Théocratie Pontificale

grandeur et la décadence des grands empires ?la première question tien aux romains qui toute période confondu on beaucoup écrit a propos de la chute de Rome, elle est évoqué dés le 6ème siècle comme une punition de Dieu, de la décadence de Rome, de la théocratie… a force de répéter ces idées, on a cru que l’église apporté son approbation a cette idée de signe divin et par extension on a cru qu’elle avait joué un rôle a la mise en cause de Rome. La deuxième raison nous place chez les polythéistes, ceux qui

Finalement ils ont regroupé tous les maires des royaumes pour mettre un seul mire pour les trois, se sont succéder : Pépin le Herstal, Charles Martel, Pépin le bref. Paragraphe 2 : La sacralisation du pouvoir des rois carolingiens A. L’avènement d’une théocratie royale a. L’instauration du sacre En 751, Pépin le Bref détient le pouvoir dans le palais, il réalise un coup d’État et devient roi. Après le coup d’État, il faut trouver des arguments, comment légitimer la prise de pouvoir. Il va écrire au pape

que ce rapprochement a pour csq un changement ds la concep° du pouvoir. Cette un° entre les carolingiens et l’église entraine un changement ds la conce° du pv. Ss Charlemagne, les emprunts au dt public romain sont plus net. I- L’ESQUISSE D’UNE THÉOCRATIE ROYALE Cette union de l’église est des carolingien laisse entrevoir une nouvelle concept° du pouvoir que l’on peut qualifier de théocratique. Au origine de cette nouvelle concep° du pouvoir il y a le sacre, les rois juif étaient des roi sacré

Elle donne une nouvelle nature au pouvoir. Elle donne une nature religieuse. Un modèle de dirigeant est établit. Le nouveau roi est un représentant de dieu sur terre. Dieu est la source de l’autorité du pouvoir royale. C’est ce qu’on appel la théocratie. = c’est un système dans lequel ceux qui gouvernent sont inspirés par dieu. La royauté est un ministère c'est-à-dire un service, un office exercé au service de dieu. B. Un roi sacré 1. L’introduction

Des l’origine (du vivant du christ) l’église a développé son propre droit (canonique vient du grec : la  regle), les sources de droit comprennent des regle tiré des écritures sainte, tiré des écrit des pères de  l’église, venant des canon des concils et des décisions pontificales ces sources vont être réunis dans de grande collections canoniques   1/ le décret de Gratien Ce décret est l’œuvre d’un moine obscur, mystérieux et fut composé dans des circonstances mal  connus Les causes qui ont entraîné cette codification sont nombreuse : religieuse

vivre encore 20 ans). Le pouvoir pontifical échappe dc au pouvoir des laïcs par son mode de désignation. En 1073, avènement de Grégoire VII et en mars 1075, doc. : « Dictatus papae » = « Les ordres du pape » → sans-doute = document de travail, note interne, ≠ pr être diffusé. Se présente sous forme d’une liste d’arguments → nous donne une idée des prétentions politiques de Grég. VII : la totale indépendance de l’Église, et fonde complètement l’absolutisme pontifical : non seulement l’Église se veut

9/518 TROISIÈME PARTIE - CHRISTIANISME I - LA CONSTRUCTION DE JÉSUS 1 2 3 4 5 II - LA CONTAMINATION PAULINIENNE 1 2 3 4 10/518 5 III - L'ÉTAT TOTALITAIRE CHRÉTIEN 1 2 3 4 5 QUATRIÈME PARTIE - THÉOCRATIE I - PETITE THÉORIE DU PRÉLÈVEMENT 1 2 3 11/518 4 5 6 7 8 9 10 II - AU SERVICE DE LA PULSION DE MORT 1 2 3 4 12/518 5 6 7 8 9 10 11 12 III - POUR UNE LAÏCITÉ POST-CHRÉTIENNE

puisque le pape interdit au francs de choisir un roi en dehors de la descendance de Pépin le Bref. En échange de ce service, celui-ci va combattre les ennemis du pape permettant à ce dernier de constituer à son profit un domaine à l’origine des États Pontificaux, qui vont durer jusque 1870. Ce sacre sera un élément essentiel et change la nature de la royauté et du roi lui même. Le roi devient l’Élu de Dieu car en vieux français, élu signifie « choisi ». À partir de cette date, jusqu’à la Révolution,

CHARLEMAGNE ont approfondit cette relation avec l’Église qui a été déterminante pour le destin politique de Pépin Le BREF. Les emprunts au droit public des romains se font plus nets si bien que l'on peut parler de retour à la notion d’État. 1) La théocratie chrétienne Pépin pour renforcer sa légitimité a eu recours au sacre. Cette cérémonie du sacre a lieu la proclamation, on procède ensuite à l'onction avec de l'huile sainte et enfin la couronne est posé sur la tête du roi. La couronne étant circulaire

(intervention de l’Eglise dans le pouvoir des mérovingiens). Les relations tissées en l’Eglise et les rois, conséquences beaucoup plus importantes. C’est la conception même du pouvoir qui est complétement renversé. D’une royauté guerrière on passe à une théocratie royale : conception chrétienne du pouvoir. Ceux qui ont reçu mission de gouverner ont été investis par Dieu. Le rôle prépondérant de l’Eglise dans la conception et l’élaboration du pouvoir commence avant même que la dynastie carolingienne ne soit