit le pathos, qui est pris dans une temporalité et dans un espace. De manière plus précise, « el lobo » peut représenter l'animalité, le règne animal, mais il peut aussi représenter l'humanité, car après tout pour Hobbes « l'homme est un loup pour l'homme » (Hobbes, Léviathan). Quoi qu'il en soit sur l'interprétation que l'on peut donner au terme de loup, ce qui est important de saisir ici, c'est que pour qu'il y ait vie, en dehors de la présence d'une temporalité et d'une spatialité, il faut