Transfiguration Du Réel

voyage.  « Je demandai des tartines ; De beurre et du jambon qui fût à moitié froid. » : lexique de la nourriture. Décrit la fin du jeune Rimbaud qui après avoir marché tant de temps n’a qu’une envie : manger. Ambiguïté avec la servante : est-elle réelle ? Fait-elle partie de la tapisserie ? - Rimbaud passe de « bien heureux » à l’adoration. Avec l’hémistiche, cela créé le désir : qu’est-ce qui est adorable ? Qu’est-ce qui va surgir ? La servante est une fille qui peux tout donner : ses yeux,

avec cette fusion "nous" vers 14 et "on" vers 16. L'opposition futur "donnera, connaîtra, sera " vers 14-17 / présent "j'écris" vers 1, "se lamente" vers 3 évoque un espoir. Cet amour va être capable de transfigurer le réel. III/ Le dépassement de la réalité ou transfiguration La passion va permettre au poète de transfigurer la réalité. L'écriture ("j'écris" vers 1, "trace des lignes" vers 9) est une forme d'évasion et lui permet de prendre des distances par rapport au monde environnant. La

Breton. L’auteur présente son ouvrage comme un pamphlet politique et définit le surréalisme comme un "automatisme psychique pur", une tentative de transfiguration de la vie par la magie poétique. Le nom "surréalisme" est choisi pour rendre hommage à un poème de Guillaume Apollinaire, qui définissait ce néologisme comme "ce qui se situe au-delà du réel". Luis Bunuel, Un Chien andalou, (1929) De nouvelles approches de l’écriture A l’origine, le surréalisme se proclamait comme un état d’esprit

qui fait l'effort de se détourner du sensible, est symbolisé par l'extérieur de la caverne : les Idées sont les choses réelles, et le soleil est l'Idée unique du Bien, qui donne consistance et réalité à toutes les autres. [Apparence, art et vérité.] Le beau est ce qui nous apparaît dans sa plus grande vérité : ce qui est beau, ce n'est pas une reproduction servile d'un objet réel, mais la chose en sa plus grande perfection. L'apparence est ce qui révèle la vérité de la chose représentée : l'artiste

y a une métaphore filée de l'animalisation : « troupeaux », « bêtes fauves », « mugissement », « claquement des sabots », « galoper », « mâchoire de bêtes fauves ». Les bourgeois ne voient plus les mineurs et leurs femmes mais une véritable transfiguration apocalyptique. Ils projettent leurs peurs et leurs obsessions. Dans ce passage, on remarque une idée de destruction totale et une prédominance de la couleur rouge représentant le sang, le feu, et par conséquent l’apocalypse. Cette scène n'est

Sombre. Les indices du réel Description très précise d'un personnage, d'un lieu. a) Le paysage → Nord de la France « pleine rase », platitude, betteraves, obscurité : la nuit. → Série d'indications géographiques : « à gauche », « depuis une heure », « 200 pas », « un coude de chemin », « 5 ou 6 lanternes ». Renseignement précis → situation précise d'une région de France : le Nord. → Le début du roman se passe en hiver, les villes sont réelles, elles existent. b) Le personnage

Vision vers l'avenir avec cette fusion "nous" v14 et "on" v16. L'opposition futur "donnera, connaîtra, sera " v14-17 / présent "j'écris" v 1, "se lamente" v3 évoque un espoir. Cet amour va être capable de transfigurer le réel. III). Le dépassement de la réalité ou transfiguration La passion va permettre au poète de transfigurer la réalité. L'écriture ("j'écris" v1, "trace des lignes" v9) est une forme d'évasion et lui permet de prendre des distances par rapport au monde environnant. La nature,

dessus et les « cieux » d'en dessous
- Les « cieux » deviennent une « mare »
- La « mare » qui est en fait un « sachet »

Un monde en mouvement : « s'affaissent » (mouvement vertical), « flue et reflue » (mouvement horizontal).

=> Transfiguration poétique du réel (le réel est transformé en poésie), dès lors cette description devient symbolique.
 En regardant la fin du poéme on remarque que
le poème finit sur un paragraphe élogieux sur l'huître.
La beauté : « perle », « nacre » (= l'intérieur de

clôture subie : les foyers asphyxiés des pauvres 2. Un espace transfiguré : le décor symbolique 1. Les labyrinthes 2. Les sanctuaires infernaux CHAPITRE III : LE SYSTÈME DES OBJETS 1. Les objets domestiques 2. Les objets techniques : la transfiguration des machines DEUXIÈME PARTIE LE RÈGNE DE LA VIOLENCE CHAPITRE I : LA VIOLENCE DE LA MACHINE 1. La violence de la vie des machines 2. La violence de la mort des machines CHAPITRE II : LA VIOLENCE DE L'HOMME 1. Violence et relations

de la réalité la plus banale à la vision poétique est ici noté avec une précision qui donne au lecteur l’impression de voir naître l’image sous ses yeux. Annonce des axes : I. La peinture du réel II. La transformation du réel III. Le regard du poète Etude : I. La peinture du réel a. Une scène banale On assiste à une scène d'hospitalité entre 2 personnages : une personne (le narrateur, le poète) et un pauvre très banale (vers 1 : " Un pauvre "). Comportement civique d’Hugo