Toute Les Expériences Scientifique Sont Elles Legitimes

de fraude collective lorsque ceux-ci laissent croire que leurs interventions sont fondées sur des données scientifiques. Serge Larivée prend notamment en argument le code de déontologie des psychoéducateurs, d'où il tire deux grands postulats que doivent respecter les intervenants: faire preuve de compétence, «donc bâtir l'intervention sur des données empiriques dont la valeur scientifique est éprouvée», et évaluer l'efficacité de l'intervention. M. Larivée s'en prend plus particulièrement

à la culture légitime qui favorise considérablement l’université. La culture favorisée par l’université leur est familière car c’est tout simplement celle de leur milieu social. Les étudiants issus des classes moyennes et contrastés ont un comportement plus contrasté. Les moins pourvus en ressources (culturelles) sont les moins en phase avec l’institution universitaire. Ils sont déroutés par la relative abstraction et le théoricisme des études. Peu à l’aise avec la culture légitime, ils lisent moins

concernent la qualité intellectuelle de leurs travail alors que pour les filles, ils représentent moins de 80%, les autres appréciations concernant surtout la présentation du travail. Ces différences sont encore plus sensibles dans les matières scientifiques. Les filles étaient préposées à rappeler les savoirs déjà institués dans la classe, alors que les garçons étaient chargés de découvrir et de construire les savoirs nouveaux. L'auteure nous dit que sous l'idéologie républicaine de la laicité et

Du coup, cela pose la question du déterminisme et de la liberté dont l'agent dispose. I)La société fait-elle de nous des êtres programmés ? • La socialisation comme contrainte Durkheim a deux préoccupations : 1)Donner des fondements scientifiques à la sociologie 2)Répondre à la question de la cohésion sociale dans une société qui connaît de grand bouleversement. Quelles sont les conditions qui permettent d'assurer la continuité de la société, de continuer à intégrer les individus

contraire, que tout ce qui est naturel est normal (ou en tout cas, nous semble aller de soi), est le résultat d'un façonnage, d'un conditionnement par notre socialisation (par notre éducation, par notre culture au sens large, notre milieu, par toute l'organisation de la société), et c'est en ce sens qu'on peut encore dire de la sociologie qu'elle est une discipline relativiste et émancipatrice (le côté libérateur de la sociologie est pour lui le + important de l'enseignement de la sociologie)

vu précédemment, toute évidence n’est pas fondée, car elle désigne ce qui se manifeste avec une telle transparence que nous la voyons littéralement. Il n’y a donc aucune preuve. Or, comment pourrions-nous dès lors limiter notre confiance, et renoncer à la certitude que deux plus deux font quatre ? Nous devons penser à la possibilité d’évidences trompeuses. En effet ne seraient-elles pas vraisemblables 

d’incertitude ⇨ Cercle vicieux bureaucratique (=système dont les dysfonctions sont devenues un des éléments essentiels de l’équilibre) Concepts clés : • Tout acteur a du pouvoir • Les croyances sont stratégiques  ⇨ Elles soutiennent un dessein, un objectif, un projet ⇨ Elles expriment moins un passé ou un présent qu’un futur • A coté de la structure formelle, il y a une structure parallèle  ⇨ différent de la « structure informelle » : axée sur les échanges affectifs et les sentiments

qu’adviendra-t-il quand l’un et l’autre auront fondu dans l’aboutissement de la lutte des classes et la disparition de l’Etat ? Si les contradictions de Marx jugées mineures sont généralement présentées comme les divergences « entre le point de vue scientifique de l’historien et le point de vue moral du prophète », celles évoquées supra traduisent la difficulté de Marx, que connaissent également Kierkegaard et Nietzsche, à penser contre la tradition en lui empruntant ses outils conceptuels. Ainsi, en

qu’adviendra-t-il quand l’un et l’autre auront fondu dans l’aboutissement de la lutte des classes et la disparition de l’Etat ? Si les contradictions de Marx jugées mineures sont généralement présentées comme les divergences « entre le point de vue scientifique de l’historien et le point de vue moral du prophète », celles évoquées supra traduisent la difficulté de Marx, que connaissent également Kierkegaard et Nietzsche, à penser contre la tradition en lui empruntant ses outils conceptuels. Ainsi, en

pôles a une définition différente de ce qu'est un bon livre: un livre qui se vend/ qualité littéraire. Dans le monde artistique l'idée n'est pas de faire mais de faire autrement. Chacun de ces pôles tente d'imposer ce que doit être la définition légitime de ce que doit être une bonne oeuvre. Il évoque le fait qu'on puisse parler de champ si l'espace social en question est autonome. Mais cette autonomie ne va pas de soi, elle se conquiert. L'autonomie du champ littéraire a du se conquérir d'abord